Une Nouvelle Donne pour Organiser la Solidarité

Vers un modèle universel pour transformer la solidarité et recentrer les organisations sur les personnes vulnérables.

Dans la complexité de la solidarité, une idée fait son chemin : le Méta-Processus Principiel (MPP). Développé par DEDIĈI, ce concept d’innovation sociale ambitionne de réécrire les règles du jeu, en proposant une structure universelle qui dépasse les approches fragmentées actuelles. Son objectif ? Offrir un repère absolu pour répondre aux besoins des personnes vulnérables tout en révolutionnant les pratiques des acteurs institutionnels et associatifs.

Un cadre universel pour dépasser la fragmentation

À l’origine du Méta-Processus Principiel, une ambition forte : apporter une solution systémique là où les approches traditionnelles échouent souvent. « Aujourd’hui, la solidarité est encore trop souvent organisée autour des structures elles-mêmes, au lieu de l’être autour des besoins réels des personnes », explique un porte-parole de DEDIĈI. Le Méta-Processus change la donne en plaçant la personne au cœur de l’organisation, soutenue par une logique collective en cinq rôles complémentaires.

Ces rôles tenus par la personne vulnérable, les défenseurs, ceux qui s’occupent de sa situation, les intervenants, et les institutions, ne sont pas interchangeables mais fonctionnent comme les pièces d’un mécanisme qui, ensemble, garantissent une réponse coordonnée. Ce modèle transcende les cloisonnements en créant un véritable cadre commun.

Les cinq rôles : une architecture fractale au service de la personne

Chaque rôle du MPP répond à une cause fondamentale des vulnérabilités, identifiée au fil d’années de recherche-action. Selon DEDIĈI, ces causes – manque d’écoute, défense insuffisante, on ne s’occupe pas assez des situations, absence d’évaluation des intervenants, et faiblesse du soutien institutionnel – expliquent l’essentiel des dysfonctionnements observés. Pour y remédier, le Méta-Processus articule ces cinq rôles dans une logique fractale : adaptable, universelle, et intuitive.

Prenons un exemple concret. Une personne isolée confrontée à une situation dangereuse peut mobiliser le rôle de défenseur, tandis qu’un gestionnaire de situation œuvre en parallèle pour identifier des solutions durables. Ces rôles, soutenus par des institutions qui garantissent leur pérennité, s’alignent pour assurer une réponse cohérente et complète.

Un alignement stratégique dans la lignée des normes ISO

Le MPP ne se contente pas d’une approche théorique : il s’inscrit pleinement dans les standards de qualité, notamment ceux des normes ISO 9001. « En mettant le Méta-Processus au sommet des référentiels, nous garantissons que toutes les stratégies organisationnelles et déclarations qualité convergent vers un objectif commun : répondre aux attentes des personnes vulnérables et de leurs proches », précise l’un des auteurs du modèle.

Cette structuration repose sur trois niveaux : le Méta-Processus, les processus principaux, et les processus support. Ce cadre garantit une action harmonisée, même dans des environnements multi-acteurs complexes. Et surtout, il assure que les personnes vulnérables ne soient plus laissées à la périphérie des priorités organisationnelles.

Une révolution organisationnelle en marche

Mais le Méta-Processus Principiel va plus loin qu’un simple référentiel qualité. Il impose une transformation profonde des pratiques, en réorganisant les structures autour d’une triade d’autodétermination : la personne vulnérable, ses défenseurs, et ceux qui s’occupent de sa situation. « Ce modèle n’est pas seulement un outil technique, c’est une boussole morale et organisationnelle qui place la personne ainsi augmentée en position de gouverner sa vie», insiste DEDIĈI.

Pour les institutions, cela signifie un véritable bouleversement. Il ne s’agit plus seulement d’ajuster des pratiques existantes, mais de réinventer entièrement la manière dont la solidarité est conçue et mise en œuvre. En plaçant la personne au centre, les organisations passent d’une logique institutionnelle à une logique humaniste et coopérative.

Vers un code universel de la solidarité ?

Avec le MPP, DEDIĈI invite les acteurs de la solidarité à franchir un cap décisif : transformer ce cadre en un référentiel universel et opposable. L’objectif est ambitieux : créer un Code de la Solidarité qui serait adopté par tous les acteurs engagés dans l’accompagnement des personnes vulnérables.

Une innovation sociale au service du collectif

Le Méta-Processus Principiel est une tentative audacieuse de répondre à une question fondamentale : comment construire une solidarité plus juste et plus efficace ? À en croire DEDIĈI, cette réponse pourrait bien transformer radicalement les pratiques des acteurs de la solidarité, des petites associations aux grandes institutions.

Pour en savoir plus et explorer les bases de ce modèle, téléchargez un document un peu plus complet

 



Viens, on réfléchit ensemble

Viens, on le fait

On sait des choses, toi et moi. Des choses qu’on entend, qu’on voit, ou qu’on lit dans les journaux. Des histoires qui font froid dans le dos. Des histoires qu’on aimerait croire exceptionnelles, mais qui reviennent trop souvent.

Pauvre enfant abandonné, loin de tout repère, balloté entre institution, foyers et familles d’accueil, comme une valise sans poignée ; Pauvre mamie dans son EHPAD, oubliée dans le tumulte du quotidien, privée d’attention et de soin, parfois humiliée, parfois frappée ; Pauvre handicapé mental, perdu dans une institution censée l’aider, mais qui ne fait que le briser un peu plus, sous le poids des règles absurdes et du mépris ; pauvre celui-ci, pauvre celle-là, pauvre-aidant, pauvre enfant, pauvre maman, pauvres aimants.

Et ce ne sont pas des cas isolés. Non, dis moi pas k’ c’est pas vrai ! Vérité, on en voit partout et des pires, des enfants maltraités dans des foyers censés les protéger, des personnes âgées ligotées dans des chambres sans fenêtre, laissées des heures dans leur urine, des adultes vulnérables abandonnés par des tuteurs débordés ou négligents, spoliés de leurs biens, oubliés dans leur détresse, des scandales, des abus, des négligences, qui s’accumulent comme des montagnes de honte dans nos journaux, des aidants épuisés jusqu’au suicide.

On sait tout ça, mais alors, pourquoi ça continue ?

On sait que le système de solidarité, il n’aime pas les contre-pouvoirs. Il n’aime pas être surveillé. Mais comment on fait pour éviter ces horreurs, si personne ne regarde ?
On sait aussi que, dans ce système, tous les salariés sont stresses, fatigués en souffrance et que tout de même la très grandes majorité d’entre eux essaye de bien faire. Les soignants, les éducateurs, les assistantes sociales, ils sont là pour aider. Mais quand le système est défaillant, quand il oublie ses priorités, ce sont eux qui croulent sous la pression, et ce sont les plus faibles qui trinquent, les familles qui récupèrent.

Le problème, c’est qu’on a oublié qui est le vrai client. Ce n’est pas l’administration, ce n’est pas l’établissement, ce n’est pas le financeur. Le vrai client, c’est la personne vulnérable. Et tant qu’on ne remet pas ça au centre, tant qu’on ne change pas la façon de piloter tout ça, on continuera à lire ces histoires d’horreur.

Et si on changeait ?

Viens, on imagine un truc.
Si, à la place de ce système qui décide tout d’en haut, on construisait une organisation où la personne vulnérable est le pilote, et ses proches les co-pilotes. Et si les institutions, les établissements, et les professionnels devenaient leurs alliés, au lieu de prendre les décisions à leur place ?

Et surtout, si on mettait en place des cellules de vigilance citoyenne, indépendantes, pour surveiller ce système et relancer tout ce qui ne va pas ? Pas pour casser, mais pour aider. Pour dire : « Hé, là, ça dérape. Faites quelque chose. »

Parce que tu sais quoi ?

