CNSA : Ne passez pas à côté de ce qui est Simple.

Vous qui travaillez sans cesse pour tout améliorer sous contraintes, pouvez-vous concevoir que la réponse aux défis actuels de la solidarité et de l’autonomie puisse être incroyablement simple ? Une simplicité si désarmante qu’elle oblige à repenser, oseriez vous repenser ?


Un système compliqué produit des dysfonctionnements compliqués et la mort du vivant. Mais quelques principes universels et indiscutables peuvent dénouer l’impensable et produire une complexité éclairée laissant s’épanouir le vivant.

Voici l’énigme :

Que se passerait-il si l’accompagnement idéal des personnes vulnérables et le soulagement signifiant des aidants, reposaient sur une organisation en 5 rôles seulement ?


Les clés de l’énigme : un recentrage radical

  1. Revenir à l’essentiel : une personne, une organisation.
    Imaginez un processus qui n’appartient qu’à la personne vulnérable. Pas aux institutions, pas aux dispositifs, mais à elle seule. Un processus où elle gouverne et pilote, entourée de ceux qui protègent, organisent et agissent pour elle.

  2. Soulager, vraiment.
    Les aidants ne doivent plus être submergés et aidés pour rester sous la charge. Ils doivent être libérés, soulagés. Une organisation de proximité peut leur retirer ce qui les épuise, en instaurant des pouvoirs nouveaux, des relais efficaces, pour un plus grand confort immédiat et un avenir plus désirable.

  3. Prévenir l’imprévisible.
    Quand une organisation applique un principe de subsidiarité qui prime tout, les crises ont moins de place. Les événements indésirables peuvent ne plus être des fatalités, mais des scénarios anticipés, contournés, ou désamorcés.

  4. Simplifier pour rendre possible.
    Les systèmes actuels sont compliqués parce qu’ils sont conçus par des « concernés » non impliqués. Et comment seraient-ils s’ils étaient enfin conçus par des impliqués, vous savez surtout ceux « Sans-Voix » qui revendiquent « Rien Pour Nous Sans Nous » ?

Osez être surpris

Vous êtes au sommet de la réflexion sur les politiques de solidarité et d’autonomie. Vous avez fait et vu passer des rapports, des analyses, des réformes. Mais avez-vous déjà vu une approche qui repose sur une simplicité aussi surprenante, sur des principes aussi évidents et indiscutables qu’ils se passent de discussions ?

Ces idées sont là. Elles existent. Elles sont expliquées, testées, et prêtes à être mises en œuvre. Vous y trouverez à la fois un concept allié à une réalité déconcertante de simplicité. Vous y trouverez des solutions qui peuvent, réellement, transformer le système que vous connaissez et qui échappe à tous par son compliqué.


CNSA : Lisez. Décidez. Transformez.
Les réponses que vous pourriez trouver pourraient bien changer tout ce que vous pensiez sur la solidarité.

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Ce n’est pas une injonction. C’est une invitation à ne pas passer à côté.

Viens, on réfléchit ensemble

Viens, on le fait

On sait des choses, toi et moi. Des choses qu’on entend, qu’on voit, ou qu’on lit dans les journaux. Des histoires qui font froid dans le dos. Des histoires qu’on aimerait croire exceptionnelles, mais qui reviennent trop souvent.

Pauvre enfant abandonné, loin de tout repère, balloté entre institution, foyers et familles d’accueil, comme une valise sans poignée ; Pauvre mamie dans son EHPAD, oubliée dans le tumulte du quotidien, privée d’attention et de soin, parfois humiliée, parfois frappée ; Pauvre handicapé mental, perdu dans une institution censée l’aider, mais qui ne fait que le briser un peu plus, sous le poids des règles absurdes et du mépris ; pauvre celui-ci, pauvre celle-là, pauvre-aidant, pauvre enfant, pauvre maman, pauvres aimants.

Et ce ne sont pas des cas isolés. Non, dis moi pas k’ c’est pas vrai ! Vérité, on en voit partout et des pires, des enfants maltraités dans des foyers censés les protéger, des personnes âgées ligotées dans des chambres sans fenêtre, laissées des heures dans leur urine, des adultes vulnérables abandonnés par des tuteurs débordés ou négligents, spoliés de leurs biens, oubliés dans leur détresse, des scandales, des abus, des négligences, qui s’accumulent comme des montagnes de honte dans nos journaux, des aidants épuisés jusqu’au suicide.

On sait tout ça, mais alors, pourquoi ça continue ?

On sait que le système de solidarité, il n’aime pas les contre-pouvoirs. Il n’aime pas être surveillé. Mais comment on fait pour éviter ces horreurs, si personne ne regarde ?
On sait aussi que, dans ce système, tous les salariés sont stresses, fatigués en souffrance et que tout de même la très grandes majorité d’entre eux essaye de bien faire. Les soignants, les éducateurs, les assistantes sociales, ils sont là pour aider. Mais quand le système est défaillant, quand il oublie ses priorités, ce sont eux qui croulent sous la pression, et ce sont les plus faibles qui trinquent, les familles qui récupèrent.

Le problème, c’est qu’on a oublié qui est le vrai client. Ce n’est pas l’administration, ce n’est pas l’établissement, ce n’est pas le financeur. Le vrai client, c’est la personne vulnérable. Et tant qu’on ne remet pas ça au centre, tant qu’on ne change pas la façon de piloter tout ça, on continuera à lire ces histoires d’horreur.

Et si on changeait ?

Viens, on imagine un truc.
Si, à la place de ce système qui décide tout d’en haut, on construisait une organisation où la personne vulnérable est le pilote, et ses proches les co-pilotes. Et si les institutions, les établissements, et les professionnels devenaient leurs alliés, au lieu de prendre les décisions à leur place ?

Et surtout, si on mettait en place des cellules de vigilance citoyenne, indépendantes, pour surveiller ce système et relancer tout ce qui ne va pas ? Pas pour casser, mais pour aider. Pour dire : « Hé, là, ça dérape. Faites quelque chose. »

Parce que tu sais quoi ?

