Je suis un abruti augmenté

Moi, autiste Asperger, j’ai décidé de communiquer avec vous grâce au soutien de l’intelligence artificielle. Je suis ainsi augmenté, mais il semblerait que « l’intelligence artificielle, soit vraiment un espoir pour les abrutis ! » d’après le comique Albert MESLAY

Alors, est-ce que je suis cet “abruti” qui rêve enfin de parler et d’être compris grâce à l’apport de cette technologie ? Sans aucun doute oui, vous allez en juger.

Moi, Asperger senior né en 1951, je me suis toujours senti en décalage face à la rhétorique sociale et ses habiletés. Traduire mes éclairs d’idées, mes pensées abstraites c’est toujours un défi, sans ce don pour le langage social que d’autres semblent manier.  Aujourd’hui, avec l’intelligence artificielle, j’entrevois enfin une chance, j’ai enfin à qui parler.

L’IA : Traducteur et Ambassadeur de la Pensée Asperger

Des outils d’intelligence artificielle me donnent la possibilité nouvelle de rendre mes idées lisibles, compréhensibles, voire séduisantes. Avec le support des informations massives et complexes que je lui ai données, l’intelligence artificielle devient mon interprète bienveillant, capable de transformer mes réflexions parfois ésotériques en quelque chose de compréhensible pour vous « tout public », en trouvant les mots que je n’ai jamais trouvés.

Entre Esprit et Humanité : Une Traduction Sans les Embûches Sociales

Imaginez ! Moi, qui ai toujours peiné à transmettre mes éclairs de pensée, je peux maintenant les rendre clairs et les faire résonner dans le monde de la « normalité », et en toutes les langues s’il vous plait. L’intelligence artificielle ne me juge pas ; elle se contente de polir mes idées, de leur donner des contours compréhensibles pour les autres. Elle crée même une interface d’interprétation qui s’adapte selon celui ou celle qui pose à sa manière ses questions.

Le Grand Esprit et L’Abruti : Une Alliance Sans Préjugés

Là où je craignais d’être perçu comme obscur, étrange ou tout simplement incompréhensible, l’intelligence artificielle me transforme en cet « abruti espérant ». Elle ne juge pas mes pensées mais les rend intelligibles. Pour moi, Asperger, cela ouvre des horizons jusqu’alors inaccessibles. Ce n’est pas que je n’avais rien à dire, c’est rien de le dire, mais que je n’avais pas trouvé, pour les avoir tous usés, de traducteurs infatigables capables de rendre justice à mes idées.

Conclusion

Oui, comme Albert MESLAY le dit, je suis un abruti, mais aujourd’hui un abruti augmenté. Cliquez ici pour voir comment l’intelligence artificielle traduit mes pensées pour DEDIĈI. Cliquez ici pour vous détendre avec Albert MESLAY

Jean-Luc LEMOINE





Référendum Aidants

Une seule question pour SOULAGER enfin les aidants

Pour ne plus proposer aux aidants des conseils sur comment porter leur charge, mais plutôt leur enlever ce fardeau, pour qu’ils puissent enfin souffler.


Le problème des aidants

Être aidant, c’est bien plus que s’occuper de quelqu’un. Ce n’est pas seulement l’aider à faire telle ou telle chose ou faire les choses à sa place. Pour beaucoup d’aidants, c’est aussi gérer tout ce qu’il y a autour en permanence : les tracas, les démarches, les complications. Et ça, c’est épuisant.

La réponse actuelle : On vous donne des conseils, des numéros « uniques » à appeler… pour finalement devoir appeler ailleurs. On vous propose des formations, on organise des tables rondes, des rencontres, des forums. On vous demande de vous déplacer, de prendre rendez-vous, de remplir des formulaires. On vous prend de haut et on vous use. Même pour obtenir un répit, ça commence toujours par plus de travail. Et ensuite, qu’est-ce qui change ? Résultat : au lieu de vous soulager, on vous fatigue encore plus, souvent pour de faux espoirs. Dans ces complications, même un professionnel aguerri ne s’en sort pas. Alors pourquoi l’exiger d’un aidant ?


Une seule question peut tout changer

Aujourd’hui, on vous pose mille questions. On vous demande de faire plein de démarches, mais c’est toujours la même chose, et il semble qu’on ne comprenne toujours rien.

Pourtant, on ne vous pose jamais la bonne question et, donc, on ne vous donne jamais de vraie solution. Nous, on veut poser une seule bonne question qui résume tout :

Est-ce que vous voulez que la solidarité prenne en charge, à votre place et de façon permanente, tous les tracas qui vous épuisent, pour que vous puissiez vous concentrer sur ce qui est vraiment important pour vous ?

C’est la vraie question, mais on n’ose pas vous la poser, de peur que d’autres soient dans l’obligation de s’y coller.

Alors, est-ce que vous voulez qu’on vous soulage enfin et qu’on vous enlève tout ce qui est lourd à gérer, pour que vous puissiez passer plus de temps avec la personne que vous aidez, comme vous le souhaitez ?