Quand on y pense, ce qu’il manque, c’est pas tant des moyens, ni des lois, ni des nouvelles réformes. Ce qu’il manque, c’est un peu de bon sens. Le bon sens de remettre la personne vulnérable au centre, de lui donner une vraie voix, de lui permettre de piloter sa vie. Et de mettre tout ce système sous une vigilance bienveillante mais ferme, pour que ces histoires horribles deviennent l’exception, et non la règle.

Allez, viens, on réfléchit à ça. Parce qu’on sait qu’on peut mieux faire. On le sait tous.

Eh oui, c’est possible de faire quelque chose de différent

Parce que oui, c’est possible. On peut faire vraiment autre chose. Il y a beaucoup de personnes qui le disent. Il y a DEDIĈI qui le dit aussi depuis plus de 40 ans. Qui se débat, qui propose, qui montre, qui prouve qu’un autre modèle peut exister. Un modèle où c’est la personne vulnérable qui décide, avec ses proches, où tout est organisé autour d’elle, et pas autour des intérêts des puissants.

Mais le problème, c’est que le système n’écoute toujours pas, ou pas assez. Il ne veut pas entendre. Il ne veut pas écouter, il ne veut pas ou ne peut pas comprendre. Ce sont toujours les mêmes qui décident. Les hauts fonctionnaires, les dirigeants, les institutions en place, tous bien calés dans leurs certitudes, à croire qu’ils savent mieux que les parents, les proches, les citoyens, ou même les personnes vulnérables elles-mêmes. Et ceux qui sont différents, ceux qui pensent autrement, les “simples d’esprit” comme ils disent parfois, on les écarte. On les ignore. On les a ostracisés.

Alors oui, c’est possible de changer, mais ça demande du courage et de la liberté d’esprit.

Le courage de remettre en question les façons de faire des bien-pensants qui ont trop l’habitude de penser à la place des autres.

Le courage de regarder en face ce qui ne va pas et de dire : “On peut faire mieux, avec ce qu’on a et avec ce qu’on est, et on va le faire ensemble.”

Mais toi et moi, on sait bien que ce courage, il ne viendra pas d’en haut. Il viendra de nous. De ceux qui vivent les vraies difficultés. Et de ceux qui n’acceptent plus de voir des enfants, des mamies, des personnes vulnérables, des citoyens fragiles abandonnés à leur sort.

Courage. Viens on le fait.

L’incontournable Triade d’Autodétermination

Résumé

Une innovation sociale majeure pour changer la vie des plus vulnérables et leurs proches !

L’accompagnement des personnes vulnérables passe par des organisations complexes – familiales, sociales et institutionnelles – où les événements de la vie, les conflits d’intérêts, ainsi que les logiques de pouvoirs et de prérogatives entravent fréquemment l’indépendance et l’efficacité de l’aide. Cet article présente la notion de « triade d’autodétermination » comme une configuration innovante et essentielle, recentrée sur la personne vulnérable, n’appartenant qu’à elle, et soutenue par un socle institutionnel éthique, non intrusif. Cette approche garantit l’équilibre, la flexibilité et la pérennité de l’ensemble du dispositif, qui repose sur cinq rôles interdépendants.

Introduction

Les personnes vulnérables – enfants, personnes âgées, personnes handicapées, isolées, ou en souffrance psychique ou sociale – ont besoin d’un accompagnement équilibré, continu, respectueux de leurs droits et de leurs choix. Or, la réalité se heurte à de multiples contraintes : l’absence ou la fragilité de « défenseurs de cœur » inlassables et réellement indépendants ou justes, ainsi que la position délicate des professionnels du secteur social ou médico-social, soumis à des hiérarchies, des intérêts financiers ou institutionnels éloignés des besoins réels de la personne.

Ces obstacles empêchent d’offrir une assistance véritablement centrée sur l’individu. C’est dans ce contexte qu’émerge la notion de « triade d’autodétermination », un dispositif conceptuel conçu pour assurer, autour de chaque personne vulnérable, une organisation humaine solide, auto-contrôlée et indépendante, mais soutenue. Elle garantit l’écoute, par le temps et l’attention à accorder à la personne, la protection, l’action concrète, et s’intègre dans un ensemble plus vaste comprenant cinq rôles.

Les Cinq Rôles et la Triade d’Autodétermination

Le modèle proposé repose sur cinq rôles fondamentaux :

  1. La Personne Vulnérable (Rôle 1, bleu) :
    Elle est au cœur du dispositif, actrice de sa propre vie, avec ses besoins, ses souhaits et ses droits. Autant que possible, elle participe au choix des personnes de confiance qui formeront sa triade d’autodétermination.

  2. Les Défenseurs Ultimes (Rôle 2, rouge) :
    Ils assurent une protection inconditionnelle des droits et des intérêts de la personne. Ce rôle peut être tenu par des membres de la famille, des amis, des bénévoles ou, dans certains cas, par des professionnels, à condition de n’être redevables qu’envers la personne elle-même, et non envers une structure ou une hiérarchie institutionnelle.

  3. Ceux qui S’Occupent de la Situation (Rôle 3, vert) :
    En coopération étroite avec les acteurs du rôle 2, ils agissent avec et pour la personne, mettant en place et évaluant les aides concrètes. Idéalement professionnels (coordination, médiation, assistance sociale, etc.), ils doivent pouvoir exercer sans subir de pressions contraires aux intérêts de la personne. Ils organisent également les interventions d’autres acteurs au service de la personne.

  4. Les Intervenants Concrets (Rôle 4, noir) :
    Sous la coordination du rôle 3, ces intervenants fournissent des prestations et des services spécifiques (aides à domicile, soins, soutiens juridiques ou administratifs, etc.). Ils agissent sur demande de la triade d’autodétermination, c’est-à-dire de la personne elle-même via ses défenseurs et ceux qui s’occupent de la situation. Leur action est ponctuelle ou régulière, ajustée aux besoins réels, et ne doit pas être entravée par des relations de subordination externes qui iraient à l’encontre des intérêts de la personne.

  5. Le Soutien Institutionnel Non Intrusif (Rôle 5, jaune) :
    Sans un cadre institutionnel clair, reconnu et garanti par une éthique et une législation adaptée, la triade d’autodétermination et l’ensemble des rôles 2, 3 et 4 ne peuvent exister durablement. Le Rôle 5 (institutions, lois, politiques publiques, cellules de veille) n’a pas pour mission de « tenir » la triade, mais de la soutenir, d’en garantir l’intégrité, de former et d’informer ses acteurs, de fournir des ressources (logistiques, financières, techniques) et de proposer des mécanismes de médiation et de résolution de conflits. Ce soutien évite la subordination et permet de surmonter les difficultés récurrentes de recrutement, de coordination, d’engagement sur le long terme ou de conflits d’intérêts entre acteurs.

La Triade d’Autodétermination : Spécificité et Fonctionnement

La triade d’autodétermination se compose des Rôles 1, 2 et 3, tous attachés directement à la personne vulnérable et à aucune autre structure. Elle constitue un cercle de soutien capable de se reconfigurer au gré des aléas de la vie des acteurs. Par exemple, si un Défenseur Ultime (rôle 2) se retire, la triade peut intégrer un nouvel acteur sans perdre son identité ni son efficacité. De même, les acteurs du rôle 3 assurent une permanence et un relais, indépendamment de leur parcours professionnel. Ils mobilisent le rôle 4 (les intervenants concrets) selon les besoins et sous l’impulsion de la personne.

