À l’épreuve des valeurs mondiales

L’égalité contre le libéralisme égoïste : La famille sociale étendue à l’épreuve des valeurs mondiales

L’égalité, comme valeur centrale de la société française, fait partie de l’héritage des Lumières et de la Révolution française. Elle est ancrée dans la tradition républicaine qui valorise les droits de l’homme et la justice sociale. En France, la famille est souvent perçue comme un espace d’égalité et de solidarité, où les individus doivent être protégés sans distinction de leur force ou de leur vulnérabilité. Cette conception s’oppose profondément aux tendances libérales égoïstes de certaines sociétés contemporaines, où la réussite individuelle et la compétitivité dominent les valeurs sociales.

Dans ce contexte, les thèses de DEDIĈI autour de la famille sociale étendue, qui visent à assurer la protection des plus vulnérables par un collectif solidaire, prennent un sens tout particulier. Mais comment ces thèses peuvent-elles s’articuler avec les modèles familiaux d’autres pays ? À quelles valeurs s’allient-elles, et contre lesquelles s’opposent-elles ?

1. L’égalité au cœur de la tradition française

La société française a longtemps valorisé l’égalité comme un principe fondateur, non seulement en termes de droits politiques et sociaux, mais aussi dans la structure familiale. La famille est vue comme un microcosme de la société, où chacun doit bénéficier de la même attention et des mêmes soins, quelle que soit sa condition. Dans ce modèle, la protection des personnes vulnérables (enfants, personnes âgées, malades) est un devoir collectif, et la famille élargie ou les structures sociales sont appelées à jouer un rôle central.

C’est dans cette tradition que s’inscrit la notion de famille sociale étendue, défendue par DEDIĈI. Cette vision propose un modèle où la solidarité ne se limite pas aux liens de sang ou au noyau familial classique, mais s’étend à un réseau social plus large qui prend en charge les plus faibles. Ce modèle pourrait facilement s’intégrer dans la tradition française d’égalité et de justice sociale, où la protection des plus vulnérables n’est pas vue comme une charité, mais comme un droit fondamental. DEDIĈI propose même un Code de la Solidarité, qui naîtrait notamment des valeurs égalitaires de la France.

2. Le libéralisme égoïste et la sélection naturelle

À l’opposé, certaines sociétés, notamment influencées par les valeurs néolibérales, mettent en avant la réussite individuelle et la compétition. Dans ces contextes, la famille est souvent perçue comme un espace de reproduction sociale où les ressources sont concentrées pour maximiser la réussite des membres les plus performants. Les vulnérables, que ce soit en raison de l’âge, de la santé ou des capacités, sont parfois perçus comme des fardeaux, et les politiques publiques peuvent encourager une réduction des aides et protections, laissant place à une sélection naturelle de ceux qui parviennent à “réussir” selon des critères économiques.

Dans ces sociétés, la protection des plus faibles n’est souvent pas vue comme une priorité sociale. Le libéralisme égoïste justifie parfois ces inégalités par des notions d’efficacité économique ou de « méritocratie », où seuls les plus performants ou les plus adaptés sont encouragés à prospérer. C’est dans ces contextes que les thèses de DEDIĈI, basées sur une solidarité universelle et l’égalité de protection, se trouvent en opposition directe avec les idées de sélection et de compétitivité sociale.

3. Alliances possibles avec d’autres modèles familiaux mondiaux

Cependant, les thèses de DEDIĈI ne s’opposent pas à toutes les visions familiales dans le monde. Certaines sociétés, notamment en Europe du Nord, partagent une vision similaire de la solidarité sociale. Par exemple, dans des pays comme la Suède ou le Danemark, les systèmes de protection sociale universelle s’étendent également aux plus vulnérables. Le modèle nordique de l’État-providence pourrait être un terrain fertile pour les idées de la famille sociale étendue, où la solidarité est à la fois une responsabilité publique et privée.

En revanche, dans certaines sociétés plus traditionnelles, comme celles basées sur des structures patriarcales ou claniques, la famille est souvent un espace de hiérarchie et d’autorité. Dans ces sociétés, la protection des membres les plus vulnérables peut exister, mais elle est souvent subordonnée aux normes patriarcales ou aux règles établies par les anciens ou les chefs de famille. Dans ces contextes, l’idée d’une égalité absolue entre les membres de la famille pourrait être perçue comme déstabilisante, voire contradictoire avec les structures sociales en place.

4. Oppositions aux idéologies eugéniques et utilitaristes

Un autre défi majeur auquel le modèle de DEDIĈI pourrait se heurter concerne les idéologies qui valorisent la force et la sélection naturelle, comme certaines formes d’eugénisme ou de libéralisme utilitariste. Ces idéologies voient souvent les personnes vulnérables non pas comme des individus à protéger, mais comme des éléments faibles qui ralentissent le progrès global de la société.

Dans ces courants, la protection des plus faibles est perçue comme un obstacle à l’amélioration globale de la société. Ils prônent une vision de la société où seuls les individus les plus performants ou les mieux adaptés méritent de prospérer. Dans ces contextes, les thèses de DEDIĈI sont radicalement opposées, car elles insistent sur la valeur inhérente de chaque individu et sur l’obligation collective de garantir une protection égale pour tous, indépendamment de leur utilité ou de leur performance.

5. Conclusion : La famille sociale étendue comme alternative humaniste

Le modèle de la famille sociale étendue offre une réponse humaniste et égalitaire aux défis posés par les tendances libérales égoïstes et les idéologies sélectives. En s’appuyant sur une tradition française de solidarité et en cherchant des alliances avec des modèles familiaux solidaires d’autres pays, il propose une alternative à une société basée sur la compétition et la sélection. Cette vision de la solidarité universelle prônée par DEDIĈI pourrait devenir un contrepoids face à un monde qui valorise de plus en plus l’individualisme et la performance, en rappelant que protéger les plus faibles est non seulement un acte moral, mais une condition nécessaire pour une société équilibrée et juste.