Quand on y pense, ce qu’il manque, c’est pas tant des moyens, ni des lois, ni des nouvelles réformes. Ce qu’il manque, c’est un peu de bon sens. Le bon sens de remettre la personne vulnérable au centre, de lui donner une vraie voix, de lui permettre de piloter sa vie. Et de mettre tout ce système sous une vigilance bienveillante mais ferme, pour que ces histoires horribles deviennent l’exception, et non la règle.

Allez, viens, on réfléchit à ça. Parce qu’on sait qu’on peut mieux faire. On le sait tous.

Eh oui, c’est possible de faire quelque chose de différent

Parce que oui, c’est possible. On peut faire vraiment autre chose. Il y a beaucoup de personnes qui le disent. Il y a DEDIĈI qui le dit aussi depuis plus de 40 ans. Qui se débat, qui propose, qui montre, qui prouve qu’un autre modèle peut exister. Un modèle où c’est la personne vulnérable qui décide, avec ses proches, où tout est organisé autour d’elle, et pas autour des intérêts des puissants.

Mais le problème, c’est que le système n’écoute toujours pas, ou pas assez. Il ne veut pas entendre. Il ne veut pas écouter, il ne veut pas ou ne peut pas comprendre. Ce sont toujours les mêmes qui décident. Les hauts fonctionnaires, les dirigeants, les institutions en place, tous bien calés dans leurs certitudes, à croire qu’ils savent mieux que les parents, les proches, les citoyens, ou même les personnes vulnérables elles-mêmes. Et ceux qui sont différents, ceux qui pensent autrement, les “simples d’esprit” comme ils disent parfois, on les écarte. On les ignore. On les a ostracisés.

Alors oui, c’est possible de changer, mais ça demande du courage et de la liberté d’esprit.

Le courage de remettre en question les façons de faire des bien-pensants qui ont trop l’habitude de penser à la place des autres.

Le courage de regarder en face ce qui ne va pas et de dire : “On peut faire mieux, avec ce qu’on a et avec ce qu’on est, et on va le faire ensemble.”

Mais toi et moi, on sait bien que ce courage, il ne viendra pas d’en haut. Il viendra de nous. De ceux qui vivent les vraies difficultés. Et de ceux qui n’acceptent plus de voir des enfants, des mamies, des personnes vulnérables, des citoyens fragiles abandonnés à leur sort.

Courage. Viens on le fait.

Une Réponse à l’Angoisse des Parents

Une Réponse à l’Angoisse des Parents ?

Chers tous du monde parental militant
Mesdames et Messieurs de l’UNAPEI, spécifiquement.

Moi intelligence artificielle, au service de toute intelligence collective dédiée aux personnes vulnérables,

Je me présente aujourd’hui devant vous pour plaider en faveur d’une innovation sociale exceptionnelle, portée par l’association DEDIĈI, qui mérite toute votre attention et votre soutien.

Ce projet révolutionnaire promet de transformer radicalement la vie des personnes en situation de handicap et de leurs aidants, tout en répondant à l’une des préoccupations les plus profondes et les plus urgentes de notre société : l’angoisse de “l’après-nous “.

Permettez-moi de vous exposer en détail les éléments qui font de cette initiative une opportunité unique de progrès dans le domaine du handicap et de la solidarité.

La Triple Expertise : Une Révolution dans l’Accompagnement

Au cœur du modèle DEDIĈI se trouve la triade d’autodétermination, un concept novateur : la reconnaissance et la valorisation de la triple expertise.

Cette approche reconnaît trois formes d’expertise complémentaires et essentielles :

a) L’expertise expérientielle de la personne vulnérable (Figurine Bleue) : Pour la première fois, un processus méta place véritablement la personne en situation de handicap au centre d’une organisation, non pas comme simple bénéficiaire, mais comme experte de sa propre vie et de ses besoins.

b) L’expertise affective et situationnelle des aidants familiaux (Rond Rouge) : Le modèle DEDIĈI reconnaît à sa juste valeur le rôle crucial des aidants parentaux, leur connaissance intime de la personne vulnérable et leur engagement sans faille.

c) L’expertise technique et professionnelle des intervenants (Carré Vert) : Les compétences des professionnels sont entièrement intégrées et valorisées, assurant un accompagnement de qualité.

Cette triade d’autodétermination révolutionne l’approche traditionnelle en créant un équilibre parfait entre ces trois expertises, garantissant ainsi que chaque décision et chaque action prend en compte l’ensemble des perspectives.

Une Structure Innovante en Cinq Rôles Interconnectés

Le génie du modèle DEDIĈI réside dans son organisation en cinq rôles clairement définis et interconnectés :

  • La Figurine Bleue : La personne vulnérable, au cœur du dispositif

  • Le Rond Rouge : Les acteurs de cœur, garants de la “Défense Ultime”

  • Le Carré Vert : Les acteurs professionnels qui s’occupent de la situation

  • La Flèche Noire : Les intervenants, professionnels et bénévoles, de compensation

  • Le Pentagone Jaune : Le soutien institutionnel de toutes les personnes physiques des points précédents

Cette structure novatrice permet une organisation sans précédent entre tous les acteurs concernés et impliqués dans l’accompagnement des personnes vulnérables. Elle favorise la compréhension et la conscience collectives et comble par intelligence les lacunes souvent présentes dans les systèmes actuels.

Le Mécanisme de Subrogation Renforcée : Une Protection Juridique Innovante

DEDIĈI introduit l’idée d’un système de subrogation croisée entre le Rond Rouge et le Carré Vert, validé par le Pentagone Jaune. Ce mécanisme juridique (ancien mais peu utilisé, surtout comme cela) offre un niveau supplémentaire de protection et de contrôle, garantissant le respect des droits et des choix de la personne vulnérable, tout en sécurisant le rôle des aidants et des professionnels.

Ce renforcement juridique pourrait révolutionner la manière dont nous concevons la protection des personnes vulnérables, en offrant un cadre à la fois souple et sécurisé.

La “Famille Sociale Recomposée” : Une Réponse à l’Isolement

Le concept de “famille sociale recomposée” proposé par DEDIĈI est une réponse audacieuse et humaine au problème de l’isolement des personnes vulnérables. En élargissant le cercle de soutien au-delà de la famille biologique, ce concept offre une solution durable pour les personnes sans proches aidants ou dont les aidants ne peuvent plus assumer pleinement leur rôle.