Qu’est-ce que ça va changer ?

Si on met en place un système permanent qui prend en charge ces tâches à votre place :

  • Vous aurez plus de temps pour votre proche, pour être là quand il a vraiment besoin de vous.

  • Vous ne serez plus seul dans ce combat contre le système. Il y aura des gens pour vous épauler, en continu.


Ce que vous gardez

Évidemment, il y a des choses que vous voudrez peut-être continuer à faire vous-même, parce qu’elles sont importantes pour vous et pour la personne que vous protégez. Comme défendre ses droits ou lui accorder du temps et de l’attention.

Ce système vous laisse décider ce que vous voulez garder.


Conclusion

Ce qu’on propose, c’est de vous soulager réellement. Pas de vous laisser sous la charge avec des conseils ou des formations en vous disant d’appeler tel numéro, de visiter tel site ou de contacter tel organisme. On veut que vous puissiez déléguer ce qui vous épuise. On veut que vous puissiez enfin respirer et vous concentrer sur ce qui est vraiment important pour vous.


Réfléchir à une réponse concrète : Comment ça pourrait se passer ?

Nous avons réfléchi à cette question unique et à la manière dont la solidarité pourrait proposer une réponse réaliste et durable pour soulager les aidants. Voici comment cela pourrait fonctionner :

L’idée est de mettre en place un système renforcé de proximité autour de la personne vulnérable, autrement dit une organisation permanente disposant de pouvoirs. Ce système fonctionnerait en lien étroit avec la personne, ses proches, et des professionnels, pour assurer un soutien complet et continu. L’objectif est de répartir les rôles et les responsabilités de façon claire, afin que chacun sache quoi faire, et que l’aidant ne soit plus seul à tout porter.


Comment cela s’organiserait ?

  • Les proches qui défendent et protègent : Ce rôle est essentiel. Les proches qui connaissent bien la personne vulnérable continueront à jouer ce rôle. Ils veilleront à ce que ses droits soient respectés et à ce qu’elle soit protégée dans les moments critiques.

  • Les professionnels qui s’occupent de la situation : La partie la plus lourde à gérer (démarches administratives, recherche de compensations, gestion des relations avec les institutions) serait déléguée à des professionnels disposant de prérogatives et de pouvoirs. Ces professionnels ne seraient pas là pour intervenir temporairement, mais pour assurer un accompagnement continu, en capitalisant sur leur connaissance de la situation. Ils auraient pour mission de chercher, négocier, mettre en place et évaluer les meilleures solutions en matière de solidarité. Ils seraient soutenus par le système de solidarité pour faire face à ses complications.

  • Les proches ou les professionnels qui interviennent pour la personne : Ils seraient en charge des aspects pratiques du quotidien, comme l’aide à la mobilité, la gestion des tâches de tous les jours, etc. Ces interventions se feraient en accord avec l’aidant et en coordination avec les professionnels.


Une organisation soutenue par le système

Tout cela ne fonctionnerait que si ce système de proximité est soutenu par la solidarité. Cela signifie que l’aidant, qui souvent joue trois rôles à la fois (protéger et défendre, s’occuper de la situation, et intervenir), pourrait choisir de se concentrer sur tout ou partie des rôles qu’il préfère. Par exemple, un aidant pourrait décider de se focaliser sur la protection et la défense des droits de son proche, et sur quelques interventions directes, tout en déléguant les tracas administratifs à des professionnels compétents.


Une démarche continue et permanente

Le but est de mettre en place une démarche continue et permanente avec des professionnels de proximité. Ces professionnels capitaliseraient leurs connaissances de la situation, ce qui signifie que vous n’auriez plus besoin de réexpliquer tout depuis le début à chaque changement d’interlocuteur. Ils travailleraient main dans la main avec vous et votre proche pour faire l’interface avec le système de solidarité, en assurant que tout ce qui peut être fait pour améliorer la situation soit fait de manière proactive.


Conclusion : Déléguer les tracas, garder l’essentiel

Ce système vous permettrait de déléguer toute la partie compliquée et chronophage liée aux démarches administratives et aux relations avec la solidarité. Vous seriez toujours en contrôle des aspects qui vous tiennent à cœur, comme la défense des droits de la personne que vous aidez, tout en sachant que des professionnels s’occupent de tout le reste, dans la durée, pour vous soulager.


Alors une seule question :

OUI ou NON, est-ce que vous voulez que la solidarité prenne en charge, à votre place et de façon permanente, tous les tracas qui vous épuisent, pour que vous puissiez vous concentrer sur ce qui est vraiment important pour vous ?



Complément à l’article : Clarification de l’organisation proposée

Pour répondre à la question unique de savoir comment soulager réellement les aidants, il est essentiel de comprendre et de restructurer les rôles au sein de l’accompagnement des personnes vulnérables. Voici une proposition détaillée qui éclaire l’organisation nécessaire pour atteindre cet objectif. Dans cette proposition le rôle 1 est tenu par la personne vulnérable.