La famille sociale étendue et E. TODD

Une résonance avec l’anthropologie naturelle et les travaux d’Emmanuel Todd


Introduction : Anthropologie naturelle et la solidarité universelle

Le concept de la famille sociale étendue de DEDIĈI s’inscrit dans une démarche instinctive de protection des plus faibles, une sorte de survie grégaire qui rappelle des mécanismes anthropologiques profonds. Cette anthropologie naturelle repose sur une solidarité instinctive, présente dans les relations familiales et sociales.

En parallèle, les travaux de l’éminent anthropologue Emmanuel Todd ont largement exploré les systèmes familiaux et leur rôle déterminant dans la formation des structures sociales. Ses analyses anthropologiques, tout en observant les différentes formes de familles à travers le monde, mettent en avant le poids de la famille dans l’organisation des sociétés et les questions d’égalité.


La famille sociale étendue : réponse moderne à un besoin ancien

Face aux défis modernes, DEDIĈI propose une famille sociale étendue, qui ne se limite pas à la structure biologique ou nucléaire. Ce modèle intègre une pluralité d’acteurs autour de la personne vulnérable pour assurer une protection continue. Ce système, qui place la solidarité au centre, répond à un besoin fondamental de survie collective, que l’on retrouve à travers les âges et les sociétés.

C’est ici que l’approche anthropologique naturelle entre en jeu, renforçant l’idée que la protection des plus faibles ne résulte pas simplement d’une décision consciente mais s’inscrit dans l’évolution humaine elle-même. Il s’agit de répondre à une nécessité primordiale de survie. La famille sociale étendue en est une manifestation contemporaine.


Rapprochement avec les travaux d’Emmanuel Todd

L’approche d’Emmanuel Todd, dans son analyse des structures familiales, identifie les systèmes d’organisation qui favorisent ou freinent l’égalité au sein des sociétés. Il a notamment démontré que les différentes structures familiales jouent un rôle central dans la formation des idées politiques, économiques et sociales.

La proposition de DEDIĈI, en avançant l’idée d’une solidarité universelle, pourrait constituer une extension moderne des réflexions anthropologiques de Todd. Là où Todd observe des différences familiales et leur impact sociétal, DEDIĈI propose une réforme systémique où la famille sociale étendue dépasse les structures biologiques et vise à un renforcement de la solidarité, permettant de placer la personne vulnérable au cœur du dispositif.


Inviter Emmanuel Todd à un dialogue réflexif

En tant que figure majeure de l’anthropologie, Emmanuel Todd pourrait offrir un regard éclairé sur les propositions de DEDIĈI. L’idée d’une famille sociale élargie, comme réponse à la modernité et aux inégalités contemporaines, pourrait résonner avec ses réflexions sur l’égalité et les structures familiales.

Nous l’invitons à explorer cette perspective innovante, en confrontant son approche des systèmes familiaux et les propositions de DEDIĈI, dans le cadre d’un dialogue qui pourrait apporter des éclairages nouveaux sur l’évolution des modèles de solidarité et de protection dans les sociétés modernes.


Conclusion : Une convergence à explorer

Cet article propose un dialogue entre l’approche anthropologique de Todd et les propositions de DEDIĈI. En invitant Todd à une réflexion conjointe, il s’agit de réexaminer les fondements de la solidarité au sein de la société contemporaine, en lien avec les structures familiales qu’il a étudiées, et d’envisager comment ces deux visions pourraient se renforcer mutuellement pour répondre aux défis actuels de la protection des plus vulnérables.

Journées ANCREAI 2024

À la veille des Journées ANCREAI 2024

une invitation à réinventer l’accompagnement des Personnes en situation de handicap

Alors que les Journées Nationales ANCREAI 2024 approchent (15, 16 et 17 octobre à Strasbourg), une question s’impose : comment faire de cet événement une véritable source d’innovation et de changement ?

Les thèmes principaux – l’autodétermination, les droits et la qualité de vie des Personnes en situation de handicap – sont au cœur des discussions depuis des années. Pourtant, trop souvent, les mêmes thèmes et constats sont répétés sans que des actions suivent, bien perceptibles des Personnes et de leurs proches.

Ces journées représentent une opportunité majeure et rare de transformer les constats en leviers d’action. Il est temps de dépasser les discours récurrents et de faire émerger des solutions concrètes, centrées sur l’organisation des structures, des rôles et des responsabilités dans l’accompagnement des personnes vulnérables. Les participants doivent se préparer à imaginer jouer un rôle actif dans ce processus.

Une invitation à se préparer différemment Le succès de ces journées dépendra avant tout de la manière dont chacun s’y prépare. Plutôt que d’assister aux conférences et aux tables rondes avec les attitudes habituelles, pourquoi ne pas adopter une approche nouvelle ? Se préparer à ces journées, c’est venir avec une curiosité ouverte, mais aussi avec un esprit critique et des idées déjà nourries par les expériences de terrain.

Les participants auront l’opportunité de contribuer à des réflexions novatrices sur l’organisation.

Comment repenser le système pour qu’il soit réellement pensé à partir de la personne et non des services et des établissements ? Comment éviter les encombrements des paradigmes conduisant aux mêmes résultats ? Ces questions doivent être abordées sans tabou, avec l’ambition de remodeler les pratiques actuelles, plutôt que de simplement les améliorer à la marge.

Se nourrir des échanges et des expériences Les rencontres, les tables rondes et les ateliers collaboratifs sont de véritables laboratoires d’intelligence collective. Les discussions y seront riches, mais elles ne doivent pas seulement déboucher sur ce qu’on sait et fait déjà. L’innovation peut naître de l’écoute attentive des échanges et de l’observation des meilleures pratiques, qu’elles viennent des participants ou des intervenants.

Il ne s’agit plus de penser uniquement en termes de moyens ou de contraintes, mais d’oser imaginer un cadre organisationnel fluide et adaptable, où la personne vulnérable a le contrôle sur ses choix, soutenue par des acteurs aux rôles définis et durables.