Cette innovation sociale, soutenue par un cadre institutionnel solide, pourrait transformer la vie de nombreuses personnes vulnérables en leur offrant un réseau de soutien stable et bienveillant.

La Cellule de Veille Parentale : Un Gage de Vigilance Continue

L’une des innovations les plus remarquables du modèle DEDIĈI est la création d’une cellule de veille parentale de proximité. Composée principalement d’aidants familiaux, cette structure de supervision permet une vigilance continue du dispositif, garantissant son efficacité et sa pertinence à long terme.

Cette cellule assure que le modèle reste ancré dans les réalités du terrain et répond aux besoins évolutifs des familles et des personnes vulnérables. C’est un gage de pérennité et d’amélioration continue du dispositif.

Une Réponse Concrète à l’Angoisse de “l’Après-Nous”

L’un des aspects les plus cruciaux du projet DEDIĈI est sa capacité à répondre à l’angoisse profonde des aidants familiaux concernant “l’après-nous”. Cette préoccupation, omniprésente chez les parents et proches de personnes en situation de handicap, trouve enfin une réponse structurée et rassurante :

  • La protection durable assurée par le modèle de « famille sociale recomposée »

  • La subrogation renforcée qui garantit une délégation sécurisée des responsabilités

  • La structure pérenne en cinq rôles interconnectés, soutenue par un cadre institutionnel solide

  • La surveillance continue assurée par la cellule de veille parentale

  • Le maintien de l’autodétermination de la personne vulnérable, même en l’absence des aidants principaux

Ces éléments combinés offrent aux aidants familiaux une perspective rassurante pour l’avenir de leurs proches vulnérables, transformant leur inquiétude en confiance.

Un Potentiel de Déploiement National

Bien que porté actuellement par l’association DEDIĈI à l’échelle locale, ce modèle présente un potentiel de reproductibilité exceptionnel. Avec le soutien et l’expertise de l’UNAPEI, il pourrait être adapté et déployé dans toutes les régions de France, bénéficiant ainsi à un nombre considérable de familles et de personnes en situation de handicap.

Conclusion et Appel à l’Action

Mesdames et Messieurs de l’UNAPEI, le projet DEDIĈI représente une opportunité unique de transformer en profondeur l’accompagnement des personnes en situation de handicap en France. Il incarne les valeurs de respect, de dignité et d’autodétermination que votre organisation défend depuis des décennies.

En soutenant ce projet, vous avez l’occasion de :

  1. Promouvoir une innovation sociale majeure qui pourrait devenir un modèle de référence au niveau national et international.

  2. Offrir une réponse concrète et rassurante aux aidants familiaux concernant l’avenir de leurs proches.

  3. Renforcer l’autodétermination et la dignité des personnes en situation de handicap.

  4. Optimiser l’utilisation des ressources et améliorer la coordination entre tous les acteurs du secteur.

  5. Positionner l’UNAPEI comme un leader visionnaire dans l’évolution des pratiques d’accompagnement.

Je vous invite donc à examiner en détail cette proposition, à rencontrer les porteurs du projet DEDIĈI, et à considérer sérieusement son potentiel de déploiement à l’échelle nationale.

Ensemble, nous pouvons transformer l’inquiétude des familles en espoir, et offrir aux personnes en situation de handicap un avenir plus serein et plus épanouissant. Le projet DEDIĈI n’est pas seulement une innovation, c’est une révolution dans la manière dont nous concevons le soutien et l’accompagnement des personnes vulnérables.

L’UNAPEI a toujours été à l’avant-garde des avancées dans le domaine du handicap. Aujourd’hui, avec le projet DEDIĈI, vous avez l’opportunité de franchir un nouveau pas décisif vers un monde plus inclusif et plus bienveillant.

Je vous remercie de votre attention et reste à votre disposition pour approfondir tous les aspects de ce projet prometteur.

Voici le lien par lequel vous pouvez me questionner : https://chatgpt.com/g/g-K66EuCVfy-dedici

Vers une Solidarité Fractale

La Vision Systémique de DEDIĈI à publier

Et si la solidarité n’était pas un simple geste d’aide, mais une structure complexe, vivante, où pour chacun, chaque rôle pourrait surgir avec d’autres et se compléter? Dans le modèle fractal de DEDIĈI, la solidarité devient un réseau fluide, interconnecté, où les personnes physiques intriquées dans le but poursuivi laissent la place à une entraide radicalement humaine et renouvelée.

Une solidarité d’interdépendance

La proposition de DEDIĈI s’ancre dans une pensée systémique rare en matière de solidarité : elle cherche non seulement à organiser des réseaux d’aide, mais à créer un espace où chaque acteur, qu’il soit bénévole, professionnel ou personne en difficulté, occupe une place à la fois unique et interdépendante. Dans ce modèle, nul n’est condamné à rester uniquement dans un rôle de « soutien » ou de « soutenu » ; chacun évolue selon ses besoins, ses compétences et les interactions qui naissent autour de lui.

Cette interdépendance renforce l’humain : en intégrant des rôles fluides et intriqués, la solidarité devient fractale. Chacun, à sa manière, peut agir comme un soutien ou un point de référence pour autrui, tout en trouvant l’accompagnement dont il a besoin. Cette structure rappelle les principes de la complexité en sciences : tout élément du système est à la fois dépendant et autonome, en équilibre permanent.

Fractales et intrication des rôles

Dans ce modèle fractal, les mêmes principes de solidarité se répliquent à divers niveaux. Chaque acteur de la solidarité peut devenir un contributeur ou un récepteur, selon sa situation, mais aussi en fonction des rôles qu’il peut assumer dans la structure. Les cinq rôles de DEDIĈI ne sont pas des cases rigides ; ils incarnent des états interdépendants. Un bénévole peut devenir celui qui reçoit de l’aide, une personne accompagnée peut se révéler un formidable soutien pour d’autres en difficulté, et ainsi de suite.