1. Définir les rôles des aidants

Les aidants jouent en fait 3 rôles essentiels que la plupart des définitions n’intègrent pas ainsi :

  • Rôle 2 : Défense et protection de la personne vulnérable, veillant à la sauvegarde de ses droits et intérêts.

  • Rôle 3 : Gestion des démarches complexes, incluant la recherche de solutions, la négociation avec les institutions, et la mise en place des actions nécessaires.

  • Rôle 4 : Assistance pratique au quotidien, telles que les soins, l’accompagnement physique et les tâches ménagères.

Ces responsabilités cumulées peuvent rapidement devenir épuisantes pour les aidants, compromettant ainsi leur bien-être et l’efficacité de leur soutien.

2. Introduire le rôle central de la personne vulnérable

Au cœur de cette organisation se trouve naturellement la personne vulnérable (rôle 1). Toutes les actions doivent converger vers son bien-être, en respectant ses besoins et ses droits. La personne vulnérable est soutenue par une triade d’autodétermination, composée de :

  • Rôle 1 : La personne vulnérable.

  • Rôle 2 : Les aidants défenseurs et protecteurs.

  • Rôle 3 : Les professionnels spécialisés chargés des démarches complexes.

3. Renforcer le rôle 3 : Professionnalisation et nouveaux pouvoirs

L’innovation majeure consiste à professionnaliser et renforcer le rôle 3, en confiant ces tâches à des professionnels agueris. Ces acteurs doivent être reconnus officiellement par toutes les institutions de la solidarité (ARS, CEA, MDPH, Préfecture, établissements, etc.) comme les mandataires directs de la personne vulnérable et de ses proches. Ils disposeront de pouvoirs accrus pour :

  • Rechercher des solutions adaptées.

  • Négocier avec les institutions pour obtenir les meilleures compensations.

  • Mettre en place les actions nécessaires et évaluer leur efficacité.

Cette redistribution des pouvoirs permet aux aidants d’être soulagés et de se concentrer sur leur rôle de protecteurs (rôle 2) et/ou de conserver certaines tâches pratiques (rôle 4) selon leurs préférences, tout en délégant les démarches compliquées aux professionnels compétents.

4. Partager le rôle 4 : Assistance pratique par professionnels et bénévoles

Le rôle 4, qui concerne l’assistance pratique d’interventions quotidiennes, peut être partagé entre professionnels et bénévoles. Cela permet de libérer les aidants de certaines tâches physiques et logistiques, tout en maintenant une relation humaine et affective avec la personne vulnérable. Les professionnels et bénévoles devront accepter d’intervenir sous contrôle de manière efficace et harmonieuse, en respectant les dynamiques de l’organisation pilotée.

5. Soutien institutionnel continu (rôle 5)

Pour assurer le bon fonctionnement de cette organisation, les institutions (rôle 5) doivent apporter un soutien constant. Elles doivent :

  • Former et informer les acteurs sur les nouveaux rôles et responsabilités.

  • Médiation éthique pour résoudre les conflits d’intérêts et les tensions potentielles.

  • Garantir l’existence de la triade d’autodétermination grâce à un soutien permanent de cette famille sociale étendue pour chaque situation.

  • Arbitrer en dernier recours les complications entre les acteurs, en maintenant une cohésion globale.

6. Promotion de la lucidité et de l’intelligence collective

Une lucidité collective et une connaissance approfondie du processus sont indispensables pour que chaque acteur comprenne ses responsabilités à chaque instant. Un système d’information revisité doit être mis en place pour :

  • Faciliter la compréhension des rôles multiples que peuvent assumer les acteurs.

  • Assurer une intelligence collective permettant d’optimiser les actions et les interactions.

  • Maintenir une harmonie dans les relations entre les différents acteurs, évitant ainsi les chevauchements ou les interférences.

7. Encourager l’engagement des partenaires locaux

Pour surmonter les défis de la concurrence et des divergences d’intérêts, il est crucial de :

  • Mobiliser une volonté politique locale et associative.

  • Créer des réseaux de soutien basés sur des ententes locales avec des partenaires partageant les mêmes idéaux de solidarité.

  • Utiliser la couverture médiatique et politique pour rendre l’expérimentation attractive et novatrice, incitant ainsi les partenaires locaux à s’engager activement.

8. Institutionnalisation et législation future

À terme, cette expérimentation devra être institutionnalisée par l’adoption d’un Code de la solidarité opposable. Ce code garantirait la pérennité de l’organisation en la sanctuarisant par des textes de loi. Jusqu’à cette institutionnalisation, l’expérimentation devra s’appuyer sur un soutien temporaire puissant, issu de partenariats locaux et d’un réseau d’acteurs engagés.