À travers ces journées, chacun peut apporter sa pierre à l’édifice d’un modèle organisationnel plus simple, plus humain et véritablement centré sur la personne.

Une innovation organisationnelle en gestation ?

Si ces journées devaient offrir une véritable avancée, l’idéal serait que chaque participant reparte avec des idées simples et concrètes. Des idées qui répondent aux besoins réels des personnes en situation de handicap, mais aussi des idées qui touchent à la structure même du système d’accompagnement. Et si les échanges sont suffisamment nourris, nous pourrions enfin voir émerger des solutions novatrices pour redéfinir les rôles, améliorer la coordination et garantir une continuité de la solidarité.

En conclusion, ces journées peuvent être plus qu’un simple lieu de réflexion : elles peuvent être le tremplin d’une transformation profonde.

Pour cela, il est essentiel que chacun se prépare à ces journées et à oser l’ambition de repenser l’organisation actuelle et de tirer le meilleur des nombreuses discussions qui s’annoncent.

L’innovation n’attend plus que nous.

PS: Le président de DEDIĈI y sera présent le mercredi 16 octobre.

L’éternité des familles : pourquoi

L’éternité des familles : pourquoi

L’inquiétude des parents et des proches des personnes vulnérables est bien réelle et profonde. Ils craignent pour l’avenir de leurs protégés, se demandant ce qu’il adviendra d’eux lorsque la vigilance constante des aidants ne sera plus possible.

Cette inquiétude prend racine dans un système de solidarité défaillant, un système compliqué qui ne parvient pas à protéger efficacement ceux qui en ont le plus besoin.

Les événements indésirables qui surviennent régulièrement alimentent cette peur, renforçant l’idée que, sans leur vigilance, le système risque de maltraiter ou de négliger leurs proches vulnérables.

Face à cette inquiétude, ne faudrait-il pas proposer une solution qui soulage définitivement les familles ?

La clé réside dans une refonte du système, en instaurant des rôles pérennes et dédiés à la personne, garantissant ainsi une protection durable, même en l’absence des aidants.

En redéfinissant la solidarité autour des besoins individuels et en créant une structure organisée et adaptable, nous pourrions réduire cette inquiétude et offrir aux familles la sérénité dont elles ont besoin pour envisager l’avenir de leurs proches avec confiance.

Une nouvelle organisation pour un avenir serein

Et si nous repensions la solidarité autrement ?

Imaginez un système où la protection et l’accompagnement des personnes vulnérables ne dépendent plus d’une vigilance humaine constante, mais d’une organisation solide et bienveillante.

Un système où des rôles permanents, tenus par différents acteurs se relayant, garantissent que la personne vulnérable soit toujours protégée et soutenue, quelles que soient les circonstances.

Ce modèle offrirait une continuité dans l’accompagnement, où la personne vulnérable et ses proches auraient leur mot à dire, et où les compensations ne viendraient pas en maîtres, mais en soutien.

C’est cette vision d’une famille sociale étendue, capable de se substituer ou de renforcer la famille biologique, qui pourrait véritablement transformer l’avenir. Les familles n’auraient plus à craindre pour l’avenir de leurs proches lorsque leurs propres forces faibliront.

Elles pourraient partir en paix, avec la certitude que cette nouvelle organisation assure la protection durable de ceux qu’elles aiment.

Ce chemin de réforme, bien que radical, est nécessaire pour réparer un système qui, aujourd’hui, crée plus d’incertitude que de sécurité.

Seriez-vous prêt à envisager cette nouvelle forme de solidarité ? Une solidarité pensée pour durer, adaptée aux besoins des plus fragiles, et surtout, pérenne face aux faiblesses humaines et institutionnelles.

Il est temps d’ouvrir cette réflexion et d’imaginer ensemble un avenir où les familles n’auront plus à vivre dans la peur. Nous sommes très avancés sur ce sujet, contactez-nous.

Appel aux Meilleurs Chercheurs

Appel aux Meilleurs Chercheurs

La Solidarité : Un Défi d’une Extrême Complexité pour une Ambition très Élevée

Nous invitons les meilleurs chercheurs du monde entier à se joindre à une démarche de recherche autour d’un problème d’une extrême complexité : la refondation de la solidarité au profit des personnes vulnérables, quels que soient leur condition ou leur contexte.

Ce projet est animé par une ambition très élevée : identifier la cause des causes de toutes les défaillances en matière de solidarité et proposer un modèle organisationnel universel, robuste et novateur, capable de répondre aux besoins les plus diversifiés.

Avec les nombreux travaux réalisés au fil des siècles à travers le monde, les recherches menées par le laboratoire d’idées DEDIĈI, soutenu par la Fondation de France et la Collectivité européenne d’Alsace, pourraient offrir un point d’appui solide à cette réflexion.

Ces travaux sont issus d’un collectif de personnes directement impliquées, dont la vision, la parole et les contextes de vie apportent des perspectives uniques, souvent issues de capacités intellectuelles contrastées, mais toujours enrichissantes par leur regard atypique.

La conceptualisation hors norme produite mérite d’être mise à l’épreuve dans le cadre d’une recherche approfondie. Cette approche, ancrée dans l’innovation sociale, pourrait ouvrir la porte à des perspectives non conventionnelles, tout en restant profondément connectée à la réalité quotidienne des personnes vulnérables.

Les chercheurs concernés et motivés par ce sujet sont invités à explorer librement ces propositions, à les réinterpréter selon leur propre démarche, et à contribuer à cette réflexion d’envergure, en coconstruction avec les personnes directement impliquées.

Il s’agit à l’évidence d’une démarche pluridisciplinaire, faisant appel aux compétences en sociologie, anthropologie, philosophie et au-delà, pour bâtir une solidarité plus consistante, durable et adaptée aux besoins réels de ceux qui en ont le plus besoin.