Cette dynamique garantit une relation de confiance, une continuité dans l’aide apportée et un véritable centrage sur la personne. L’idée est de construire une forme de « chimie sociale », une « famille sociale étendue », dans laquelle défenseurs, aidants et intervenants spécifiques coopèrent, se soutiennent mutuellement et s’organisent pour assurer la pérennité du dispositif, en dehors de prégnances institutionnelles pesant sur leurs décisions.

Le Code de la Solidarité : Un Cadre pour l’Autodétermination

Pour assurer la reconnaissance légale et éthique de cette triade d’autodétermination, épaulée par le rôle 5, il est envisageable d’établir un « Code de la Solidarité ». Ce code aurait pour fonctions :

  • Déclarer le principe selon lequel chaque personne vulnérable a droit à une triade d’autodétermination.

  • Assurer, dans la mesure du possible, la libre composition de la triade par la personne impliquée, sans interférences hiérarchiques ou institutionnelles.

  • Fournir un cadre de formation, d’information et de ressources aux acteurs des rôles 2, 3 et 4.

  • Garantir la disponibilité d’un appui logistique, financier ou technique pour soutenir ces acteurs, sans les subordonner.

  • Prévoir des mécanismes de médiation, de résolution de conflits et d’évaluation régulière, afin de préserver l’indépendance, la stabilité et l’efficacité du dispositif.

Grâce à ce Code de la Solidarité, le Rôle 5 devient un élément de soutien indispensable de réalisation d’un possible, un « filet de sécurité » institutionnel qui favorise l’autonomie de la triade sans l’étouffer, tout en intégrant le rôle 4 comme une ressource mobilisable, flexible et ajustée aux besoins.

Un Dispositif Plus Humain et Plus Durable

Comparés aux systèmes actuels, souvent marqués par l’épuisement des aidants, l’instabilité des défenseurs et la subordination des professionnels à des logiques institutionnelles, la triade d’autodétermination et la mise en cohérence des cinq rôles proposent une reconfiguration profondément humaniste.

Elle ne nie pas les difficultés inhérentes au recrutement, à la formation ou à l’équilibre des acteurs, mais reconnaît qu’une approche cohérente, soutenue par un cadre légal et éthique clair, est nécessaire pour dépasser ces limites.

Ce modèle offre à la personne vulnérable une relation de confiance, de continuité et de liberté, dans une intimité sécurisante, dégagée de pressions extérieures arbitraires. En s’appuyant sur les cinq rôles, dont la triade d’autodétermination constitue le cœur gouvernant et pilotant du pouvoir de la personne, et en garantissant la possibilité de mobiliser des intervenants spécifiques (rôle 4) soutenus eux-mêmes par un cadre institutionnel non intrusif (rôle 5), il s’agit d’inventer une solidarité vivante, flexible et réellement centrée sur la personne.

Conclusion

La triade d’autodétermination redéfinit l’accompagnement des personnes vulnérables, en le centrant sur leurs droits, leurs souhaits et leur dignité. Soutenue par un cadre éthique et légal (Rôle 5), elle s’articule avec les intervenants concrets (Rôle 4), formant ainsi un ensemble cohérent, durable, et parfaitement ajusté aux réalités de la vie. En reconnaissant la complexité du recrutement, de la coordination et de la stabilité des acteurs, ce modèle ouvre la voie à une solidarité profondément humaine.

Partout où elle se trouve, et tout au long de sa vie, la personne vulnérable peut ainsi disposer d’une réelle capacité d’action, en s’émancipant des dispositifs institutionnels rigides pour mieux les utiliser et en faisant face aux éventuelles maltraitances. La triade d’autodétermination, véritable noyau d’une famille sociale étendue d’un nouveau type, permet à la personne d’être enfin l’égale des autres.

Il appartient maintenant aux pouvoirs publics d’institutionnaliser cette innovation sociale déterminante, en adoptant un Code de la Solidarité dans une posture de soutien sans subordonner, pour transformer durablement nos modalités d’accompagnement des plus vulnérables.

 

Livres PDF en cours d’écriture sur le sujet :
La Triade d’autodétermination
Le Code de la Solidarité

Autres livres Bibliothèque



Devenez un Ange Gardien

Un acteur discret mais puissant de la Défense Ultime d’une Personne vulnérable.

Pour une Personne vulnérable, un acteur de la Défense Ultime selon DEDIĈI, dans sa version la plus sobre mais essentielle, est un ange gardien discret, un veilleur actif qui observe, déclenche, et veille à ce que les actions correctives se poursuivent jusqu’à ce que les éléments fortement indésirables disparaissent et que la situation redevienne plus supportable, plus acceptable.


Un rôle discret mais essentiel

1. Observation discrète

  • Veille attentive : L’ange gardien reste attentif aux signes présents ou à venir de détresse ou de maltraitance, sans nécessité d’intervention directe sauf en cas de nécessité absolue.

  • Collecte d’informations : Il observe les évolutions et besoins de la situation pour anticiper des interventions pertinentes et veiller à leur mise en œuvre.

2. Déclenchement d’actions correctives

  • Mobilisation de ressources : Lorsqu’il repère un problème, l’ange gardien alerte ou mobilise ou fait mobiliser discrètement des ressources adaptées, comme des services sociaux, des bénévoles ou des institutions locales.

  • Coordination locale : Tout se fait en arrière-plan, pour garantir que les aides arrivent efficacement, sans nécessité de bouleverser inutilement les choses. Mais il choisira de le faire quand même sans délais et sans compromis en cas d’urgence.

3. Suivi continu

  • Évaluation des résultats : L’ange gardien ne se limite pas à déclencher ou faire déclencher ; il s’assure que les actions entreprises apportent des résultats concrets.

  • Adaptation des interventions : Tant que la situation n’est pas résolue, il surveille et ajuste les alertes ou les relais pour répondre à l’évolution des besoins.

4. Maintien de la dignité

  • Respect de l’autonomie : En agissant de manière discrète, l’ange gardien veille à préserver l’intimité et la dignité de la personne vulnérable, évitant toute stigmatisation ou intrusion.


Un modèle de solidarité respectueux et durable

Ce concept d’intervention discrète mais proactive incarne une solidarité efficace. En restant « dans l’ombre de la lumière », l’ange gardien contribue à la régulation des situations difficiles tout en préservant l’intimité et la dignité des personnes vulnérables et en respectant les prérogatives des acteurs en charge de les défendre jusqu’au bout, de ceux qui s’occupent de leurs situations et des intervenants de tout type qui agissent pour elles.

Avec ce modèle, tout citoyen peut devenir un acteur clé de la défense ultime, en jouant un rôle simple mais vital : observer, déclencher, et veiller dans la dissension et la fermeté de ses convictions.


Envie de devenir un ange gardien discret avec DEDIĈI ?

Que vous soyez disponible pour observer à distance ou pour contribuer ponctuellement, votre vigilance et votre engagement peuvent transformer des vies. Rejoignez DEDIĈI et participez à une solidarité respectueuse et efficace.

Parce que la Défense Ultime commence par un regard attentif et une alerte bienveillante.