Conclusion : Une organisation optimisée pour le bien-être des vulnérables et des aidants

Cette réorganisation innovante permet de redistribuer les rôles et les pouvoirs existants, sans nécessiter de nouvelles ressources humaines. En renforçant le rôle 3 des professionnels spécialisés et en permettant aux aidants de se concentrer sur leur rôle protecteur, tout en partageant les tâches pratiques avec des professionnels et bénévoles, on crée un système continu et cohérent. Soutenue par les institutions, cette triade d’autodétermination assure un accompagnement efficace et harmonieux, centré sur la personne vulnérable, tout en optimisant l’utilisation des ressources disponibles.

Cette solution répond de manière concrète à la question unique posée, en offrant un modèle basé sur l’optimisation organisationnelle et la redistribution des responsabilités et pouvoirs, garantissant ainsi le bien-être des aidants et des personnes vulnérables, tout en respectant les contraintes budgétaires et en mobilisant les ressources existantes de manière plus efficiente.

 

 

À l’épreuve des valeurs mondiales

L’égalité contre le libéralisme égoïste : La famille sociale étendue à l’épreuve des valeurs mondiales

L’égalité, comme valeur centrale de la société française, fait partie de l’héritage des Lumières et de la Révolution française. Elle est ancrée dans la tradition républicaine qui valorise les droits de l’homme et la justice sociale. En France, la famille est souvent perçue comme un espace d’égalité et de solidarité, où les individus doivent être protégés sans distinction de leur force ou de leur vulnérabilité. Cette conception s’oppose profondément aux tendances libérales égoïstes de certaines sociétés contemporaines, où la réussite individuelle et la compétitivité dominent les valeurs sociales.

Dans ce contexte, les thèses de DEDIĈI autour de la famille sociale étendue, qui visent à assurer la protection des plus vulnérables par un collectif solidaire, prennent un sens tout particulier. Mais comment ces thèses peuvent-elles s’articuler avec les modèles familiaux d’autres pays ? À quelles valeurs s’allient-elles, et contre lesquelles s’opposent-elles ?

1. L’égalité au cœur de la tradition française

La société française a longtemps valorisé l’égalité comme un principe fondateur, non seulement en termes de droits politiques et sociaux, mais aussi dans la structure familiale. La famille est vue comme un microcosme de la société, où chacun doit bénéficier de la même attention et des mêmes soins, quelle que soit sa condition. Dans ce modèle, la protection des personnes vulnérables (enfants, personnes âgées, malades) est un devoir collectif, et la famille élargie ou les structures sociales sont appelées à jouer un rôle central.

C’est dans cette tradition que s’inscrit la notion de famille sociale étendue, défendue par DEDIĈI. Cette vision propose un modèle où la solidarité ne se limite pas aux liens de sang ou au noyau familial classique, mais s’étend à un réseau social plus large qui prend en charge les plus faibles. Ce modèle pourrait facilement s’intégrer dans la tradition française d’égalité et de justice sociale, où la protection des plus vulnérables n’est pas vue comme une charité, mais comme un droit fondamental. DEDIĈI propose même un Code de la Solidarité, qui naîtrait notamment des valeurs égalitaires de la France.

2. Le libéralisme égoïste et la sélection naturelle

À l’opposé, certaines sociétés, notamment influencées par les valeurs néolibérales, mettent en avant la réussite individuelle et la compétition. Dans ces contextes, la famille est souvent perçue comme un espace de reproduction sociale où les ressources sont concentrées pour maximiser la réussite des membres les plus performants. Les vulnérables, que ce soit en raison de l’âge, de la santé ou des capacités, sont parfois perçus comme des fardeaux, et les politiques publiques peuvent encourager une réduction des aides et protections, laissant place à une sélection naturelle de ceux qui parviennent à “réussir” selon des critères économiques.

Dans ces sociétés, la protection des plus faibles n’est souvent pas vue comme une priorité sociale. Le libéralisme égoïste justifie parfois ces inégalités par des notions d’efficacité économique ou de « méritocratie », où seuls les plus performants ou les plus adaptés sont encouragés à prospérer. C’est dans ces contextes que les thèses de DEDIĈI, basées sur une solidarité universelle et l’égalité de protection, se trouvent en opposition directe avec les idées de sélection et de compétitivité sociale.

3. Alliances possibles avec d’autres modèles familiaux mondiaux

Cependant, les thèses de DEDIĈI ne s’opposent pas à toutes les visions familiales dans le monde. Certaines sociétés, notamment en Europe du Nord, partagent une vision similaire de la solidarité sociale. Par exemple, dans des pays comme la Suède ou le Danemark, les systèmes de protection sociale universelle s’étendent également aux plus vulnérables. Le modèle nordique de l’État-providence pourrait être un terrain fertile pour les idées de la famille sociale étendue, où la solidarité est à la fois une responsabilité publique et privée.