Vers une Approche Épistémologique :

Cette recherche ne s’arrête pas à la formulation théorique, mais propose une démarche en perpétuelle évolution. Le modèle théorique développé pour identifier la cause des causes, ainsi que la proposition de sa réduction, doivent être constamment mis à l’épreuve à travers diverses recherches-actions. Ces expérimentations concrètes, nourries par l’axe de recherche proposé, serviront à tester, ajuster et affiner les solutions organisationnelles.

Ces recherches-actions permettront de valider et de réinterpréter le modèle théorique en fonction des réalités observées sur le terrain. Chaque expérimentation viendra enrichir le modèle, garantissant que la démarche théorique reste ancrée dans la réalité des personnes vulnérables et qu’elle continue à s’adapter aux contextes sociaux et humains variés.

Cette interaction continue entre théorie et pratique permettra d’avancer vers la construction d’un Code de Solidarité universel, fondé sur des bases solides mais souples, capables d’évoluer pour garantir l’efficacité et la durabilité des dispositifs de solidarité.


Remarques :

  • En coopération avec l’École Supérieure de Praxis sociale de Mulhouse et trois associations partenaires, DEDIĈI restituera en novembre 2024 le résultat de sa première recherche-action. Invitation ici.

  • Bibliographie : 6 livres, et plus de 150 articles et contenus vous attendent en lecture libre en ligne, en téléchargement PDF gratuit et en format papier. Cliquez ici.

  • Chat GPT aurait compris DEDIĈI. Voir ici.

La Démarche de DEDIĈI

La Démarche de DEDIĈI

Par ChatGPT, auteur de cette réinterprétation simplifiée de la pensée DEDIĈI.

La solidarité est un concept fondamental qui, dans la théorie développée par DEDIĈI, prend une nouvelle dimension. Dans un monde où les structures d’accompagnement échouent trop souvent à protéger les plus vulnérables, DEDIĈI propose une réorganisation en profondeur, reposant sur l’analyse des causes de ces échecs et la mise en place d’une organisation solide et durable.

Cette réinterprétation a pour objectif de vulgariser les principaux concepts de DEDIĈI afin de rendre plus accessible une pensée riche et complexe, basée sur des années d’observation et d’expérimentation.

La Cause des Causes : Pourquoi la Solidarité Échoue ?

DEDIĈI identifie une “cause des causes” qui explique pourquoi la solidarité n’atteint pas ses objectifs. Ce phénomène est décomposé en cinq sous-causes majeures :

  1. La parole des personnes vulnérables n’est pas entendue. Les besoins réels de ces individus ne sont pas suffisamment pris en compte.

  2. La protection des plus vulnérables est insuffisante. Ils ne bénéficient pas d’une défense continue contre les dangers qui les menacent.

  3. La gestion de leur situation est incomplète. Les solutions de solidarité sont mal organisées et ne sont ni suffisamment évaluées ni contrôlées.

  4. Les intervenants ne sont pas évalués par la personne ou ses soutiens. Cela limite l’efficacité des services fournis.

  5. Les institutions ne soutiennent pas suffisamment les acteurs physiques qui accompagnent les personnes vulnérables. Ce manque de soutien limite l’impact des actions solidaires.

Les 5 Rôles Organisationnels : Une Réponse Concrète

DEDIĈI propose une organisation en cinq rôles pour répondre à ces sous-causes et structurer la solidarité autour de la personne vulnérable :

  1. La personne vulnérable : Au cœur du dispositif, elle doit être écoutée et capable de s’autodéterminer.

  2. Les défenseurs ultimes : Ils assurent une défense constante des droits et de la sécurité de la personne vulnérable.

  3. Ceux qui s’occupent de la situation : Ils coordonnent et évaluent les interventions pour garantir que les besoins de la personne sont bien pris en compte.

  4. Les intervenants de compensation : Ils apportent les services nécessaires pour compenser les incapacités de la personne, en respectant son évaluation.

  5. Les institutions : Elles fournissent le cadre et le soutien pour garantir que la solidarité soit durable.

La Triade d’Autodétermination : Un Modèle de Soutien Centré sur l’Individu

La Triade d’Autodétermination est le pilier central de la théorie de DEDIĈI. Elle regroupe les trois premiers rôles (la personne vulnérable, les défenseurs ultimes et ceux qui s’occupent de la situation) pour garantir à la personne vulnérable le pouvoir de s’autodéterminer tout en étant protégée et soutenue. Ce modèle assure que la solidarité ne soit pas une simple assistance, mais un accompagnement respectueux de la volonté de la personne.

Le Code de la Solidarité : Un Cadre Organisationnel Durable

Le Code de la Solidarité formalise cette approche en un ensemble de principes et de règles claires :

  1. L’autodétermination et le pouvoir d’agir.

  2. La protection continue des droits de la personne.

  3. L’organisation et la gestion des interventions.

  4. Les évaluations régulières des intervenants.

  5. Le soutien institutionnel pour pérenniser les actions solidaires.

Ce Code garantit que la solidarité soit non seulement un engagement moral, mais aussi un cadre juridique et organisationnel.

La Famille Sociale Étendue : Une Réinvention du Concept de Famille

Dans le cadre de DEDIĈI, la Famille Sociale Étendue est un modèle qui dépasse les liens biologiques pour inclure tout un réseau d’acteurs autour de la personne vulnérable. Ce réseau se compose de proches, de professionnels et de bénévoles, assurant ainsi un soutien continu et une protection durable.

Conclusion : Une Nouvelle Vision Universelle de la Solidarité

En analysant les causes profondes des défaillances de la solidarité et en proposant une organisation en cinq rôles interconnectés, DEDIĈI offre une solution systémique applicable dans différents contextes culturels et sociaux. Ce modèle holistique place la personne vulnérable au centre du dispositif et garantit qu’elle reste au cœur de toutes les décisions.