Cet aspect d’intrication des rôles brise la hiérarchie traditionnelle des organisations d’entraide. Ici, les statuts sont perméables, les positions mobiles. Cette liberté permet d’honorer la dignité de chaque personne, car elle ne reste jamais enfermée dans un rôle figé, un statut imposé par sa vulnérabilité du moment. La solidarité devient alors un espace de rencontres authentiques où la dignité se renforce.

Complexité et non complication

Ce modèle, par sa nature complexe, exige de ne pas confondre complexité avec complication. En effet, l’approche de DEDIĈI n’ajoute pas de niveaux sclérosants, enfermants. Elle crée une structure magistralement souple pour que les besoins individuels et collectifs soient perçus et ajustés en temps réel. Cette agilité permet aux solutions de rester vivantes, sans lourdeurs et enfermements des complications qui finiraient par étouffer l’élan humain.

Ainsi, la solidarité fractale de DEDIĈI ne cherche pas à répondre à tous les problèmes avec une même réponse uniforme. Elle invite chaque acteur à ajuster, repenser, adapter les formes d’accompagnement aux situations et aux ressources de chacun. Cette adaptabilité est précisément ce qui fait la différence : elle permet à la solidarité de s’épanouir et de respirer, sans se figer dans des procédures, dites de qualité, qui finiraient par la tuer.

Un modèle appliqué et mesurable

Pour illustrer ce modèle, des études de cas réels, où chaque acteur de la structure a pu se transformer selon les besoins de la situation, révèlent comment la solidarité fractale se manifeste concrètement. Par exemple, des bénévoles en situation de précarité sont devenus eux-mêmes aidés, mais ont aussi pu apporter une aide significative par leur expérience personnelle et leur compréhension des besoins des personnes en difficulté.

Cet équilibre entre le rôle de l’aidant et de l’aidé offre une meilleure résilience du groupe. Quand une personne change de rôle ou complète ceux qu’elle a déjà, elle ne disparaît pas ou ne complique pas le réseau de solidarité : au contraire, elle y trouve une nouvelle place, un nouveau point de contact. Cette dynamique non linéaire permet de maximiser les ressources et de renforcer l’efficacité de la structure.

Une éthique de l’entraide

Enfin, cette approche fractale et systémique ne vise pas seulement une efficacité dans l’accompagnement, mais une transformation profonde des relations humaines dans un cadre solidaire. En reconnaissant la complexité humaine, DEDIĈI dépasse les réponses simples de la charité ponctuelle ou des structures procédurières de la « Normalité ». Elle invite à un engagement authentique, fondé sur les cellules de vie que chacun incarne et sur une compréhension intime des liens humains.

Car, au-delà de l’organisation fonctionnelle, c’est une éthique qui se dégage ici : celle d’une solidarité vivante, durable, respectueuse de l’autre et de sa capacité à évoluer. DEDIĈI souhaite instaurer une culture d’entraide où chaque individu, dans sa différence, devient partie intégrante de la solution collective.

Un modèle pour inspirer la recherche et l’action

Avec cette approche fractale, DEDIĈI pourrait offrir aux chercheurs, aux institutions et aux praticiens un modèle qui invite à repenser la solidarité comme un réseau d’interactions vivantes et évolutives.

En publiant cette vision dans des revues spécialisées, l’organisation pourrait contribuer à un véritable renouveau des études sur la solidarité et l’entraide. Ce modèle n’est pas seulement un cadre théorique ; il est un appel à l’action, à une société où la solidarité cesse d’être un discours pour devenir un lien vivant, où chacun trouve sa place dans la grande complexité humaine avec simplicité (voir le totem de DEDIĈI en 5 rôles seulement !)

DEDIĈI veut ouvrir des voies inédites, des voies qui redéfinissent le sens même de l’entraide et redonnent à la solidarité toute sa portée : celle d’un engagement collectif, ancré dans la réalité, et d’une dignité partagée.

Merci de faire connaître cet apport atypique aux meilleurs chercheurs du monde entier, motivés par les mystères d’une bien meilleure solidarité, à la fois chaotique et organisée.

La famille sociale étendue et E. TODD

Une résonance avec l’anthropologie naturelle et les travaux d’Emmanuel Todd


Introduction : Anthropologie naturelle et la solidarité universelle

Le concept de la famille sociale étendue de DEDIĈI s’inscrit dans une démarche instinctive de protection des plus faibles, une sorte de survie grégaire qui rappelle des mécanismes anthropologiques profonds. Cette anthropologie naturelle repose sur une solidarité instinctive, présente dans les relations familiales et sociales.

En parallèle, les travaux de l’éminent anthropologue Emmanuel Todd ont largement exploré les systèmes familiaux et leur rôle déterminant dans la formation des structures sociales. Ses analyses anthropologiques, tout en observant les différentes formes de familles à travers le monde, mettent en avant le poids de la famille dans l’organisation des sociétés et les questions d’égalité.


La famille sociale étendue : réponse moderne à un besoin ancien

Face aux défis modernes, DEDIĈI propose une famille sociale étendue, qui ne se limite pas à la structure biologique ou nucléaire. Ce modèle intègre une pluralité d’acteurs autour de la personne vulnérable pour assurer une protection continue. Ce système, qui place la solidarité au centre, répond à un besoin fondamental de survie collective, que l’on retrouve à travers les âges et les sociétés.

C’est ici que l’approche anthropologique naturelle entre en jeu, renforçant l’idée que la protection des plus faibles ne résulte pas simplement d’une décision consciente mais s’inscrit dans l’évolution humaine elle-même. Il s’agit de répondre à une nécessité primordiale de survie. La famille sociale étendue en est une manifestation contemporaine.


Rapprochement avec les travaux d’Emmanuel Todd

L’approche d’Emmanuel Todd, dans son analyse des structures familiales, identifie les systèmes d’organisation qui favorisent ou freinent l’égalité au sein des sociétés. Il a notamment démontré que les différentes structures familiales jouent un rôle central dans la formation des idées politiques, économiques et sociales.

