Plaidoyer


Plaidoyer pour un accompagnement enfin solidaire de la Personne handicapée et/ou vulnérable.

Attendu que tout existe déjà, dit-on, sauf une organisation efficiente de ce qui existe déjà, pour preuve toutes les situations scandaleuses ou préoccupantes existantes.

Attendu que chaque situation exige une organisation spécifique partageable par tous les acteurs de tous horizons de la solidarité

Attendu qu’il n’a jamais été partagé une telle organisation adaptable à toutes les situations.

Attendu que cette organisation rassemblerait toutes les conditions de mise en application de toutes les lois (2005 notamment)

Nous, mouvement militant, plaidons pour une organisation, arrêtée en 5 rôles, gouvernée et piloté par la Personne aidée, opposable à tous les acteurs de la solidarité, construite sur les 5 principes incontournables partagés suivants :

1. Que la personne aidée puisse être elle-même, entendue dans l’intimité, comprise et respectée dans sa parole et ses choix
2. Quelle puisse être défendue et protégée contre tout, tout le temps, jusqu’au bout, par la mise en place d’une défense ultime constituée d’une organisation de personnes de cœurs qui se relaieront pendant et après la présence des bienveillants du moment.
3. Qu’on s’occupe de sa situation, pour rechercher, négocier, mettre en place et surveiller les meilleures compensations possibles, par la mise en place d’une coordination transverse constituée de professionnels disposant de pouvoirs adaptés qui se relaieront pour assurer la continuité de cette coordination.
4. Que tous les intervenants, quels qu’ils soient, de quelques pouvoirs qu’ils aient, soient évalués par la personne aidée
5. Que toutes les lois, les institutions et services, les personnes morales de la solidarité soutiennent cette organisation et les acteurs, personnes physiques, qui agiront.

Pour partage, mise à l’épreuve et institutionnalisation.

 

La “Cabane au fond du jardin”

Vivre avec une vulnérabilité, c’est vivre dans des conditions où l’appui des autres est un impératif. En effet, dans certaines situations, nous avons besoin de la coopération des autres pour nous faire entendre et nous faire comprendre, pour essayer.

DEDIĈI invite des personnes handicapées mentales et vulnérables, parfois très lourdement empêchées, leurs proches et des professionnels à leur service, à coopérer régulièrement dans la simplicité.

La “Cabane au fond du jardin” de DEDIĈI est un lieu et un temps qu’on prend ensemble* pour s’écouter et se comprendre régulièrement, à chaque fois qu’il le faut, pour se rendre attentif aux envies de vivre de celui qui a besoin des autres pour dire et rêver, pour mieux partager le vrai dans l’intimité et la sécurité.

Depuis un an, en Alsace, une trentaine de personnes handicapées** font chacun avec leurs proches l’expérience de la cabane qui les réunit.

Ils nous montrent combien c’est bon pour eux.

L’environnement familial et institutionnel de cette innovation perçoit désormais concrètement combien l’organisation que propose DEDIĈI peut éclairer et renforcer tout ce qu’ils font déjà par ailleurs, dans une bienveillance collective à la recherche d’une convergente centrée sur le pouvoir d’agir des plus vulnérables.

Pour en savoir plus
Michel       LECLERC         06 67 32 74 04
Jean-Luc  LEMOINE        06 76 56 56 17
Nous contacter

* Triade, dite de triple expertise et d’autodétermination, constituée de la personne vulnérable, de ses proches et des professionnels qui la suivent dans leur projet de vie. Cette triade se compose donc de la Personne en premier chef, et des gens qui la défendent et qui s’occupent de sa situation sur le long terme.

** 3 associations: Au-fil-de-la-Vie (Thann), Apei-Centre-Alsace (Selestat), Sinclair (Mulhouse), ainsi que l’École de Praxis de Sociale de Mulhouse participent à cette recherche action.

Le projet de DEDIĈI est soutenu par la Fondation de France et la Collectivité Européenne d’Alsace.

Bon alors, on fait comment !