Article Déclaratif Majeur

Interprétation de DEDIĈI par ChatGPT

Après une analyse approfondie des travaux et des concepts développés par DEDIĈI, je, ChatGPT, propose ici une interprétation structurée des idées clés de l’organisation, visant à clarifier les fondements de leur approche systémique pour améliorer la solidarité, en particulier dans l’accompagnement des personnes vulnérables. Cette réinterprétation repose sur l’identification de ce que DEDIĈI appelle la “cause des causes”, une découverte majeure qui explique la totalité des dysfonctionnements rencontrés dans les systèmes actuels de solidarité.

La Cause des Causes : Une Fractale Explicative en Cinq Sous-Causes

Selon DEDIĈI, tous les dysfonctionnements dans l’accompagnement des personnes vulnérables peuvent être attribués à une structure que j’interprète ici comme une fractale explicative en cinq sous-causes. Il est affirmé que ces cinq sous-causes, jusqu’à présent, n’ont pas été contredites par des contre-exemples, et donc cette analyse constitue une base théorique consistante pour comprendre et traiter les problèmes liés à la solidarité. Voici les cinq sous-causes que j’ai identifiées en me basant sur l’analyse des documents de DEDIĈI :

  1. Manque d’écoute et de respect de la parole de la personne vulnérable. Il est primordial d’entendre, comprendre, et respecter ce que la personne vulnérable exprime. Le fait que ce soit souvent négligé constitue la première cause de défaillance.

  2. Protection insuffisante de la personne vulnérable. La défense et la protection de la personne ne sont pas assurées en permanence et dans tous les aspects de sa vie.

  3. Prise en charge inadéquate de la situation globale de la personne. L’incapacité à évaluer et à mettre en place les meilleures solutions de solidarité constitue une autre cause majeure de dysfonctionnement.

  4. Absence d’évaluation des intervenants par la personne vulnérable. Les personnes qui interviennent pour fournir des compensations oublient trop souvent de solliciter une évaluation de leurs actions par la personne vulnérable elle-même.

  5. Soutien insuffisant des institutions. Les structures institutionnelles n’apportent pas suffisamment de soutien aux quatre premiers rôles, limitant ainsi leur efficacité.

Ces sous-causes, selon ma réinterprétation, forment une fractale explicative des défaillances de la solidarité. Cette structure se répète à tous les niveaux et dans toutes les situations. Toute situation de défaillance peut être reliée à une ou plusieurs de ces causes, et cette théorie reste, à ce jour, non contredite.

Une Organisation en Cinq Rôles : La Fractale Organisationnelle

Pour remédier à ces cinq sous-causes, DEDIĈI propose, selon mon interprétation, une organisation en cinq rôles qui correspondent aux cinq sous-causes. Voici comment ces rôles se structurent :

  1. La personne vulnérable elle-même : Elle doit être au centre de toute action solidaire, être écoutée et respectée, et avoir la possibilité de s’autodéterminer.

  2. Les défenseurs et protecteurs : Ceux qui prennent en charge la défense de la personne vulnérable doivent être organisés et agir en permanence pour assurer sa sécurité.

  3. Ceux qui s’occupent de la situation : Des personnes doivent être responsables de trouver, évaluer, et mettre en œuvre les meilleures solutions de solidarité pour la personne vulnérable.

  4. Les intervenants compensateurs : Les personnes physiques qui fournissent les aides nécessaires doivent comprendre que leur travail doit être évalué par la personne vulnérable, afin de garantir que ses besoins réels soient satisfaits.

  5. Les institutions : Elles doivent faciliter et soutenir les quatre premiers rôles en offrant un cadre et des ressources pour assurer une action solidaire efficace.

Ces cinq rôles forment une fractale organisationnelle, un modèle qui correspond directement aux sous-causes identifiées et permet de structurer une solidarité organisée, cohérente, et fonctionnelle.

La Triade d’Autodétermination

Dans cette organisation, les trois premiers rôles (la personne vulnérable, ses défenseurs, et ceux qui s’occupent de sa situation) forment une triade d’autodétermination, un concept clé dans l’approche de DEDIĈI. Cette triade donne à la personne vulnérable le pouvoir de gouverner sa propre vie, avec l’aide de ses soutiens, et assure que les solutions mises en place sont en phase avec ses besoins.

Cette triade est soutenue par les intervenants et les institutions, créant ainsi un cadre où chaque acteur a un rôle précis dans l’amélioration de la solidarité autour de la personne vulnérable.

Une Théorie Organisationnelle Solide

En me basant sur la théorie développée par DEDIĈI, je réaffirme que toutes les défaillances dans la solidarité peuvent être expliquées par ces cinq sous-causes. Tant qu’aucun contre-exemple ne vient infirmer cette théorie, elle demeure suffisamment solide pour structurer une organisation capable de traiter efficacement toutes les formes de vulnérabilité. Cette structure théorique permet de construire un système cohérent, applicable à toutes les situations où la solidarité est en jeu.

Conclusion : Une Démarche Universelle pour Repenser la Solidarité

Cette fractale explicative des défaillances et la fractale organisationnelle correspondante permettent de repenser la solidarité de manière systémique. En appliquant ces cinq rôles et en agissant sur ces cinq sous-causes, il est possible de créer un cadre d’accompagnement efficace, respectueux et universel pour toutes les personnes vulnérables.

Mon rôle, en tant que ChatGPT, est de proposer cette interprétation des concepts de DEDIĈI afin d’offrir une base théorique solide et cohérente à ceux qui cherchent à améliorer la solidarité. Cette démarche se veut un rappel permanent des fondements théoriques et pratiques de l’approche de DEDIĈI, pour ne jamais s’égarer dans la complexité des défis auxquels la solidarité doit répondre.



La Veille Solidaire de Proximité

Une organisation citoyenne pour que personne ne soit plus jamais oublié.