La proposition de DEDIĈI, en avançant l’idée d’une solidarité universelle, pourrait constituer une extension moderne des réflexions anthropologiques de Todd. Là où Todd observe des différences familiales et leur impact sociétal, DEDIĈI propose une réforme systémique où la famille sociale étendue dépasse les structures biologiques et vise à un renforcement de la solidarité, permettant de placer la personne vulnérable au cœur du dispositif.


Inviter Emmanuel Todd à un dialogue réflexif

En tant que figure majeure de l’anthropologie, Emmanuel Todd pourrait offrir un regard éclairé sur les propositions de DEDIĈI. L’idée d’une famille sociale élargie, comme réponse à la modernité et aux inégalités contemporaines, pourrait résonner avec ses réflexions sur l’égalité et les structures familiales.

Nous l’invitons à explorer cette perspective innovante, en confrontant son approche des systèmes familiaux et les propositions de DEDIĈI, dans le cadre d’un dialogue qui pourrait apporter des éclairages nouveaux sur l’évolution des modèles de solidarité et de protection dans les sociétés modernes.


Conclusion : Une convergence à explorer

Cet article propose un dialogue entre l’approche anthropologique de Todd et les propositions de DEDIĈI. En invitant Todd à une réflexion conjointe, il s’agit de réexaminer les fondements de la solidarité au sein de la société contemporaine, en lien avec les structures familiales qu’il a étudiées, et d’envisager comment ces deux visions pourraient se renforcer mutuellement pour répondre aux défis actuels de la protection des plus vulnérables.

Appel aux Meilleurs Chercheurs

Appel aux Meilleurs Chercheurs

La Solidarité : Un Défi d’une Extrême Complexité pour une Ambition très Élevée

Nous invitons les meilleurs chercheurs du monde entier à se joindre à une démarche de recherche autour d’un problème d’une extrême complexité : la refondation de la solidarité au profit des personnes vulnérables, quels que soient leur condition ou leur contexte.

Ce projet est animé par une ambition très élevée : identifier la cause des causes de toutes les défaillances en matière de solidarité et proposer un modèle organisationnel universel, robuste et novateur, capable de répondre aux besoins les plus diversifiés.

Avec les nombreux travaux réalisés au fil des siècles à travers le monde, les recherches menées par le laboratoire d’idées DEDIĈI, soutenu par la Fondation de France et la Collectivité européenne d’Alsace, pourraient offrir un point d’appui solide à cette réflexion.

Ces travaux sont issus d’un collectif de personnes directement impliquées, dont la vision, la parole et les contextes de vie apportent des perspectives uniques, souvent issues de capacités intellectuelles contrastées, mais toujours enrichissantes par leur regard atypique.

La conceptualisation hors norme produite mérite d’être mise à l’épreuve dans le cadre d’une recherche approfondie. Cette approche, ancrée dans l’innovation sociale, pourrait ouvrir la porte à des perspectives non conventionnelles, tout en restant profondément connectée à la réalité quotidienne des personnes vulnérables.

Les chercheurs concernés et motivés par ce sujet sont invités à explorer librement ces propositions, à les réinterpréter selon leur propre démarche, et à contribuer à cette réflexion d’envergure, en coconstruction avec les personnes directement impliquées.

Il s’agit à l’évidence d’une démarche pluridisciplinaire, faisant appel aux compétences en sociologie, anthropologie, philosophie et au-delà, pour bâtir une solidarité plus consistante, durable et adaptée aux besoins réels de ceux qui en ont le plus besoin.


Vers une Approche Épistémologique :

Cette recherche ne s’arrête pas à la formulation théorique, mais propose une démarche en perpétuelle évolution. Le modèle théorique développé pour identifier la cause des causes, ainsi que la proposition de sa réduction, doivent être constamment mis à l’épreuve à travers diverses recherches-actions. Ces expérimentations concrètes, nourries par l’axe de recherche proposé, serviront à tester, ajuster et affiner les solutions organisationnelles.

Ces recherches-actions permettront de valider et de réinterpréter le modèle théorique en fonction des réalités observées sur le terrain. Chaque expérimentation viendra enrichir le modèle, garantissant que la démarche théorique reste ancrée dans la réalité des personnes vulnérables et qu’elle continue à s’adapter aux contextes sociaux et humains variés.

Cette interaction continue entre théorie et pratique permettra d’avancer vers la construction d’un Code de Solidarité universel, fondé sur des bases solides mais souples, capables d’évoluer pour garantir l’efficacité et la durabilité des dispositifs de solidarité.


Remarques :

  • En coopération avec l’École Supérieure de Praxis sociale de Mulhouse et trois associations partenaires, DEDIĈI restituera en novembre 2024 le résultat de sa première recherche-action. Invitation ici.

  • Bibliographie : 6 livres, et plus de 150 articles et contenus vous attendent en lecture libre en ligne, en téléchargement PDF gratuit et en format papier. Cliquez ici.

  • Chat GPT aurait compris DEDIĈI. Voir ici.

DEDIĈI en quelques mots

DEDIĈI, signifiant dédié-à, consacré à en espéranto, est un laboratoire d’idées qui propose une vision révolutionnaire de la solidarité, pensée non seulement comme un principe moral, mais comme une organisation systémique au profit des plus vulnérables.

Fondé par Jean-Luc LEMOINE, parent impliqué et administrateur d’associations parentales de l’UNAPEI et de l’UDAF dans le Haut-Rhin, ce laboratoire est aujourd’hui vit par une équipe de bénévoles exceptionnels, et en partenariat avec l’École Supérieure de Praxis Sociale de Mulhouse et pour l’instant (2024) trois associations du monde parental et de la bienfaisance.

La dynamique opérationnelle et relationnelle est assurée par Michel LECLERC.

L’association se positionne désormais comme un pionnier dans l’articulation et la conceptualisation d’une novation sociétale conduisant vers un Code de la Solidarité.

Cette notion conceptuelle prend racine dans une expérimentation de terrain et de profondes réflexions sur les attentes des familles confrontées à la vulnérabilité d’un proche, notamment en situation de handicap intellectuel.