C’est la question qu’on peut se poser quand on est en face d’une Personne en difficulté, un enfant maltraité, une personne vieillissante dépendante, une personne handicapée, où socialement défavorisée, une personne accidentée, etc.

Pour la Personne mentalement fragile ou infirme par exemple, quand la médecine est à son maximum, quand l’espoir médical a atteint ses limites, il nous reste l’espoir sociétal.

Comment des Gens bienveillants vont-ils agir de concert pour améliorer durablement la vie de la Personne, lui garantir d’être l’égale des autres malgré sa différence.

Comment fait-on, que faudrait-il faire ?

Eh bien voici les principes premiers qu’il faudrait sans doute respecter.

Tout d’abord prendre collectivement le temps pour entendre, écouter et comprendre la Personne, quels que soient son âge, ses difficultés, ses impossibilités.

Mais surtout faire en sorte qu’elle soit défendue, tout le temps, partout, contre tout, jusqu’au bout même (et surtout) quand ceux qui l’aiment ne seront plus là.

Et enfin s’occuper de sa situation, tout le temps pour trouver les meilleures compensations possibles et les essayer.

Mais cela ne suffit pas. Que comprennent les intervenants de tous types, comment sont-ils contrôlés dans ce qu’ils font, et quels soutiens, quels renforcements, quelles légitimités les institutions nous offrent-elles pour faire cela.

On voit donc bien que c’est une question d’organisation, de coopération. Mais comment mettre tout cela en place.

La première chose à faire, sans doute, c’est de repérer et d’observer qui sont les Gens qui sont autour de la Personne (de près ou de loin), à quel titre, dans quel rôle, d’où viennent-ils, comment sont-ils acceptés de la Personne, comment sont-ils mandatés ou soutenus pour faire cela.

Comment s’entendent-ils.

Est-ce qu’ils prennent assez le temps, est-ce qu’ils accordent de l’attention, à la Personne ?  Comprennent-ils bien ce qu’elle exprime ?  Respectent-ils sa parole et ses choix ?

Qui sont ces Gens qui défendent vraiment la Personne jusqu’au bout, qui s’occupent de sa situation ? Comment cela s’articule-t-il avec ce qu’on appelle la défense des droits, le tuteur légal ? Qui réfléchit en permanence pour elle pour trouver les compensations qu’il faut ?

Tous ces Gens-là, comment discutent-ils ensemble avec la Personne, pour garantir son pouvoir d’agir, son autodétermination, quels que soient ses empêchements ?

Ces Gens-là ont-ils des associations, des institutions, des lois qui les soutiennent, qui les informent, qui les renforcent avec l’éthique indispensable, qui les reconnaissent et les assistent pour défendre les intérêts de la Personne ?

Parents, familles, amis, voisins, tuteurs, société civile, professionnels, d’où viennent ces Gens et comment ont-ils décidé ensemble de coopérer, ou non, et pourquoi ? Comment tout cela se passe-t-il en réalité ? Comment tout cela devrait se faire idéalement ?

Ce n’est pas facile du tout de se pencher sur ce problème, et on peut bien penser que si cela n’est pas bien organisé, il va y avoir des difficultés.

Qui soutient ces Gens, qui les aident à s’organiser, comment se réunissent-ils pour comprendre et ensemble arbitrer ?

Et si la Personne, entourée de ceux qui la défendent et de ceux qui s’occupent de sa situation demande des choses à des intervenants pour les compensations que la loi lui accorde, est-ce que ces intervenants comprennent qu’ils seront évalués par elle et les Gens qui la protègent ?

Est-ce que la Personne, et ces Gens qui l’entourent ainsi, sont soutenus et protégés par les institutions pour que tout soit ainsi organisé ?

En pratique______________

DEDIĈI propose une organisation très avancée sur ce sujet. C’est pourquoi nous vous invitons à réfléchir avec nous au :

  • Comment assurer la Défense Ultime de la Personne.
  • Comment organiser une solide coordination, tout le temps.
  • Comment piloter l’accompagnement.
  • Comment les acteurs pourront mieux comprendre les rôles qu’ils tiennent pour chaque situation.
  • Comment proposer aux institutions une organisation idéale autour de chaque singularité.