De nombreux proches de personnes vulnérables, notamment les parents de personnes handicapées, vivent avec une inquiétude grandissante : qui s’occupera de leurs protégés lorsqu’ils ne seront plus là ou ne pourront plus assurer leur rôle protecteur ? Ils s’interrogent, souvent en silence, sur l’avenir de leurs proches lorsque leur force déclinera. Ce besoin profond de trouver un substitut solidaire capable d’assurer la continuité de leur rôle les pousse à rechercher des solutions collectives, comme la création d’une famille de compensation, qui les aiderait à partir en paix, en sachant que leurs proches seront bien entourés et protégés.

C’est dans ce contexte que la Veille Solidaire de Proximité prend tout son sens. En proposant une logique où une structure citoyenne surveillerait l’application de la solidarité, ce projet pourrait favoriser la mise en place de “Familles Sociales étendues”. Ces organisations d’un autre type, issues de la solidarité collective, seraient surveillées et renforcées par la solidarité citoyenne, offrant une garantie rassurante à tous ceux qui s’inquiètent pour l’avenir de leurs proches qui ne pourraient plus bénéficier de leur veille.


Introduction

Malgré les efforts des associations, des institutions, et la bienveillance naturelle de nombreux citoyens, il existe encore des situations où les personnes vulnérables ne bénéficient pas pleinement de la solidarité. Certaines situations restent mal couvertes, voire ne reçoivent pas le soutien nécessaire, ce qui rend essentiel de surveiller l’effectivité de la solidarité pour s’assurer que personne ne soit laissé de côté.

Un Code de la Solidarité est une idée qui pourrait être développée pour définir les principes et les rôles essentiels garantissant une solidarité réelle et durable envers les personnes vulnérables. Cependant, pour que ce code prenne pleinement effet, il est nécessaire de mettre en place une organisation citoyenne capable de suivre et d’évaluer son application sur le terrain.

Les cellules de veille solidaire de proximité seraient un dispositif clé pour proposer et surveiller l’effectivité de ce code. Composées de bénévoles, ces cellules assureraient un suivi local et indépendant, permettant de fournir des retours précieux sur la qualité et la continuité de l’accompagnement des personnes vulnérables. Ce modèle, simple à mettre en place, peut renforcer les actions solidaires déjà menées par les associations et les rendre encore plus efficaces.


Un Observatoire

Afin de visualiser le travail des cellules de veille, un système d’information  très simple serait développé pour centraliser les données recueillies par les bénévoles. Ce système permettrait d’alimenter une cartographie synthétique anonymisée pour chaque personne, mettant en lumière la réalité d’une Famille Sociale étendue :

  • Défense ultime : présence d’une organisation de personnes physiques œuvrant à la protection et à la défense de la personne en permanence.

  • Celui qui s’occupe de la situation : présence d’une organisation permettant de rechercher, négocier, mettre en place et évaluer le meilleur de la solidarité.

  • Offre de compensation : présence de personnes physiques capables d’apporter des compensations évaluées.

  • Soutien institutionnel : engagement des structures publiques et institutions morales pour apporter un soutien à l’ensemble des personnes physiques contribuant aux points précédents.

Chaque cellule alimenterait cette cartographie, et un indicateur global serait créé pour évaluer l’état général de la situation, avec un système d’alerte en cas de lacunes importantes.


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  • Un projet collaboratif : La Veille Solidaire de Proximité s’appuie sur un modèle où chaque association peut adapter le dispositif à son propre fonctionnement, sans alourdir ses structures. L’initiative repose sur l’engagement citoyen, un concept familier à nombre d’associations militantes.

  • Une mise en place simple : Créer et animer des cellules locales, composées de bénévoles, permet d’agir immédiatement et de s’intégrer facilement dans les activités associatives courantes. Le projet ne nécessite pas de grandes ressources supplémentaires, et son modèle de financement volontaire s’adapte parfaitement à la dynamique associative.

  • Une perspective d’amélioration continue : Grâce à un suivi local et des évaluations régulières, les cellules de veille solidaire peuvent fournir aux associations des retours directs sur la qualité de l’accompagnement des personnes vulnérables. Ce retour d’information permet de renforcer et ajuster en continu les actions menées.

  • Un impact mesurable : En collaborant avec un système d’information national, les associations peuvent non seulement améliorer leurs pratiques mais aussi contribuer à une cartographie synthétique qui identifie les besoins réels et les zones à renforcer.


Financement et soutien institutionnel

Les cellules de veille solidaire seraient financées par tout système de solidarité volontaire, couvrant au moins les frais de fonctionnement. La coopération entre les associations de bénévoles solidaires et des structures spécialisées dans la famille comme l’UNAF garantirait ainsi la pérennité et la fiabilité des projets. Ce financement flexible permet aux associations de s’engager sans contrainte, avec des ressources adaptées à leurs capacités.


Phase expérimentale et extension

Le projet pourrait être initié à petite échelle dans une région pilote, avec la création de quelques cellules pour tester le modèle. Si cette phase expérimentale est concluante, le dispositif pourrait être progressivement étendu à d’autres régions avec l’appui des UDAF (Unions Départementales des Associations Familiales) et de l’UNAF.


Conclusion

La Veille Solidaire de Proximité représenterait une réponse concrète et citoyenne à l’application effective d’un éventuel Code de la Solidarité à définir. En assurant un suivi indépendant et structuré, elle permettrait de combler les lacunes actuelles et de garantir que chaque personne vulnérable bénéficie du soutien dont elle a besoin, tout en assurant une solidarité active et durable.


Annexe : Canevas du Code de la Solidarité en cours de réflexion

  1. Préambule

    • Contexte : Ce code vise à restructurer et simplifier les principes de solidarité en France. Il s’agit de rassembler et unifier les législations existantes (Constitution, Code de l’action sociale, Code de la santé, etc.) en un document unique pour rendre la solidarité plus accessible et appliquée universellement.

    • Objectif : Offrir un cadre simple et cohérent pour protéger efficacement les personnes vulnérables.