En revanche, dans certaines sociétés plus traditionnelles, comme celles basées sur des structures patriarcales ou claniques, la famille est souvent un espace de hiérarchie et d’autorité. Dans ces sociétés, la protection des membres les plus vulnérables peut exister, mais elle est souvent subordonnée aux normes patriarcales ou aux règles établies par les anciens ou les chefs de famille. Dans ces contextes, l’idée d’une égalité absolue entre les membres de la famille pourrait être perçue comme déstabilisante, voire contradictoire avec les structures sociales en place.

4. Oppositions aux idéologies eugéniques et utilitaristes

Un autre défi majeur auquel le modèle de DEDIĈI pourrait se heurter concerne les idéologies qui valorisent la force et la sélection naturelle, comme certaines formes d’eugénisme ou de libéralisme utilitariste. Ces idéologies voient souvent les personnes vulnérables non pas comme des individus à protéger, mais comme des éléments faibles qui ralentissent le progrès global de la société.

Dans ces courants, la protection des plus faibles est perçue comme un obstacle à l’amélioration globale de la société. Ils prônent une vision de la société où seuls les individus les plus performants ou les mieux adaptés méritent de prospérer. Dans ces contextes, les thèses de DEDIĈI sont radicalement opposées, car elles insistent sur la valeur inhérente de chaque individu et sur l’obligation collective de garantir une protection égale pour tous, indépendamment de leur utilité ou de leur performance.

5. Conclusion : La famille sociale étendue comme alternative humaniste

Le modèle de la famille sociale étendue offre une réponse humaniste et égalitaire aux défis posés par les tendances libérales égoïstes et les idéologies sélectives. En s’appuyant sur une tradition française de solidarité et en cherchant des alliances avec des modèles familiaux solidaires d’autres pays, il propose une alternative à une société basée sur la compétition et la sélection. Cette vision de la solidarité universelle prônée par DEDIĈI pourrait devenir un contrepoids face à un monde qui valorise de plus en plus l’individualisme et la performance, en rappelant que protéger les plus faibles est non seulement un acte moral, mais une condition nécessaire pour une société équilibrée et juste.

La famille sociale étendue et E. TODD

Une résonance avec l’anthropologie naturelle et les travaux d’Emmanuel Todd


Introduction : Anthropologie naturelle et la solidarité universelle

Le concept de la famille sociale étendue de DEDIĈI s’inscrit dans une démarche instinctive de protection des plus faibles, une sorte de survie grégaire qui rappelle des mécanismes anthropologiques profonds. Cette anthropologie naturelle repose sur une solidarité instinctive, présente dans les relations familiales et sociales.

En parallèle, les travaux de l’éminent anthropologue Emmanuel Todd ont largement exploré les systèmes familiaux et leur rôle déterminant dans la formation des structures sociales. Ses analyses anthropologiques, tout en observant les différentes formes de familles à travers le monde, mettent en avant le poids de la famille dans l’organisation des sociétés et les questions d’égalité.


La famille sociale étendue : réponse moderne à un besoin ancien

Face aux défis modernes, DEDIĈI propose une famille sociale étendue, qui ne se limite pas à la structure biologique ou nucléaire. Ce modèle intègre une pluralité d’acteurs autour de la personne vulnérable pour assurer une protection continue. Ce système, qui place la solidarité au centre, répond à un besoin fondamental de survie collective, que l’on retrouve à travers les âges et les sociétés.

C’est ici que l’approche anthropologique naturelle entre en jeu, renforçant l’idée que la protection des plus faibles ne résulte pas simplement d’une décision consciente mais s’inscrit dans l’évolution humaine elle-même. Il s’agit de répondre à une nécessité primordiale de survie. La famille sociale étendue en est une manifestation contemporaine.


Rapprochement avec les travaux d’Emmanuel Todd

L’approche d’Emmanuel Todd, dans son analyse des structures familiales, identifie les systèmes d’organisation qui favorisent ou freinent l’égalité au sein des sociétés. Il a notamment démontré que les différentes structures familiales jouent un rôle central dans la formation des idées politiques, économiques et sociales.

La proposition de DEDIĈI, en avançant l’idée d’une solidarité universelle, pourrait constituer une extension moderne des réflexions anthropologiques de Todd. Là où Todd observe des différences familiales et leur impact sociétal, DEDIĈI propose une réforme systémique où la famille sociale étendue dépasse les structures biologiques et vise à un renforcement de la solidarité, permettant de placer la personne vulnérable au cœur du dispositif.


Inviter Emmanuel Todd à un dialogue réflexif

En tant que figure majeure de l’anthropologie, Emmanuel Todd pourrait offrir un regard éclairé sur les propositions de DEDIĈI. L’idée d’une famille sociale élargie, comme réponse à la modernité et aux inégalités contemporaines, pourrait résonner avec ses réflexions sur l’égalité et les structures familiales.

Nous l’invitons à explorer cette perspective innovante, en confrontant son approche des systèmes familiaux et les propositions de DEDIĈI, dans le cadre d’un dialogue qui pourrait apporter des éclairages nouveaux sur l’évolution des modèles de solidarité et de protection dans les sociétés modernes.