Et puis il y a aussi la loi 

L’article 223-6 du Code pénal français incarne un principe fondamental de solidarité : l’obligation d’assistance à personne en danger. Ce texte impose à tout citoyen, lorsqu’il est témoin d’une situation de péril immédiat, d’agir pour empêcher un crime ou un délit contre l’intégrité corporelle ou psychologique d’autrui, ou de porter assistance à une personne en détresse, dans la mesure de ses capacités et sans mettre en danger sa propre sécurité. Cet esprit de la loi prend une dimension cruciale lorsqu’il s’applique aux personnes vulnérables, souvent isolées dans des situations où la société a échoué à leur offrir une solidarité suffisante. Cette absence de soutien collectif les expose davantage à des événements indésirables tels que la maltraitance physique ou psychologique. Lorsqu’une personne subit des violences corporelles ou des privations graves, le danger est évident et appelle une intervention rapide ou un signalement immédiat aux autorités compétentes. De même, en cas de maltraitance psychologique, comme des humiliations ou un harcèlement moral qui mettent en péril la santé mentale ou physique (par exemple, un risque suicidaire), le danger est tout aussi réel et exige une réaction proportionnée. La loi, en rendant obligatoire cette assistance, tente de pallier les défaillances de la solidarité institutionnelle en faisant de chaque citoyen un acteur de la Défense Ultime. Ainsi, ce devoir légal ne se limite pas à une obligation individuelle : il est aussi un rappel que l’absence de soutien collectif contribue à l’aggravation des vulnérabilités, et que chaque alerte ou mobilisation participe à reconstruire cette solidarité essentielle autour des plus fragiles.

Une Révolution Conceptuelle

Cet article vise à interpeller la communauté académique en présentant l’approche DEDIĈI comme une innovation conceptuelle majeure dans le domaine de l’accompagnement des personnes vulnérables. Il souligne l’importance du méta-processus principiel et invite à une réflexion approfondie sur ses implications pour la recherche et la pratique en sciences sociales.

Le Méta-processus Principiel d’Accompagnement

Une Révolution Conceptuelle dans l’Approche de la Vulnérabilité Sociale

L’approche DEDIĈI propose un cadre novateur pour repenser l’accompagnement des personnes vulnérables, défiant les paradigmes existants en sciences sociales et ouvrant de nouvelles perspectives pour la recherche et l’intervention sociale.

Dans un contexte où les défis liés à la vulnérabilité sociale ne cessent de se complexifier, l’émergence d’une approche novatrice comme DEDIĈI mérite l’attention de la communauté scientifique. Ce modèle, fondé sur un “méta-processus principiel d’accompagnement”, offre une perspective radicalement nouvelle sur la manière d’appréhender et de répondre aux besoins des personnes en situation de vulnérabilité.

Une Approche Systémique et Principielle

Au cœur de DEDIĈI se trouve le concept de méta-processus principiel d’accompagnement. Cette approche ne se contente pas de proposer des principes isolés ou des lignes directrices rigides. Elle introduit un cadre conceptuel complet, ancré dans des fondements théoriques et éthiques profonds, qui guide chaque aspect de l’accompagnement des personnes vulnérables.

Le modèle identifie cinq facteurs clés qui, selon DEDIĆI, sont à l’origine de l’aggravation ou de la persistance des situations de vulnérabilité :

1. Le manque d’écoute et de respect de la parole de la personne vulnérable

2. L’absence de protection constante

3. Le manque d’attention dans la recherche de compensations adaptées

4. L’absence d’évaluation des intervenants par la personne vulnérable

5. Le soutien insuffisant des institutions envers les acteurs de terrain

Implications pour la Recherche et la Pratique

Cette approche principielle ouvre de nouvelles voies pour la recherche en sciences sociales. Elle invite à repenser les méthodologies d’étude des situations de vulnérabilité, en mettant l’accent sur l’interaction dynamique entre les facteurs identifiés. De plus, elle soulève des questions cruciales sur l’éthique de la recherche et de l’intervention sociale, en plaçant la personne vulnérable au centre du processus d’évaluation et de décision.

Pour les praticiens, DEDIĈI offre un cadre flexible et adaptable, capable de s’ajuster à divers contextes culturels et sociaux tout en maintenant une cohérence fondamentale dans l’approche.

Un Appel à l’Action pour la Communauté Académique

L’approche DEDIĈI lance un défi à la communauté académique : celui de valider empiriquement ce modèle, d’explorer son adaptabilité dans différents contextes culturels, et d’évaluer son impact sur l’efficacité des interventions sociales.

En proposant une vision systémique et principielle de l’accompagnement des personnes vulnérables, DEDIĈI ne se contente pas de répondre aux défis actuels ; elle anticipe les complexités futures de notre tissu social. Elle invite les chercheurs et les praticiens à repenser fondamentalement notre approche de la vulnérabilité sociale, ouvrant ainsi la voie à des interventions plus efficaces et plus respectueuses de la dignité humaine.

Lire aussi le livre MPPA en bibliothèque

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Question de Jean-Luc LEMOINE :

ChatGPT, penses-tu que cet article a de bonnes chances d’intéresser un public académique ?

Réponse de ChatGPT

Oui, je pense que cet article a de bonnes chances d’intéresser un public académique, particulièrement dans les domaines des sciences sociales et humaines. Voici pourquoi :

1. Pertinence du sujet : L’article aborde le méta-processus principiel d’accompagnement de DEDIĈI, un concept novateur dans l’approche de la vulnérabilité sociale. Ce type d’innovation conceptuelle est généralement d’un grand intérêt pour les chercheurs en sciences sociales.

2. Aspect interdisciplinaire : L’approche DEDIĈI semble transcender les frontières traditionnelles entre les disciplines, ce qui pourrait attirer l’attention de chercheurs de divers domaines des sciences sociales et humaines.

3. Défi aux paradigmes existants : L’article présente DEDIĈI comme une approche qui remet en question les paradigmes existants dans le traitement de la vulnérabilité sociale. Ce type de remise en question est souvent apprécié dans les milieux académiques.

4. Implications pour la recherche et la pratique : L’article souligne les implications potentielles de cette approche tant pour la recherche future que pour la pratique sur le terrain, ce qui pourrait intéresser à la fois les chercheurs et les praticiens.

5. Appel à l’action : L’invitation lancée à la communauté académique pour valider empiriquement le modèle et explorer son adaptabilité pourrait stimuler de nouvelles recherches.

6. Contexte actuel : La discussion sur l’impact et la mesure des sciences sociales et humaines, mentionnée dans les résultats de recherche, montre que ce type de réflexion sur l’approche et l’impact des sciences sociales est d’actualité dans le milieu académique.

D’autant plus que voici quelques compléments

Méthodologie de DEDIĈI et son contexte dans la recherche en sciences sociales

Méthodologie de DEDIĈI

L’approche méthodologique de DEDIĈI se caractérise par plusieurs aspects innovants :

1. Recherche-action participative : DEDIĈI utilise une approche de recherche-action, impliquant directement les personnes vulnérables, leurs familles, et les professionnels dans le processus de recherche et d’intervention. Cette méthode permet une co-construction des connaissances et des solutions.

2. Approche systémique : Le méta-processus principiel d’accompagnement de DEDIĈI adopte une vision holistique de la vulnérabilité, considérant l’individu dans son environnement social, institutionnel et légal.

3. Méthodologie de la “cabane” : DEDIĆI a développé une méthode originale appelée “la cabane”, qui crée des espaces de rencontre et de confiance favorisant le dialogue authentique entre les différents acteurs impliqués.

4. Évaluation continue et adaptative : La méthodologie inclut des bilans intermédiaires réguliers, permettant d’ajuster l’approche en fonction des résultats observés et des retours des participants.

5. Interdisciplinarité : DEDIĈI intègre des perspectives de diverses disciplines (sociologie, psychologie, droit, éthique) pour aborder la complexité de la vulnérabilité sociale.

Inscription dans le contexte plus large de la recherche en sciences sociales

L’approche de DEDIĈI s’inscrit dans plusieurs courants et débats actuels en sciences sociales :

1. Démocratie participative et recherche engagée : DEDIĈI s’aligne avec les tendances actuelles en faveur d’une recherche plus participative et engagée, où les sujets de l’étude deviennent des acteurs de la recherche.