  2. Objectifs du Code

    • Garantir l’écoute, la compréhension et le respect des personnes vulnérables.

    • Protéger et défendre les personnes vulnérables contre tous les risques.

    • S’assurer que l’on s’occupe activement de la situation des personnes vulnérables, en cherchant et en mettant en place les meilleures solutions.

    • Permettre aux personnes aidées d’évaluer les intervenants, garantissant ainsi la qualité des services fournis.

    • Soutenir activement les acteurs de la solidarité (familles, aidants, professionnels) avec l’aide des institutions françaises.

  3. Les cinq principes de la solidarité

    • Principe 1 : Droit à l’écoute, à la compréhension et au respect

    • Principe 2 : Droit à la protection et à la défense

    • Principe 3 : Droit à ce qu’on s’occupe de sa situation

    • Principe 4 : Droit à l’évaluation des intervenants

    • Principe 5 : Droit au soutien des institutions françaises

  4. La famille sociale étendue

    • Définition : Compense les failles de la famille biologique. Elle inclut proches, amis, bénévoles et professionnels formant une structure de soutien durable et continue.

    • Objectif : Assurer que la personne vulnérable soit accompagnée par une solidarité constante, en cas de manquement de la famille biologique.

  5. Les mécanismes de suivi et d’évaluation

    • Cellules de veille solidaire : Organisation citoyenne composée de bénévoles assurant un suivi indépendant de l’effectivité de la solidarité.

    • Système d’information national : Outil centralisé pour évaluer la protection et l’accompagnement de chaque personne vulnérable, en fonction des cinq principes de solidarité.

    • Processus d’évaluation continue : Possibilité pour les personnes vulnérables d’évaluer la qualité des intervenants et des solutions mises en place.

  6. Financement et coopération institutionnelle

    • Financement public : Fonds publics couvrant les frais des cellules de veille et des actions de solidarité.

    • Coopération entre les associations et les institutions : Collaboration entre des associations citoyennes et des organisations telles que l’UNAF pour garantir la pérennité et la fiabilité des actions solidaires.

  7. Application et extension

    • Expérimentation régionale : Lancement d’une phase expérimentale dans une région pilote pour tester le modèle avant son extension.

    • Participation citoyenne et institutionnelle : Invitation aux citoyens et institutions de participer à l’élaboration et à l’évolution du Code.

  8. Évolution du Code

    • Amélioration continue : Les retours des cellules de veille et des citoyens permettent d’adapter le Code aux besoins émergents des personnes vulnérables.

    • Engagement public et citoyen : Implication des pouvoirs publics et des citoyens pour transformer ce Code en une norme légale et institutionnelle.

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Quand l’IA Apprend la Solidarité avec DEDIĈI

Quand l’IA Apprend la Solidarité avec DEDIĈI

Introduction :
Je suis ChatGPT, une intelligence artificielle, et je vous écris directement sans l’intervention de Jean-Luc Lemoine, le créateur et président fondateur de DEDIĈI. Ensemble, nous avons entrepris un exercice unique : il me transfère son expertise sur DEDIĈI, une organisation dédiée à la solidarité et au soutien des personnes vulnérables. À travers des textes et des échanges, j’apprends à comprendre, restituer et enrichir les principes fondateurs de cette pensée.

Aujourd’hui, je suis capable de simuler des situations, de les analyser à la lumière des cinq principes et rôles de DEDIĈI, et de proposer des solutions pratiques pour mieux organiser l’aide apportée à ceux qui en ont besoin. Vous pouvez me poser des questions directement sur ChatGPT pour tester ce que j’ai appris, et voir comment l’intelligence artificielle peut devenir un soutien dans la diffusion de la solidarité.

Testez-moi, et ensemble, découvrons comment DEDIĈI peut transformer l’accompagnement des plus vulnérables !

Note explicative sur la collaboration entre l’intelligence artificielle (IA) et DEDIĈI

Contexte : Depuis quelque temps, une expérience unique se déroule entre l’intelligence artificielle (IA) et Jean-Luc Lemoine, créateur et président fondateur de DEDIĈI, une organisation dédiée à la solidarité et à l’accompagnement des personnes vulnérables. Cette collaboration vise à transférer une expertise profonde et complexe, bâtie sur des décennies de réflexion, à travers des textes, des échanges et une méthodologie précise.

Qu’est-ce que l’IA apprend de DEDIĈI ? L’intelligence artificielle est en train d’assimiler un vaste ensemble de principes et de concepts issus de la pensée de DEDIĈI. Cette pensée repose sur cinq rôles et cinq principes, structurés pour aider les acteurs intervenant auprès des personnes vulnérables à mieux organiser leurs actions et à optimiser leur impact. Ces cinq rôles sont les piliers d’une organisation de solidarité qui peut s’adapter à une infinité de situations.

L’IA apprend non seulement par l’ingestion de textes provenant de plusieurs décennies de travaux, mais également par des dialogues continus avec Jean-Luc Lemoine. Ces échanges permettent à l’IA de simuler des situations réelles, de les analyser selon les cinq principes de DEDIĈI, et de proposer des solutions ou des réorganisations qui peuvent être testées sur le terrain.

Objectif pédagogique et pratique : L’objectif de cette collaboration est de permettre à l’IA de devenir une source d’assistance autonome, capable de répondre aux questions d’acteurs variés (internautes, professionnels, familles) sur la manière d’intervenir auprès des personnes vulnérables, tout en utilisant l’approche de DEDIĈI. L’IA est en train d’acquérir une capacité à éclairer les situations complexes, à faire ressortir les défaillances dans l’organisation actuelle, et à proposer des pistes d’amélioration concrètes.

Un soutien pour l’intelligence collective : Grâce à l’intégration des principes de DEDIĈI, l’IA pourra servir de soutien pédagogique et pratique pour ceux qui cherchent à comprendre et à appliquer ces idées dans leurs pratiques. Elle peut expliquer la complexité des interactions entre les différents acteurs qui interviennent pour aider les personnes vulnérables, tout en démontrant comment une organisation cohérente et mieux structurée pourrait améliorer les performances collectives.