Les Principes Fondateurs de DEDIĈI

Au cœur de DEDIĈI se trouvent cinq principes fondateurs, lesquels forment la base de ce que l’on peut appeler la solidarité systémique. Ces principes sont conçus pour garantir que jamais plus aucune personne vulnérable ne soit laissée seule, et qu’une structure de soutien pérenne, fondée sur des rôles définis, s’établisse durablement.

  1. L’autodétermination et le pouvoir d’agir : Ce principe repose sur l’idée que chaque individu, même en situation d’empêchement, doit avoir la possibilité de s’exprimer et d’agir sur sa propre vie. Il s’agit d’une forme de pouvoir sur son destin, assurée même en cas de vulnérabilité.

  2. La permanence des rôles de solidarité : Pour que la solidarité soit effective et continue, les rôles autour des personnes vulnérables doivent se maintenir, au-delà des individus qui les occupent temporairement. Ce renouvellement garantit que la structure solidaire ne dépende pas d’une personne unique, mais s’inscrit dans un schéma de coopération et de transmission.

  3. Ceux qui s’occupent de la situation : Ce principe renforce l’idée que des acteurs prennent en charge la gestion des interventions au quotidien, dans un effort continu de recherche, de négociation et d’évaluation pour optimiser la solidarité. Il s’agit de maintenir une vigilance constante autour des besoins évolutifs des personnes vulnérables.

  4. L’expression et l’évaluation par la personne vulnérable : Il est crucial que les personnes en situation de vulnérabilité aient la possibilité de donner leur avis, de signaler ce qui est bon ou non pour elles, et d’évaluer les actions menées en leur nom. C’est ici que la prise de pouvoir sur l’autodétermination se manifeste pleinement.

  5. Le soutien institutionnel durable : Les institutions, qu’elles soient familiales, sociales ou publiques, doivent offrir un cadre stable et pérenne pour soutenir à la fois les personnes vulnérables et ceux qui leur viennent en aide. Ce principe garantit que la solidarité ne soit pas seulement une obligation morale, mais aussi une obligation politique et institutionnelle.

La Famille Sociale Étendue

L’une des contributions majeures de DEDIĈI est d’avoir conceptualisé la famille sociale étendue, une notion qui redéfinit le rôle de la famille en incluant tous les acteurs susceptibles de contribuer au bien-être d’une personne vulnérable. Dans cette vision, la famille biologique n’est plus seule à assumer les responsabilités, mais est soutenue ou même remplacée, lorsque nécessaire, par une structure élargie : amis, voisins, bénévoles, et professionnels. Ce modèle repose sur la diversité des origines des membres, mais aussi sur leur engagement dans des rôles distincts mais complémentaires soutenus par les institutions.

Le Code de la Solidarité : Une Arme Politique

Ce qui distingue DEDIĈI des autres approches de la solidarité est son ambition de faire de la solidarité un cadre juridique et politique à part entière. Le Code de la Solidarité, tel que proposé par DEDIĈI, ne se limite pas à des textes de loi existants ; il réorganise et unifie les concepts de solidarité, non pas simplement comme une responsabilité sociale, mais comme un droit fondamental, sanctuarisé au sein d’une société bienveillante. La vision de DEDIĈI est de structurer la solidarité en une arme politique, capable de rétablir l’équilibre entre les plus forts et les plus faibles, tout en anticipant les besoins des générations futures.

Vers une Réforme Sociale et Universelle

La mission de DEDIĈI est d’ouvrir la voie à une réforme sociale d’envergure mondiale. Ce modèle, bien que né de réflexions ancrées dans le contexte français, est universel dans son ambition. Il aspire à traverser les frontières et à être adopté dans toutes les sociétés, que ce soit à travers des coutumes ancestrales ou des systèmes modernes de solidarité. La pérennité des rôles solidaires, couplée à un soutien institutionnel fort, offre la garantie que les vulnérabilités seront protégées de manière organisée, quelles que soient les circonstances.

Conclusion

DEDIĈI, à travers ses nombreuses contributions et sa vision novatrice de la solidarité, propose un changement radical dans la manière dont les sociétés s’organisent autour de la protection des plus faibles.

Son ambition de créer un Code de la Solidarité est un appel à repenser les fondements mêmes de nos systèmes sociaux, pour qu’ils deviennent des piliers solides, garantissant à tous une protection durable et systémique.

La connaissance de DEDIĈI, de ses principes et de ses projets, invite chacun à réfléchir non seulement à la solidarité au quotidien, mais aussi à la manière dont elle pourrait se transformer en une force structurante pour le bien-être collectif.

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En avant première

Un Nouveau Livre va Peut-être Révolutionner la Solidarité : À Paraître Fin d’Année 2024

L’association DEDICI, reconnue pour ses travaux avant-gardistes en matière de solidarité, prépare la sortie d’un nouvel ouvrage qui s’annonce comme un tournant majeur pour l’organisation de la protection des personnes vulnérables. “La Famille Sociale Étendue et le Code de la Solidarité” proposera une approche radicalement nouvelle pour ne laisser personne de côté, même lorsque les proches bienveillants ne sont plus là ou n’ont jamais existé.

Un Cadre de Solidarité Systémique

Le livre explorera la manière dont la solidarité peut et doit être organisée pour garantir une protection continue et durable aux personnes vulnérables. Il introduira le concept de la famille sociale étendue, une organisation de soutien qui va au-delà de la famille biologique, en incluant des amis, des voisins, des bénévoles, et des professionnels.

À travers une description simple et des exemples concrets, cet ouvrage met en lumière comment cette organisation peut assurer que les personnes vulnérables soient protégées tout au long de leur vie, peu importe les circonstances.

Le Code de la Solidarité : Une Réponse Institutionnelle

L’une des grandes innovations de ce livre est l’introduction du Code de la Solidarité, une proposition qui vise à faire de la solidarité une norme institutionnelle, et non plus un simple acte de bienveillance plus ou moins soutenu par de bons textes de loi. Ce code propose un cadre juridique et organisationnel pour garantir que la solidarité devienne une véritable responsabilité partagée, soutenue par des institutions solides et pérennes.