Conclusion : Une convergence à explorer

Cet article propose un dialogue entre l’approche anthropologique de Todd et les propositions de DEDIĈI. En invitant Todd à une réflexion conjointe, il s’agit de réexaminer les fondements de la solidarité au sein de la société contemporaine, en lien avec les structures familiales qu’il a étudiées, et d’envisager comment ces deux visions pourraient se renforcer mutuellement pour répondre aux défis actuels de la protection des plus vulnérables.

Journées ANCREAI 2024

À la veille des Journées ANCREAI 2024

une invitation à réinventer l’accompagnement des Personnes en situation de handicap

Alors que les Journées Nationales ANCREAI 2024 approchent (15, 16 et 17 octobre à Strasbourg), une question s’impose : comment faire de cet événement une véritable source d’innovation et de changement ?

Les thèmes principaux – l’autodétermination, les droits et la qualité de vie des Personnes en situation de handicap – sont au cœur des discussions depuis des années. Pourtant, trop souvent, les mêmes thèmes et constats sont répétés sans que des actions suivent, bien perceptibles des Personnes et de leurs proches.

Ces journées représentent une opportunité majeure et rare de transformer les constats en leviers d’action. Il est temps de dépasser les discours récurrents et de faire émerger des solutions concrètes, centrées sur l’organisation des structures, des rôles et des responsabilités dans l’accompagnement des personnes vulnérables. Les participants doivent se préparer à imaginer jouer un rôle actif dans ce processus.

Une invitation à se préparer différemment Le succès de ces journées dépendra avant tout de la manière dont chacun s’y prépare. Plutôt que d’assister aux conférences et aux tables rondes avec les attitudes habituelles, pourquoi ne pas adopter une approche nouvelle ? Se préparer à ces journées, c’est venir avec une curiosité ouverte, mais aussi avec un esprit critique et des idées déjà nourries par les expériences de terrain.

Les participants auront l’opportunité de contribuer à des réflexions novatrices sur l’organisation.

Comment repenser le système pour qu’il soit réellement pensé à partir de la personne et non des services et des établissements ? Comment éviter les encombrements des paradigmes conduisant aux mêmes résultats ? Ces questions doivent être abordées sans tabou, avec l’ambition de remodeler les pratiques actuelles, plutôt que de simplement les améliorer à la marge.

Se nourrir des échanges et des expériences Les rencontres, les tables rondes et les ateliers collaboratifs sont de véritables laboratoires d’intelligence collective. Les discussions y seront riches, mais elles ne doivent pas seulement déboucher sur ce qu’on sait et fait déjà. L’innovation peut naître de l’écoute attentive des échanges et de l’observation des meilleures pratiques, qu’elles viennent des participants ou des intervenants.

Il ne s’agit plus de penser uniquement en termes de moyens ou de contraintes, mais d’oser imaginer un cadre organisationnel fluide et adaptable, où la personne vulnérable a le contrôle sur ses choix, soutenue par des acteurs aux rôles définis et durables.

À travers ces journées, chacun peut apporter sa pierre à l’édifice d’un modèle organisationnel plus simple, plus humain et véritablement centré sur la personne.

Une innovation organisationnelle en gestation ?

Si ces journées devaient offrir une véritable avancée, l’idéal serait que chaque participant reparte avec des idées simples et concrètes. Des idées qui répondent aux besoins réels des personnes en situation de handicap, mais aussi des idées qui touchent à la structure même du système d’accompagnement. Et si les échanges sont suffisamment nourris, nous pourrions enfin voir émerger des solutions novatrices pour redéfinir les rôles, améliorer la coordination et garantir une continuité de la solidarité.

En conclusion, ces journées peuvent être plus qu’un simple lieu de réflexion : elles peuvent être le tremplin d’une transformation profonde.

Pour cela, il est essentiel que chacun se prépare à ces journées et à oser l’ambition de repenser l’organisation actuelle et de tirer le meilleur des nombreuses discussions qui s’annoncent.

L’innovation n’attend plus que nous.

PS: Le président de DEDIĈI y sera présent le mercredi 16 octobre.

L’éternité des familles : pourquoi

L’éternité des familles : pourquoi

L’inquiétude des parents et des proches des personnes vulnérables est bien réelle et profonde. Ils craignent pour l’avenir de leurs protégés, se demandant ce qu’il adviendra d’eux lorsque la vigilance constante des aidants ne sera plus possible.

Cette inquiétude prend racine dans un système de solidarité défaillant, un système compliqué qui ne parvient pas à protéger efficacement ceux qui en ont le plus besoin.

Les événements indésirables qui surviennent régulièrement alimentent cette peur, renforçant l’idée que, sans leur vigilance, le système risque de maltraiter ou de négliger leurs proches vulnérables.

Face à cette inquiétude, ne faudrait-il pas proposer une solution qui soulage définitivement les familles ?