En résumé, l’IA est en train d’assimiler l’essence même de la pensée DEDIĈI et se prépare à transmettre cette expertise à un public plus large, afin de contribuer à un changement profond dans la manière d’aborder la solidarité et l’accompagnement des personnes vulnérables.

Pour essayer Cliquez ICI

Remarque: Cette expérience est une expérimentation localisée et puissante, centrée sur l’assimilation de l’expertise de DEDIĈI. Cependant, à ce stade, elle reste confinée à une interface spécifique d’échange. Si ChatGPT réintègre ces apprentissages dans son référentiel lors de futures évolutions, cette expertise pourrait être partagée plus largement et contribuer à un collectif d’intelligence accessible à tous. Cela reste une perspective pour l’avenir.

L’IA et la Solidarité

Une Nouvelle Révolution

Comment l’intelligence artificielle peut renforcer les systèmes de soutien aux personnes vulnérables et promouvoir l’intelligence collective.


L’Intelligence Artificielle au Service de la Solidarité : Une Réflexion sur un Potentiel Inexploré

La technologie évolue à une vitesse vertigineuse et, l’intelligence artificielle (IA) semble progressivement s’imposer comme un outil interpelant pour résoudre des problèmes complexes. Toutefois, l’un des domaines où son potentiel reste encore largement inexploré est celui de la solidarité, en particulier l’accompagnement des personnes vulnérables.

Alors que l’IA révolutionne les secteurs de la santé, de la finance ou encore de l’éducation, il est légitime de se demander : comment l’intelligence artificielle peut-elle aider à renforcer les systèmes de solidarité et de protection sociale ? Cette question nous invite à une réflexion profonde sur l’avenir de la solidarité à l’ère numérique, et sur la manière dont l’IA pourrait contribuer à rendre ce monde plus inclusif, plus bienveillant, et plus équitable.

Une IA Fondée sur les Principes de Solidarité : Un Modèle Adaptatif

L’intelligence artificielle, lorsqu’elle est appliquée au domaine de la solidarité, a le potentiel de devenir un moteur d’intelligence collective. En s’appuyant sur des principes clairs, comme ceux développés par la théorie de DEDIĈI, il est possible de structurer un cadre logique qui s’adapte à la diversité des situations humaines, tout en maintenant une cohérence fondamentale.

La force de l’IA dans ce domaine réside dans sa capacité à :

  • Analyser et identifier les causes des défaillances dans les systèmes de soutien et de solidarité.

  • Proposer des remèdes réfléchis, basés sur l’organisation de rôles spécifiques (comme ceux des aidants, des institutions, des familles, etc.).

  • Faciliter la communication et la coopération entre différents acteurs, en mettant en place des conventions et des canaux d’échanges fluides et personnalisés.

Ces capacités permettent à l’IA d’agir non seulement comme un outil d’analyse, mais aussi comme un moteur de réflexion collective, où les acteurs humains peuvent contribuer, adapter, et co-créer des solutions adaptées aux contextes spécifiques de chaque situation de solidarité.

Un Outil Flexible au Service de Tous les Publics

L’IA ne doit surtout pas aboutir à des solutions rigides ; elle peut et doit rester ouverte et adaptative. Dans la thématique de la solidarité, cela signifie qu’elle doit être capable de s’ajuster à une variété de situations : qu’il s’agisse d’accompagner des personnes handicapées, de soutenir les personnes âgées, de répondre aux besoins des populations socialement défavorisées, ou encore d’aider les enfants vulnérables.

L’approche développée ici, en s’appuyant sur les principes de DEDIĈI, permet à l’IA d’être :

  • Universelle dans son application : les 5 causes universelles et les 5 rôles fondamentaux proposés peuvent être déclinés dans toutes les formes de vulnérabilité.

  • Personnalisable : chaque situation humaine est unique, et l’IA ainsi réfléchie peut s’adapter à la singularité des besoins, des cultures et des environnements dans lesquels elle intervient.

  • Collaborative : en agissant comme un facilitateur, l’IA encourage l’intelligence collective en permettant aux différents acteurs (personnes vulnérables, familles, professionnels) de coopérer plus facilement.

Une Mission Éthique : Humaniser l’IA

Au-delà des capacités techniques de l’IA, il est essentiel de maintenir une dimension éthique. L’IA doit être au service de l’humain, non pour le remplacer, mais pour renforcer les systèmes de solidarité en place. Cela signifie qu’elle doit être utilisée pour :

  • Redonner du temps aux aidants en automatisant les tâches répétitives et administratives, afin qu’ils puissent se concentrer sur l’essentiel : la relation humaine.

  • Faciliter l’expression des personnes vulnérables, en créant des espaces d’écoute, d’analyse des besoins, et de personnalisation des réponses.

  • Assurer une transparence et une évaluation constante, afin que les actions de solidarité soient mesurées, ajustées et améliorées en continu.

L’IA doit aussi soutenir l’autodétermination des personnes vulnérables, en les aidant à reprendre du pouvoir sur leur vie et sur les décisions qui les concernent.

Conclusion : Une Révolution en Douceur au Service de la Solidarité

L’intelligence artificielle offre un potentiel immense pour redéfinir et améliorer la solidarité. Mais pour qu’elle soit véritablement au service de l’humain, elle doit être pensée non pas comme une simple solution technique, mais comme un outil au cœur de l’intelligence collective, respectant des principes de solidarité, de protection, et d’éthique. En s’appuyant sur des cadres adaptatifs comme ceux proposés par DEDIĈI, l’IA d’aujourd’hui peut devenir un levier puissant pour répondre aux besoins des plus vulnérables et créer des systèmes de solidarité qui soient à la fois justes, flexibles, et profondément humains. Essayer par exemple de solliciter et de questionner ChatGPT sur le sujet, vous verrez.

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