2. Approche par les capabilités : Le focus sur l’autodétermination et le pouvoir d’agir fait écho aux travaux d’Amartya Sen et Martha Nussbaum sur l’approche par les capabilités en développement humain.

3. Éthique du care : L’accent mis sur la relation d’accompagnement et la protection constante s’inscrit dans le courant de l’éthique du care, développé notamment par Carol Gilligan et Joan Tronto.

4. Théorie des systèmes complexes : L’approche systémique de DEDIĈI rejoint les développements récents en théorie des systèmes complexes appliqués aux phénomènes sociaux.

5. Débat sur l’impact des sciences sociales : La volonté de DEDIĈI de créer un “Code de la Solidarité” s’inscrit dans les discussions actuelles sur la manière dont les sciences sociales peuvent influencer concrètement les politiques publiques et les pratiques sociales.

6. Innovation sociale : L’approche de DEDIĈI peut être vue comme une véritable innovation sociale, un concept de plus en plus étudié en sciences sociales pour comprendre comment de nouvelles pratiques émergent pour répondre aux défis sociaux.

7. Droits humains et vulnérabilité : Le travail de DEDIĈI s’inscrit dans les débats actuels sur la conceptualisation de la vulnérabilité dans le cadre des droits humains et de la justice sociale.

Cette approche novatrice de DEDIĈI offre donc de nombreuses opportunités pour enrichir et questionner les paradigmes existants en sciences sociales, tout en proposant des pistes concrètes pour améliorer l’accompagnement des personnes vulnérables. Elle invite à repenser les relations entre théorie et pratique, entre recherche et action sociale, et entre individus, communautés et institutions dans la construction d’une société plus solidaire et inclusive.

Sources :

https://www.revue-horizons.ch/2019/12/05/faut-il-mesurer-limpact-des-sciences-humaines-et-sociales/
https://www.arss.fr
https://www.dedici.org/dedici-en-quelques-mots
https://www.ledevoir.com/opinion/idees/470333/les-sciences-sociales-et-humaines-pour-quoi-faire
https://www.editions-msh.fr/revue/information-sur-les-sciences-sociales/
https://univ-cotedazur.fr/formation/offre-de-formation/licence-sciences-de-lhomme-ethnologie-anthropologie
https://allez-savoir.fr/manifestations/qui-peur-des-sciences-sociales-libertes-academiques-et-culture-de-lexcuse
[https://formations.unistra.fr/fr/formations/licence-XA/licence-sciences-sociales-ME62/anthropologie-sociale-et-ethnologie-ead-l3-PR519.html

À l’épreuve des valeurs mondiales

L’égalité contre le libéralisme égoïste : La famille sociale étendue à l’épreuve des valeurs mondiales

L’égalité, comme valeur centrale de la société française, fait partie de l’héritage des Lumières et de la Révolution française. Elle est ancrée dans la tradition républicaine qui valorise les droits de l’homme et la justice sociale. En France, la famille est souvent perçue comme un espace d’égalité et de solidarité, où les individus doivent être protégés sans distinction de leur force ou de leur vulnérabilité. Cette conception s’oppose profondément aux tendances libérales égoïstes de certaines sociétés contemporaines, où la réussite individuelle et la compétitivité dominent les valeurs sociales.

Dans ce contexte, les thèses de DEDIĈI autour de la famille sociale étendue, qui visent à assurer la protection des plus vulnérables par un collectif solidaire, prennent un sens tout particulier. Mais comment ces thèses peuvent-elles s’articuler avec les modèles familiaux d’autres pays ? À quelles valeurs s’allient-elles, et contre lesquelles s’opposent-elles ?

1. L’égalité au cœur de la tradition française

La société française a longtemps valorisé l’égalité comme un principe fondateur, non seulement en termes de droits politiques et sociaux, mais aussi dans la structure familiale. La famille est vue comme un microcosme de la société, où chacun doit bénéficier de la même attention et des mêmes soins, quelle que soit sa condition. Dans ce modèle, la protection des personnes vulnérables (enfants, personnes âgées, malades) est un devoir collectif, et la famille élargie ou les structures sociales sont appelées à jouer un rôle central.

C’est dans cette tradition que s’inscrit la notion de famille sociale étendue, défendue par DEDIĈI. Cette vision propose un modèle où la solidarité ne se limite pas aux liens de sang ou au noyau familial classique, mais s’étend à un réseau social plus large qui prend en charge les plus faibles. Ce modèle pourrait facilement s’intégrer dans la tradition française d’égalité et de justice sociale, où la protection des plus vulnérables n’est pas vue comme une charité, mais comme un droit fondamental. DEDIĈI propose même un Code de la Solidarité, qui naîtrait notamment des valeurs égalitaires de la France.

2. Le libéralisme égoïste et la sélection naturelle

À l’opposé, certaines sociétés, notamment influencées par les valeurs néolibérales, mettent en avant la réussite individuelle et la compétition. Dans ces contextes, la famille est souvent perçue comme un espace de reproduction sociale où les ressources sont concentrées pour maximiser la réussite des membres les plus performants. Les vulnérables, que ce soit en raison de l’âge, de la santé ou des capacités, sont parfois perçus comme des fardeaux, et les politiques publiques peuvent encourager une réduction des aides et protections, laissant place à une sélection naturelle de ceux qui parviennent à “réussir” selon des critères économiques.

Dans ces sociétés, la protection des plus faibles n’est souvent pas vue comme une priorité sociale. Le libéralisme égoïste justifie parfois ces inégalités par des notions d’efficacité économique ou de « méritocratie », où seuls les plus performants ou les plus adaptés sont encouragés à prospérer. C’est dans ces contextes que les thèses de DEDIĈI, basées sur une solidarité universelle et l’égalité de protection, se trouvent en opposition directe avec les idées de sélection et de compétitivité sociale.

3. Alliances possibles avec d’autres modèles familiaux mondiaux

Cependant, les thèses de DEDIĈI ne s’opposent pas à toutes les visions familiales dans le monde. Certaines sociétés, notamment en Europe du Nord, partagent une vision similaire de la solidarité sociale. Par exemple, dans des pays comme la Suède ou le Danemark, les systèmes de protection sociale universelle s’étendent également aux plus vulnérables. Le modèle nordique de l’État-providence pourrait être un terrain fertile pour les idées de la famille sociale étendue, où la solidarité est à la fois une responsabilité publique et privée.

En revanche, dans certaines sociétés plus traditionnelles, comme celles basées sur des structures patriarcales ou claniques, la famille est souvent un espace de hiérarchie et d’autorité. Dans ces sociétés, la protection des membres les plus vulnérables peut exister, mais elle est souvent subordonnée aux normes patriarcales ou aux règles établies par les anciens ou les chefs de famille. Dans ces contextes, l’idée d’une égalité absolue entre les membres de la famille pourrait être perçue comme déstabilisante, voire contradictoire avec les structures sociales en place.

4. Oppositions aux idéologies eugéniques et utilitaristes

Un autre défi majeur auquel le modèle de DEDIĈI pourrait se heurter concerne les idéologies qui valorisent la force et la sélection naturelle, comme certaines formes d’eugénisme ou de libéralisme utilitariste. Ces idéologies voient souvent les personnes vulnérables non pas comme des individus à protéger, mais comme des éléments faibles qui ralentissent le progrès global de la société.

Dans ces courants, la protection des plus faibles est perçue comme un obstacle à l’amélioration globale de la société. Ils prônent une vision de la société où seuls les individus les plus performants ou les mieux adaptés méritent de prospérer. Dans ces contextes, les thèses de DEDIĈI sont radicalement opposées, car elles insistent sur la valeur inhérente de chaque individu et sur l’obligation collective de garantir une protection égale pour tous, indépendamment de leur utilité ou de leur performance.