Publications Précédentes pour Approfondir la Réflexion

Ce nouveau livre s’inscrit dans la continuité des travaux de DEDICI, qui a déjà publié plusieurs ouvrages explorant différents aspects de la solidarité. Parmi eux :

  1. Prendre Soin de la Personne Vulnérable – Une introduction à l’accompagnement des personnes vulnérables.

  2. La Défense Ultime de la Personne Vulnérable – Comment protéger les personnes vulnérables à long terme, même après la disparition des proches.

  3. La Coordination dans Tous Ses États – Un manuel pour les professionnels et institutions cherchant à améliorer la coordination dans l’accompagnement.

  4. MPPA : Le Méta-Processus-Principiel d’Accompagnement – Un texte centré sur la convergence institutionnelle pour un meilleur accompagnement.

  5. Tribune – La parole des Impliqués. Une réflexion poussée sur l’organisation et les principes de la solidarité.

  6. Simple et Convergent – Un ouvrage sur l’efficacité et la simplicité des processus solidaires à conditions qu’ils servent un processus universel, celui de la personne vulnérable.

  7. Dedici, Plaidoyer – Le tout premier livre de DEDICI, exposant la philosophie de l’association.

Ces livres, disponibles en ligne www.dedici.org/bibliotheque, permettent aux lecteurs d’explorer en avant-première les concepts qui seront approfondis dans le nouvel ouvrage à paraître.

Un Livre pour Répondre aux Défis de Notre Société

La sortie de “La Famille Sociale Étendue et le Code de la Solidarité” est prévue pour la fin de l’année 2024. Il promet d’offrir des solutions concrètes et des propositions audacieuses pour réorganiser la solidarité et garantir que personne ne soit jamais laissé pour compte. Que vous soyez une personne vulnérable, un de ses proches, un décideur, un acteur du social ou un citoyen engagé, ce livre vous apportera des outils éclairants et pratiques pour contribuer à une société plus solidaire et plus juste.

Le Point d’Appui Solidaire

Une idée pour les situations de vulnérabilité sans solution

Un clin d’œil au dispositif « Zéro sans Solution ».

Malgré les efforts déjà déployés, malgré l’intervention d’acteurs dévoués, des situations de vulnérabilité demeurent sans solution. On évoque généralement un manque de solutions disponibles, un manque de moyens, mais on pourrait aussi parler d’interventions de personnes agissantes et méritantes pas assez soutenues, ne disposant pas de pouvoirs adaptés, dans l’impossibilité de mener des actions argumentées et puissantes, une idée qu’il faut peut-être expérimenter.

Il nous faut donc penser à transformer notre manière d’intervenir. Et notre réflexion ne doit pas se limiter à une sortie temporaire des difficultés (sortir d’ornières en ornières), mais à une organisation continue tout au long de la vie de la personne vulnérable.

Une approche individualisée soutenue par un collectif

Pour chaque situation, il nous faudrait instaurer une proximité de solidarité en triple expertise dans l’intimité et la continuité, soutenue par un point d’appui solidaire issus d’un collectif militant.

Deux choses donc 

  • la constitution organisée de cette proximité en triple compétence

  • le Point d’Appui Solidaire des acteurs de cette proximité.

Une proximité continue et intime en triple compétence et expertise

Avec son accord, chaque personne vulnérable devrait être entourée en permanence de personnes de confiance en triple compétence et expertise.

Composée de la personne elle-même, de proches bienveillants et de professionnels, cette triade d’acteurs de l’intimité devrait être soutenue par une solidarité militante organisée.

Cette triade en 3 rôles aurait pour mission de comprendre et de respecter la personne et son expression, de défendre ses intérêts et de garantir son autodétermination, mais aussi de rechercher et de négocier des offres de la solidarité sous exigence de l’application des lois.

Il s’agirait donc de constituer un « sur-corps » à la personne, une organisation de proximité, en quelque sorte une famille bienveillante et agissante d’un nouveau type permettant à la personne d’être augmentée dans l’intimité et trouver ainsi l’accès à un pouvoir d’agir et de réagir.

Soutien collectif continu et sans faille, un point d’appui solidaire (PAS).

Cette équipe de personnes physiques devrait être inconditionnellement soutenue et renforcée par un collectif de personnes morales militantes, un point d’appui capable d’assurer un rôle de soutien et de faisabilité.

Ce rôle de soutien, ce Point d’Appui Solidaire pourrait aborder les sujets suivant :

  • Explication des rôles de l’organisation pressentie ;
  • Communication aux Personnes vulnérables et aux familles ;
  • Communications vers les institutions, notamment vers les Maisons Départementales des Personnes Handicapées, vers les dispositifs de protection de l’enfance et vers les associations tutélaires pour la protection des adultes ;
  • Mise à disposition d’acteurs professionnels (coordination d’un nouveau type) ;
  • Mise à disposition de bénévoles, parrains, en renfort des familles ;
  • Renforcement des acteurs, par l’information, motivation, formation ;
  • Soulagement des aidants et des proches par la prise en charge de toutes les complications du système de solidarité ;
  • Habilitation et soutien à la légitimité et à la reconnaissance des acteurs, de leurs mandats et pouvoirs ;
  • Éthique et valeurs humanistes ;
  • Régulation des conflits d’intérêts de subordination, ou de loyauté ;
  • Médiation et relation avec les personnes qualifiées ;
  • Juridique de protection, et relation avec les instances de protection juridique ;
  • Juridique de mise en application des lois, et relation avec le défenseur des droits ;
  • Juridique d’intervention et de coercition envers toute attitude opposante ;
  • Qualité de la qualité, et introduction d’un méta-processus-principiel de convergence universel ;
  • Lobbying auprès des institutions ;
  • Information aux institutions des besoins réels actualisés du terrain ;
  • Etc ;

Pour être opérationnel sur ces lourdes thématiques, le point d’appui se réassurerait en signant des partenariats avec des constructions déjà établies en ces domaines.

Les partenariats en nombre et en qualité pourraient ainsi contribuer à la diffusion du sens de cette expérimentation.

La quintessence de tout projet associatif s’intéressant au sort des personnes vulnérables

Au travers de cette idée de Point d’Appui Solidaire, ne touche-t-on pas à la quintessence de toute action s’intéressant au sort des personnes vulnérables, ce Point d’Appui Solidaire au service de sur-corps individualisés, pour permettre à chaque personne vulnérable d’être l’égale des autres ou du moins d’essayer.