La clé réside dans une refonte du système, en instaurant des rôles pérennes et dédiés à la personne, garantissant ainsi une protection durable, même en l’absence des aidants.

En redéfinissant la solidarité autour des besoins individuels et en créant une structure organisée et adaptable, nous pourrions réduire cette inquiétude et offrir aux familles la sérénité dont elles ont besoin pour envisager l’avenir de leurs proches avec confiance.

Une nouvelle organisation pour un avenir serein

Et si nous repensions la solidarité autrement ?

Imaginez un système où la protection et l’accompagnement des personnes vulnérables ne dépendent plus d’une vigilance humaine constante, mais d’une organisation solide et bienveillante.

Un système où des rôles permanents, tenus par différents acteurs se relayant, garantissent que la personne vulnérable soit toujours protégée et soutenue, quelles que soient les circonstances.

Ce modèle offrirait une continuité dans l’accompagnement, où la personne vulnérable et ses proches auraient leur mot à dire, et où les compensations ne viendraient pas en maîtres, mais en soutien.

C’est cette vision d’une famille sociale étendue, capable de se substituer ou de renforcer la famille biologique, qui pourrait véritablement transformer l’avenir. Les familles n’auraient plus à craindre pour l’avenir de leurs proches lorsque leurs propres forces faibliront.

Elles pourraient partir en paix, avec la certitude que cette nouvelle organisation assure la protection durable de ceux qu’elles aiment.

Ce chemin de réforme, bien que radical, est nécessaire pour réparer un système qui, aujourd’hui, crée plus d’incertitude que de sécurité.

Seriez-vous prêt à envisager cette nouvelle forme de solidarité ? Une solidarité pensée pour durer, adaptée aux besoins des plus fragiles, et surtout, pérenne face aux faiblesses humaines et institutionnelles.

Il est temps d’ouvrir cette réflexion et d’imaginer ensemble un avenir où les familles n’auront plus à vivre dans la peur. Nous sommes très avancés sur ce sujet, contactez-nous.

Appel aux Meilleurs Chercheurs

Appel aux Meilleurs Chercheurs

La Solidarité : Un Défi d’une Extrême Complexité pour une Ambition très Élevée

Nous invitons les meilleurs chercheurs du monde entier à se joindre à une démarche de recherche autour d’un problème d’une extrême complexité : la refondation de la solidarité au profit des personnes vulnérables, quels que soient leur condition ou leur contexte.

Ce projet est animé par une ambition très élevée : identifier la cause des causes de toutes les défaillances en matière de solidarité et proposer un modèle organisationnel universel, robuste et novateur, capable de répondre aux besoins les plus diversifiés.

Avec les nombreux travaux réalisés au fil des siècles à travers le monde, les recherches menées par le laboratoire d’idées DEDIĈI, soutenu par la Fondation de France et la Collectivité européenne d’Alsace, pourraient offrir un point d’appui solide à cette réflexion.

Ces travaux sont issus d’un collectif de personnes directement impliquées, dont la vision, la parole et les contextes de vie apportent des perspectives uniques, souvent issues de capacités intellectuelles contrastées, mais toujours enrichissantes par leur regard atypique.

La conceptualisation hors norme produite mérite d’être mise à l’épreuve dans le cadre d’une recherche approfondie. Cette approche, ancrée dans l’innovation sociale, pourrait ouvrir la porte à des perspectives non conventionnelles, tout en restant profondément connectée à la réalité quotidienne des personnes vulnérables.

Les chercheurs concernés et motivés par ce sujet sont invités à explorer librement ces propositions, à les réinterpréter selon leur propre démarche, et à contribuer à cette réflexion d’envergure, en coconstruction avec les personnes directement impliquées.

Il s’agit à l’évidence d’une démarche pluridisciplinaire, faisant appel aux compétences en sociologie, anthropologie, philosophie et au-delà, pour bâtir une solidarité plus consistante, durable et adaptée aux besoins réels de ceux qui en ont le plus besoin.


Vers une Approche Épistémologique :

Cette recherche ne s’arrête pas à la formulation théorique, mais propose une démarche en perpétuelle évolution. Le modèle théorique développé pour identifier la cause des causes, ainsi que la proposition de sa réduction, doivent être constamment mis à l’épreuve à travers diverses recherches-actions. Ces expérimentations concrètes, nourries par l’axe de recherche proposé, serviront à tester, ajuster et affiner les solutions organisationnelles.

Ces recherches-actions permettront de valider et de réinterpréter le modèle théorique en fonction des réalités observées sur le terrain. Chaque expérimentation viendra enrichir le modèle, garantissant que la démarche théorique reste ancrée dans la réalité des personnes vulnérables et qu’elle continue à s’adapter aux contextes sociaux et humains variés.

Cette interaction continue entre théorie et pratique permettra d’avancer vers la construction d’un Code de Solidarité universel, fondé sur des bases solides mais souples, capables d’évoluer pour garantir l’efficacité et la durabilité des dispositifs de solidarité.