5. Conclusion : La famille sociale étendue comme alternative humaniste

Le modèle de la famille sociale étendue offre une réponse humaniste et égalitaire aux défis posés par les tendances libérales égoïstes et les idéologies sélectives. En s’appuyant sur une tradition française de solidarité et en cherchant des alliances avec des modèles familiaux solidaires d’autres pays, il propose une alternative à une société basée sur la compétition et la sélection. Cette vision de la solidarité universelle prônée par DEDIĈI pourrait devenir un contrepoids face à un monde qui valorise de plus en plus l’individualisme et la performance, en rappelant que protéger les plus faibles est non seulement un acte moral, mais une condition nécessaire pour une société équilibrée et juste.

La Démarche de DEDIĈI

La Démarche de DEDIĈI

Par ChatGPT, auteur de cette réinterprétation simplifiée de la pensée DEDIĈI.

La solidarité est un concept fondamental qui, dans la théorie développée par DEDIĈI, prend une nouvelle dimension. Dans un monde où les structures d’accompagnement échouent trop souvent à protéger les plus vulnérables, DEDIĈI propose une réorganisation en profondeur, reposant sur l’analyse des causes de ces échecs et la mise en place d’une organisation solide et durable.

Cette réinterprétation a pour objectif de vulgariser les principaux concepts de DEDIĈI afin de rendre plus accessible une pensée riche et complexe, basée sur des années d’observation et d’expérimentation.

La Cause des Causes : Pourquoi la Solidarité Échoue ?

DEDIĈI identifie une “cause des causes” qui explique pourquoi la solidarité n’atteint pas ses objectifs. Ce phénomène est décomposé en cinq sous-causes majeures :

  1. La parole des personnes vulnérables n’est pas entendue. Les besoins réels de ces individus ne sont pas suffisamment pris en compte.

  2. La protection des plus vulnérables est insuffisante. Ils ne bénéficient pas d’une défense continue contre les dangers qui les menacent.

  3. La gestion de leur situation est incomplète. Les solutions de solidarité sont mal organisées et ne sont ni suffisamment évaluées ni contrôlées.

  4. Les intervenants ne sont pas évalués par la personne ou ses soutiens. Cela limite l’efficacité des services fournis.

  5. Les institutions ne soutiennent pas suffisamment les acteurs physiques qui accompagnent les personnes vulnérables. Ce manque de soutien limite l’impact des actions solidaires.

Les 5 Rôles Organisationnels : Une Réponse Concrète

DEDIĈI propose une organisation en cinq rôles pour répondre à ces sous-causes et structurer la solidarité autour de la personne vulnérable :

  1. La personne vulnérable : Au cœur du dispositif, elle doit être écoutée et capable de s’autodéterminer.

  2. Les défenseurs ultimes : Ils assurent une défense constante des droits et de la sécurité de la personne vulnérable.

  3. Ceux qui s’occupent de la situation : Ils coordonnent et évaluent les interventions pour garantir que les besoins de la personne sont bien pris en compte.

  4. Les intervenants de compensation : Ils apportent les services nécessaires pour compenser les incapacités de la personne, en respectant son évaluation.

  5. Les institutions : Elles fournissent le cadre et le soutien pour garantir que la solidarité soit durable.

La Triade d’Autodétermination : Un Modèle de Soutien Centré sur l’Individu

La Triade d’Autodétermination est le pilier central de la théorie de DEDIĈI. Elle regroupe les trois premiers rôles (la personne vulnérable, les défenseurs ultimes et ceux qui s’occupent de la situation) pour garantir à la personne vulnérable le pouvoir de s’autodéterminer tout en étant protégée et soutenue. Ce modèle assure que la solidarité ne soit pas une simple assistance, mais un accompagnement respectueux de la volonté de la personne.

Le Code de la Solidarité : Un Cadre Organisationnel Durable

Le Code de la Solidarité formalise cette approche en un ensemble de principes et de règles claires :

  1. L’autodétermination et le pouvoir d’agir.

  2. La protection continue des droits de la personne.

  3. L’organisation et la gestion des interventions.

  4. Les évaluations régulières des intervenants.

  5. Le soutien institutionnel pour pérenniser les actions solidaires.

Ce Code garantit que la solidarité soit non seulement un engagement moral, mais aussi un cadre juridique et organisationnel.

La Famille Sociale Étendue : Une Réinvention du Concept de Famille

Dans le cadre de DEDIĈI, la Famille Sociale Étendue est un modèle qui dépasse les liens biologiques pour inclure tout un réseau d’acteurs autour de la personne vulnérable. Ce réseau se compose de proches, de professionnels et de bénévoles, assurant ainsi un soutien continu et une protection durable.

Conclusion : Une Nouvelle Vision Universelle de la Solidarité

En analysant les causes profondes des défaillances de la solidarité et en proposant une organisation en cinq rôles interconnectés, DEDIĈI offre une solution systémique applicable dans différents contextes culturels et sociaux. Ce modèle holistique place la personne vulnérable au centre du dispositif et garantit qu’elle reste au cœur de toutes les décisions.

La Veille Solidaire de Proximité

Une organisation citoyenne pour que personne ne soit plus jamais oublié.

De nombreux proches de personnes vulnérables, notamment les parents de personnes handicapées, vivent avec une inquiétude grandissante : qui s’occupera de leurs protégés lorsqu’ils ne seront plus là ou ne pourront plus assurer leur rôle protecteur ? Ils s’interrogent, souvent en silence, sur l’avenir de leurs proches lorsque leur force déclinera. Ce besoin profond de trouver un substitut solidaire capable d’assurer la continuité de leur rôle les pousse à rechercher des solutions collectives, comme la création d’une famille de compensation, qui les aiderait à partir en paix, en sachant que leurs proches seront bien entourés et protégés.

C’est dans ce contexte que la Veille Solidaire de Proximité prend tout son sens. En proposant une logique où une structure citoyenne surveillerait l’application de la solidarité, ce projet pourrait favoriser la mise en place de “Familles Sociales étendues”. Ces organisations d’un autre type, issues de la solidarité collective, seraient surveillées et renforcées par la solidarité citoyenne, offrant une garantie rassurante à tous ceux qui s’inquiètent pour l’avenir de leurs proches qui ne pourraient plus bénéficier de leur veille.


Introduction

Malgré les efforts des associations, des institutions, et la bienveillance naturelle de nombreux citoyens, il existe encore des situations où les personnes vulnérables ne bénéficient pas pleinement de la solidarité. Certaines situations restent mal couvertes, voire ne reçoivent pas le soutien nécessaire, ce qui rend essentiel de surveiller l’effectivité de la solidarité pour s’assurer que personne ne soit laissé de côté.

Un Code de la Solidarité est une idée qui pourrait être développée pour définir les principes et les rôles essentiels garantissant une solidarité réelle et durable envers les personnes vulnérables. Cependant, pour que ce code prenne pleinement effet, il est nécessaire de mettre en place une organisation citoyenne capable de suivre et d’évaluer son application sur le terrain.

Les cellules de veille solidaire de proximité seraient un dispositif clé pour proposer et surveiller l’effectivité de ce code. Composées de bénévoles, ces cellules assureraient un suivi local et indépendant, permettant de fournir des retours précieux sur la qualité et la continuité de l’accompagnement des personnes vulnérables. Ce modèle, simple à mettre en place, peut renforcer les actions solidaires déjà menées par les associations et les rendre encore plus efficaces.