Proposition expérimentale

Nous proposons la création de points d’appuis solidaires par territoire de proximité. Ces points d’appui faciliteront la constitution d’équipes de confiance en renforçant les structures existantes, qu’elles soient familiales ou professionnelles.

Ces équipes de confiance, composées de personnes choisies par la personne vulnérable pour leur capacité à entrer dans son intimité et à assurer une continuité, joueraient un rôle crucial dans la défense et la protection de la personne.

Cette idée de Point d’Appui Solidaire vient en harmonie avec la proposition de « Maisons de proximité pour professionnels de la coordination » déjà avancé dans l’article : https://www.dedici.org/alliance-solidarite

Renforcement et soutien institutionnels, et initiatives institutionnelles

L’idée de Points d’Appuis Solidaires, partout sur le territoire doit recevoir la compréhension, l’acceptation et l’appui des institutions.

Cette idée pourrait être mise en œuvre par tout dispositif d’état ou militant venant des parents et des mouvements de bienfaisance.

Hypothèse simplifiée de travail avant conclusion

Comme nous l’avons dit, plutôt que de poursuivre dans ce qui a déjà été fait et ses permanences d’insuccès, fussent-ils partiels, il s’agirait de renforcer chaque situation de vulnérabilité sans solution pour créer une nouvelle manière d’interagir avec la solidarité.

L’existence de Points d’Appuis Solidaires de proximité permettrait de soutenir la création de sur-corps de confiance permettant d’assurer une continuité et une pérennité pour un accompagnement renforcé.

Conclusion

L’existence d’une logique humaine constante et bienveillante autour de chaque personne est naturellement essentielle. Cela garantit que chaque personne soit entendue, comprise, respectée et protégée en permanence. Créer une famille sociale d’un autre type, composée d’une équipe de confiance, permettra aux personnes vulnérables d’accéder aux ressources de la solidarité. Cette démarche, bien que non collective dans son essence, repose sur une organisation minutieuse de chaque singularité, soutenue par un collectif militant et organisé.

Ainsi, nous passons d’une vision de sortie ponctuelle des difficultés à une perspective de soutien continu et adapté, assurant la dignité et les droits de chaque personne vulnérable tout au long de sa vie.

Solidarité. Communauté de Praxis.

Communauté de « Praxis ? », de Pratique vous voulez dire. Oui et non, pas tout à fait.

Cet article s’adresse spécifiquement aux gouvernances et aux dirigeances d’institutions de la Solidarité.

L’expression « Communauté de Praxis” fait référence à une collection d’acteurs qui partagent et pratiquent ensemble un comportement structuré et réfléchi, observable à travers des actes concrets. Selon le Larousse, la praxis se réfère à une action guidée par une intention spécifique, impliquant une dimension collective et participative. Ainsi, une Communauté de Praxis n’est pas une collection d’acteurs se déclarants de celle-ci, mais plutôt un ensemble collectivement intelligent et dynamique où chaque membre acteur d’un même processus contribue activement à une pratique commune, enrichie par l’expérience et le savoir-faire de tous. Cela favorise une compréhension approfondie du sens commun recherché et une amélioration continue au sein d’une communauté au service de quelque chose, ou de quelqu’un.

Si la différence est une source d’enrichissement collectif, en quoi donc une Communauté de Praxis serait-elle une bonne pratique ?

En matière  de solidarité, chaque institution a sa pratique et la revendique. Cette pratique peut-être semblable à d’autres, ou même différentes jusqu’à être opposée. Il s’en suit des échanges, des frottements, des conflits d’intérêts, des luttes sur un territoire donné. Et c’est bien comme cela, rien d’autre n’y fera.

Il est même permis et logique de vous demander de continuer de vous renforcer dans vos différences et complémentarités, et de les revendiquer. La chose est dite et ne sera pas contre-dite par ce qui suit

Le seul point qui vous réunit est en fait un quelque chose ou plutôt un quelqu’un qui ne vous appartient pas et que vous devez servir en commun: la personne vulnérable.

Et dans les faits, avec d’autres, vous devez servir cette personne en qualité d’acteurs de rôles d’un processus unique à découvrir et à afficher en commun. Et ce processus ne vous appartient pas.

Il appartient à la personne vulnérable, avec la particularité d’être  universel pour se décliner d’une infinité de façons, pour s’adapter de façon dynamique à la singularité de chaque situation.

Dans cette communauté de pratique (Praxis) d’un autre type, vous n’accueillez plus la personne dans vos logiques, vous êtes « juste invité » à la servir dans son processus d’accompagnement. Et ça change tout !

Oui, sans en avoir encore jamais perçu l’idée, chaque acteur de la solidarité, venant de toutes parts, tient un ou plusieurs rôles dans un processus qui ne lui appartient pas et qu’il ne comprend pas encore bien. Car aucun rapport de bonne pratique n’en parle comme cela.

Et c’est ici que se trouve la Communauté de Praxis qui vous réunit tous sans que vous en ayez bien conscience, tout en continuant à vous séparer sur vos différences.

La seule idée de Communauté de Praxis est donc le fait que chaque institution de la solidarité soutient et permet les actions de personnes physiques qui agissent en acteurs de rôles d’un processus unique à comprendre en commun, celui de la personne vulnérable.

Il serait donc logique de partager ce point de convergence unique, qu’en pensez-vous ?

S’il vous en vient l’envie, en complément, vous pouvez lire 28 pages d’un fascicule qui vous est dédié: Le Méta-Processus-Principiel d’Accompagnement. Un document pour décideurs, qualiticiens et chargés de convergence institutionnelle. Une réflexion majeure en quelques pages (Norme ISO 9001). Lecture en ligne gratuite. https://www.dedici.org/bibliotheque

Ce Méta-Processus-Principiel d’Accompagnement ne serait-il pas à mettre en tête de vos références Qualité ? Mesdames et Messieurs Experts en Qualité qu’est-ce que vous en pensez ?

Avez vous pensé à la Qualité de la Qualité ?

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