Remarques :

  • En coopération avec l’École Supérieure de Praxis sociale de Mulhouse et trois associations partenaires, DEDIĈI restituera en novembre 2024 le résultat de sa première recherche-action. Invitation ici.

  • Bibliographie : 6 livres, et plus de 150 articles et contenus vous attendent en lecture libre en ligne, en téléchargement PDF gratuit et en format papier. Cliquez ici.

  • Chat GPT aurait compris DEDIĈI. Voir ici.

La Démarche de DEDIĈI

La Démarche de DEDIĈI

Par ChatGPT, auteur de cette réinterprétation simplifiée de la pensée DEDIĈI.

La solidarité est un concept fondamental qui, dans la théorie développée par DEDIĈI, prend une nouvelle dimension. Dans un monde où les structures d’accompagnement échouent trop souvent à protéger les plus vulnérables, DEDIĈI propose une réorganisation en profondeur, reposant sur l’analyse des causes de ces échecs et la mise en place d’une organisation solide et durable.

Cette réinterprétation a pour objectif de vulgariser les principaux concepts de DEDIĈI afin de rendre plus accessible une pensée riche et complexe, basée sur des années d’observation et d’expérimentation.

La Cause des Causes : Pourquoi la Solidarité Échoue ?

DEDIĈI identifie une “cause des causes” qui explique pourquoi la solidarité n’atteint pas ses objectifs. Ce phénomène est décomposé en cinq sous-causes majeures :

  1. La parole des personnes vulnérables n’est pas entendue. Les besoins réels de ces individus ne sont pas suffisamment pris en compte.

  2. La protection des plus vulnérables est insuffisante. Ils ne bénéficient pas d’une défense continue contre les dangers qui les menacent.

  3. La gestion de leur situation est incomplète. Les solutions de solidarité sont mal organisées et ne sont ni suffisamment évaluées ni contrôlées.

  4. Les intervenants ne sont pas évalués par la personne ou ses soutiens. Cela limite l’efficacité des services fournis.

  5. Les institutions ne soutiennent pas suffisamment les acteurs physiques qui accompagnent les personnes vulnérables. Ce manque de soutien limite l’impact des actions solidaires.

Les 5 Rôles Organisationnels : Une Réponse Concrète

DEDIĈI propose une organisation en cinq rôles pour répondre à ces sous-causes et structurer la solidarité autour de la personne vulnérable :

  1. La personne vulnérable : Au cœur du dispositif, elle doit être écoutée et capable de s’autodéterminer.

  2. Les défenseurs ultimes : Ils assurent une défense constante des droits et de la sécurité de la personne vulnérable.

  3. Ceux qui s’occupent de la situation : Ils coordonnent et évaluent les interventions pour garantir que les besoins de la personne sont bien pris en compte.

  4. Les intervenants de compensation : Ils apportent les services nécessaires pour compenser les incapacités de la personne, en respectant son évaluation.

  5. Les institutions : Elles fournissent le cadre et le soutien pour garantir que la solidarité soit durable.

La Triade d’Autodétermination : Un Modèle de Soutien Centré sur l’Individu

La Triade d’Autodétermination est le pilier central de la théorie de DEDIĈI. Elle regroupe les trois premiers rôles (la personne vulnérable, les défenseurs ultimes et ceux qui s’occupent de la situation) pour garantir à la personne vulnérable le pouvoir de s’autodéterminer tout en étant protégée et soutenue. Ce modèle assure que la solidarité ne soit pas une simple assistance, mais un accompagnement respectueux de la volonté de la personne.

Le Code de la Solidarité : Un Cadre Organisationnel Durable

Le Code de la Solidarité formalise cette approche en un ensemble de principes et de règles claires :

  1. L’autodétermination et le pouvoir d’agir.

  2. La protection continue des droits de la personne.

  3. L’organisation et la gestion des interventions.

  4. Les évaluations régulières des intervenants.

  5. Le soutien institutionnel pour pérenniser les actions solidaires.

Ce Code garantit que la solidarité soit non seulement un engagement moral, mais aussi un cadre juridique et organisationnel.

La Famille Sociale Étendue : Une Réinvention du Concept de Famille

Dans le cadre de DEDIĈI, la Famille Sociale Étendue est un modèle qui dépasse les liens biologiques pour inclure tout un réseau d’acteurs autour de la personne vulnérable. Ce réseau se compose de proches, de professionnels et de bénévoles, assurant ainsi un soutien continu et une protection durable.

Conclusion : Une Nouvelle Vision Universelle de la Solidarité

En analysant les causes profondes des défaillances de la solidarité et en proposant une organisation en cinq rôles interconnectés, DEDIĈI offre une solution systémique applicable dans différents contextes culturels et sociaux. Ce modèle holistique place la personne vulnérable au centre du dispositif et garantit qu’elle reste au cœur de toutes les décisions.

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