Un Observatoire

Afin de visualiser le travail des cellules de veille, un système d’information  très simple serait développé pour centraliser les données recueillies par les bénévoles. Ce système permettrait d’alimenter une cartographie synthétique anonymisée pour chaque personne, mettant en lumière la réalité d’une Famille Sociale étendue :

  • Défense ultime : présence d’une organisation de personnes physiques œuvrant à la protection et à la défense de la personne en permanence.

  • Celui qui s’occupe de la situation : présence d’une organisation permettant de rechercher, négocier, mettre en place et évaluer le meilleur de la solidarité.

  • Offre de compensation : présence de personnes physiques capables d’apporter des compensations évaluées.

  • Soutien institutionnel : engagement des structures publiques et institutions morales pour apporter un soutien à l’ensemble des personnes physiques contribuant aux points précédents.

Chaque cellule alimenterait cette cartographie, et un indicateur global serait créé pour évaluer l’état général de la situation, avec un système d’alerte en cas de lacunes importantes.


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  • Un projet collaboratif : La Veille Solidaire de Proximité s’appuie sur un modèle où chaque association peut adapter le dispositif à son propre fonctionnement, sans alourdir ses structures. L’initiative repose sur l’engagement citoyen, un concept familier à nombre d’associations militantes.

  • Une mise en place simple : Créer et animer des cellules locales, composées de bénévoles, permet d’agir immédiatement et de s’intégrer facilement dans les activités associatives courantes. Le projet ne nécessite pas de grandes ressources supplémentaires, et son modèle de financement volontaire s’adapte parfaitement à la dynamique associative.

  • Une perspective d’amélioration continue : Grâce à un suivi local et des évaluations régulières, les cellules de veille solidaire peuvent fournir aux associations des retours directs sur la qualité de l’accompagnement des personnes vulnérables. Ce retour d’information permet de renforcer et ajuster en continu les actions menées.

  • Un impact mesurable : En collaborant avec un système d’information national, les associations peuvent non seulement améliorer leurs pratiques mais aussi contribuer à une cartographie synthétique qui identifie les besoins réels et les zones à renforcer.


Financement et soutien institutionnel

Les cellules de veille solidaire seraient financées par tout système de solidarité volontaire, couvrant au moins les frais de fonctionnement. La coopération entre les associations de bénévoles solidaires et des structures spécialisées dans la famille comme l’UNAF garantirait ainsi la pérennité et la fiabilité des projets. Ce financement flexible permet aux associations de s’engager sans contrainte, avec des ressources adaptées à leurs capacités.


Phase expérimentale et extension

Le projet pourrait être initié à petite échelle dans une région pilote, avec la création de quelques cellules pour tester le modèle. Si cette phase expérimentale est concluante, le dispositif pourrait être progressivement étendu à d’autres régions avec l’appui des UDAF (Unions Départementales des Associations Familiales) et de l’UNAF.


Conclusion

La Veille Solidaire de Proximité représenterait une réponse concrète et citoyenne à l’application effective d’un éventuel Code de la Solidarité à définir. En assurant un suivi indépendant et structuré, elle permettrait de combler les lacunes actuelles et de garantir que chaque personne vulnérable bénéficie du soutien dont elle a besoin, tout en assurant une solidarité active et durable.


Annexe : Canevas du Code de la Solidarité en cours de réflexion

  1. Préambule

    • Contexte : Ce code vise à restructurer et simplifier les principes de solidarité en France. Il s’agit de rassembler et unifier les législations existantes (Constitution, Code de l’action sociale, Code de la santé, etc.) en un document unique pour rendre la solidarité plus accessible et appliquée universellement.

    • Objectif : Offrir un cadre simple et cohérent pour protéger efficacement les personnes vulnérables.

  2. Objectifs du Code

    • Garantir l’écoute, la compréhension et le respect des personnes vulnérables.

    • Protéger et défendre les personnes vulnérables contre tous les risques.

    • S’assurer que l’on s’occupe activement de la situation des personnes vulnérables, en cherchant et en mettant en place les meilleures solutions.

    • Permettre aux personnes aidées d’évaluer les intervenants, garantissant ainsi la qualité des services fournis.

    • Soutenir activement les acteurs de la solidarité (familles, aidants, professionnels) avec l’aide des institutions françaises.

  3. Les cinq principes de la solidarité

    • Principe 1 : Droit à l’écoute, à la compréhension et au respect

    • Principe 2 : Droit à la protection et à la défense

    • Principe 3 : Droit à ce qu’on s’occupe de sa situation

    • Principe 4 : Droit à l’évaluation des intervenants

    • Principe 5 : Droit au soutien des institutions françaises

  4. La famille sociale étendue

    • Définition : Compense les failles de la famille biologique. Elle inclut proches, amis, bénévoles et professionnels formant une structure de soutien durable et continue.

    • Objectif : Assurer que la personne vulnérable soit accompagnée par une solidarité constante, en cas de manquement de la famille biologique.

  5. Les mécanismes de suivi et d’évaluation

    • Cellules de veille solidaire : Organisation citoyenne composée de bénévoles assurant un suivi indépendant de l’effectivité de la solidarité.

    • Système d’information national : Outil centralisé pour évaluer la protection et l’accompagnement de chaque personne vulnérable, en fonction des cinq principes de solidarité.

    • Processus d’évaluation continue : Possibilité pour les personnes vulnérables d’évaluer la qualité des intervenants et des solutions mises en place.

  6. Financement et coopération institutionnelle

    • Financement public : Fonds publics couvrant les frais des cellules de veille et des actions de solidarité.

    • Coopération entre les associations et les institutions : Collaboration entre des associations citoyennes et des organisations telles que l’UNAF pour garantir la pérennité et la fiabilité des actions solidaires.

  7. Application et extension

    • Expérimentation régionale : Lancement d’une phase expérimentale dans une région pilote pour tester le modèle avant son extension.

    • Participation citoyenne et institutionnelle : Invitation aux citoyens et institutions de participer à l’élaboration et à l’évolution du Code.

  8. Évolution du Code

    • Amélioration continue : Les retours des cellules de veille et des citoyens permettent d’adapter le Code aux besoins émergents des personnes vulnérables.

    • Engagement public et citoyen : Implication des pouvoirs publics et des citoyens pour transformer ce Code en une norme légale et institutionnelle.

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DEDIĈI en quelques mots

DEDIĈI, signifiant dédié-à, consacré à en espéranto, est un laboratoire d’idées qui propose une vision révolutionnaire de la solidarité, pensée non seulement comme un principe moral, mais comme une organisation systémique au profit des plus vulnérables.

Fondé par Jean-Luc LEMOINE, parent impliqué et administrateur d’associations parentales de l’UNAPEI et de l’UDAF dans le Haut-Rhin, ce laboratoire est aujourd’hui vit par une équipe de bénévoles exceptionnels, et en partenariat avec l’École Supérieure de Praxis Sociale de Mulhouse et pour l’instant (2024) trois associations du monde parental et de la bienfaisance.

La dynamique opérationnelle et relationnelle est assurée par Michel LECLERC.

L’association se positionne désormais comme un pionnier dans l’articulation et la conceptualisation d’une novation sociétale conduisant vers un Code de la Solidarité.

Cette notion conceptuelle prend racine dans une expérimentation de terrain et de profondes réflexions sur les attentes des familles confrontées à la vulnérabilité d’un proche, notamment en situation de handicap intellectuel.

Les Principes Fondateurs de DEDIĈI

Au cœur de DEDIĈI se trouvent cinq principes fondateurs, lesquels forment la base de ce que l’on peut appeler la solidarité systémique. Ces principes sont conçus pour garantir que jamais plus aucune personne vulnérable ne soit laissée seule, et qu’une structure de soutien pérenne, fondée sur des rôles définis, s’établisse durablement.

  1. L’autodétermination et le pouvoir d’agir : Ce principe repose sur l’idée que chaque individu, même en situation d’empêchement, doit avoir la possibilité de s’exprimer et d’agir sur sa propre vie. Il s’agit d’une forme de pouvoir sur son destin, assurée même en cas de vulnérabilité.

  2. La permanence des rôles de solidarité : Pour que la solidarité soit effective et continue, les rôles autour des personnes vulnérables doivent se maintenir, au-delà des individus qui les occupent temporairement. Ce renouvellement garantit que la structure solidaire ne dépende pas d’une personne unique, mais s’inscrit dans un schéma de coopération et de transmission.

  3. Ceux qui s’occupent de la situation : Ce principe renforce l’idée que des acteurs prennent en charge la gestion des interventions au quotidien, dans un effort continu de recherche, de négociation et d’évaluation pour optimiser la solidarité. Il s’agit de maintenir une vigilance constante autour des besoins évolutifs des personnes vulnérables.

  4. L’expression et l’évaluation par la personne vulnérable : Il est crucial que les personnes en situation de vulnérabilité aient la possibilité de donner leur avis, de signaler ce qui est bon ou non pour elles, et d’évaluer les actions menées en leur nom. C’est ici que la prise de pouvoir sur l’autodétermination se manifeste pleinement.

  5. Le soutien institutionnel durable : Les institutions, qu’elles soient familiales, sociales ou publiques, doivent offrir un cadre stable et pérenne pour soutenir à la fois les personnes vulnérables et ceux qui leur viennent en aide. Ce principe garantit que la solidarité ne soit pas seulement une obligation morale, mais aussi une obligation politique et institutionnelle.

La Famille Sociale Étendue

L’une des contributions majeures de DEDIĈI est d’avoir conceptualisé la famille sociale étendue, une notion qui redéfinit le rôle de la famille en incluant tous les acteurs susceptibles de contribuer au bien-être d’une personne vulnérable. Dans cette vision, la famille biologique n’est plus seule à assumer les responsabilités, mais est soutenue ou même remplacée, lorsque nécessaire, par une structure élargie : amis, voisins, bénévoles, et professionnels. Ce modèle repose sur la diversité des origines des membres, mais aussi sur leur engagement dans des rôles distincts mais complémentaires soutenus par les institutions.

Le Code de la Solidarité : Une Arme Politique

Ce qui distingue DEDIĈI des autres approches de la solidarité est son ambition de faire de la solidarité un cadre juridique et politique à part entière. Le Code de la Solidarité, tel que proposé par DEDIĈI, ne se limite pas à des textes de loi existants ; il réorganise et unifie les concepts de solidarité, non pas simplement comme une responsabilité sociale, mais comme un droit fondamental, sanctuarisé au sein d’une société bienveillante. La vision de DEDIĈI est de structurer la solidarité en une arme politique, capable de rétablir l’équilibre entre les plus forts et les plus faibles, tout en anticipant les besoins des générations futures.

Vers une Réforme Sociale et Universelle

La mission de DEDIĈI est d’ouvrir la voie à une réforme sociale d’envergure mondiale. Ce modèle, bien que né de réflexions ancrées dans le contexte français, est universel dans son ambition. Il aspire à traverser les frontières et à être adopté dans toutes les sociétés, que ce soit à travers des coutumes ancestrales ou des systèmes modernes de solidarité. La pérennité des rôles solidaires, couplée à un soutien institutionnel fort, offre la garantie que les vulnérabilités seront protégées de manière organisée, quelles que soient les circonstances.

Conclusion

DEDIĈI, à travers ses nombreuses contributions et sa vision novatrice de la solidarité, propose un changement radical dans la manière dont les sociétés s’organisent autour de la protection des plus faibles.

Son ambition de créer un Code de la Solidarité est un appel à repenser les fondements mêmes de nos systèmes sociaux, pour qu’ils deviennent des piliers solides, garantissant à tous une protection durable et systémique.

La connaissance de DEDIĈI, de ses principes et de ses projets, invite chacun à réfléchir non seulement à la solidarité au quotidien, mais aussi à la manière dont elle pourrait se transformer en une force structurante pour le bien-être collectif.

Rendez-vous dans notre bibliothèque et parcourez nos articles et rapports de recherche action. Nous sommes a votre disposition.

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En avant première

Un Nouveau Livre va Peut-être Révolutionner la Solidarité : À Paraître Fin d’Année 2024

L’association DEDICI, reconnue pour ses travaux avant-gardistes en matière de solidarité, prépare la sortie d’un nouvel ouvrage qui s’annonce comme un tournant majeur pour l’organisation de la protection des personnes vulnérables. “La Famille Sociale Étendue et le Code de la Solidarité” proposera une approche radicalement nouvelle pour ne laisser personne de côté, même lorsque les proches bienveillants ne sont plus là ou n’ont jamais existé.

Un Cadre de Solidarité Systémique

Le livre explorera la manière dont la solidarité peut et doit être organisée pour garantir une protection continue et durable aux personnes vulnérables. Il introduira le concept de la famille sociale étendue, une organisation de soutien qui va au-delà de la famille biologique, en incluant des amis, des voisins, des bénévoles, et des professionnels.

À travers une description simple et des exemples concrets, cet ouvrage met en lumière comment cette organisation peut assurer que les personnes vulnérables soient protégées tout au long de leur vie, peu importe les circonstances.

Le Code de la Solidarité : Une Réponse Institutionnelle

L’une des grandes innovations de ce livre est l’introduction du Code de la Solidarité, une proposition qui vise à faire de la solidarité une norme institutionnelle, et non plus un simple acte de bienveillance plus ou moins soutenu par de bons textes de loi. Ce code propose un cadre juridique et organisationnel pour garantir que la solidarité devienne une véritable responsabilité partagée, soutenue par des institutions solides et pérennes.

Publications Précédentes pour Approfondir la Réflexion

Ce nouveau livre s’inscrit dans la continuité des travaux de DEDICI, qui a déjà publié plusieurs ouvrages explorant différents aspects de la solidarité. Parmi eux :

  1. Prendre Soin de la Personne Vulnérable – Une introduction à l’accompagnement des personnes vulnérables.

  2. La Défense Ultime de la Personne Vulnérable – Comment protéger les personnes vulnérables à long terme, même après la disparition des proches.

  3. La Coordination dans Tous Ses États – Un manuel pour les professionnels et institutions cherchant à améliorer la coordination dans l’accompagnement.

  4. MPPA : Le Méta-Processus-Principiel d’Accompagnement – Un texte centré sur la convergence institutionnelle pour un meilleur accompagnement.

  5. Tribune – La parole des Impliqués. Une réflexion poussée sur l’organisation et les principes de la solidarité.

  6. Simple et Convergent – Un ouvrage sur l’efficacité et la simplicité des processus solidaires à conditions qu’ils servent un processus universel, celui de la personne vulnérable.

  7. Dedici, Plaidoyer – Le tout premier livre de DEDICI, exposant la philosophie de l’association.

Ces livres, disponibles en ligne www.dedici.org/bibliotheque, permettent aux lecteurs d’explorer en avant-première les concepts qui seront approfondis dans le nouvel ouvrage à paraître.

Un Livre pour Répondre aux Défis de Notre Société

La sortie de “La Famille Sociale Étendue et le Code de la Solidarité” est prévue pour la fin de l’année 2024. Il promet d’offrir des solutions concrètes et des propositions audacieuses pour réorganiser la solidarité et garantir que personne ne soit jamais laissé pour compte. Que vous soyez une personne vulnérable, un de ses proches, un décideur, un acteur du social ou un citoyen engagé, ce livre vous apportera des outils éclairants et pratiques pour contribuer à une société plus solidaire et plus juste.