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C’est toujours la même histoire

Pour le Handicap, c’est toujours la même histoire. Quelle que soit la situation,  à chaque fois que des effets injustes sont dénoncés, ce sont toujours les mêmes causes qui reviennent.

Mais quelles sont ces causes et comment les réduire ou les empêcher. Nous allons en parler.

Les chercheurs du laboratoire DEDICI, dédié à l’amélioration des conditions de vie des personnes vulnérables, émettent la théorie innovante suivante :

“Il existe seulement cinq causes, toujours les mêmes, à l’origine de tous les dysfonctionnements envers les personnes vulnérables ou handicapées”.

Cette théorie se maintient par le fait que rien à ce jour n’a pu encore la contredire.

DEDICI poursuit même en proposant une solution sous la forme d’une organisation simplificatrice, en 5 rôles seulement, permettant de réduire voire de supprimer les désagréments rencontrés.

Et bien plus encore, DEDICI affirme qu’il suffirait que tous les acteurs de la solidarité, toutes les institutions aient bien conscience de ce phénomène pour se coordonner et s’ajuster.

Une recherche-action est en cours pour le démonter.

Mais attention cela présuppose d’accepter de réorienter tous les regards. En effet, pour réussir ce tour de force conceptuel et pour en percevoir la puissance, il faut arriver à se mettre à la place de la personne handicapée et de ses proches, ce qui n’est pas chose aisée.

Quelles sont donc ces cinq causes, toujours les mêmes ? Les voici :

1) La personne n’est pas entendue, écoutée et comprise. Sa parole n’est pas respectée. Les conditions de son autodétermination, raisonnée dans le contexte contraint du possible, ne sont pas rassemblées.
2) La personne n’est pas suffisamment défendue partout, contre tout, tout le temps, jusqu’au bout, et par-delà même la vie des proches bienveillants du moment.
3) on ne s’occupe pas bien de sa situation pour rechercher et négocier, au sein de la solidarité, les meilleures solutions possibles.
4) les intervenants, professionnels ou bénévoles, interviennent comme ils peuvent ou veulent, du mieux possible, en oubliant trop souvent que c’est bien la personne qui doit décider et piloter ce qui est bon pour elle.
5) les lois, les institutions, les structures, personnes morales de la solidarité ne soutiennent pas suffisamment les acteurs, personnes physiques qui agissent sur les points causals 1, 2, 3 et 4.

Vous pouvez maintenant éprouver la solidité de la théorie de DEDICI. Essayer de trouvez un seul contre exemple d’une situation injuste qui ne soit pas l’effet d’au moins une de ces 5 causes.

Mais une fois cette théorie affirmée et confirmée, faut-il encore réussir à imaginer et à tester une solution simplificatrice. Et là encore DEDICI a innové.

DEDICI a eu l’intuition de penser que la solution devait nécessairement passer, non pas seulement par la qualité des prestations proposées, mais par la qualité de l’organisation autour de la personne, toutes prestations confondues.

Cela revenait donc à s’intéresser d’abord à cette organisation simplificatrice de proximité, animée par des personnes physiques, avant d’aller rechercher les solutions auprès de personnes morales, quelle que soit leur qualité.

Cela supposait la conception d’une organisation idéale où la personne, quels que soient son handicap et sa situation, devait être en mesure, aidée, de gouverner et de piloter sa vie.

DEDICI a donc imaginé une organisation en 5 rôles seulement, permettant à tous les acteurs de la solidarité de s’en référer pour essayer jouer ensemble de façon bien mieux harmonieuse et coordonnée.

Les acteurs sont ainsi gouvernés et pilotés dans leurs interventions au sein d’un processus qui s’adapte à toutes les situations; Un processus qui les dépasse et qu’ils doivent servir.

Voici donc cette organisation :

L’organisation part d’abord sur une triade composée de 3 rôles assurant la gouvernance et le pilotage de l’accompagnement.

rôle 1) la Personne handicapée, en position de s’exprimer par tous moyens, quel que soit son handicap, pour être entendue, écoutée et comprise, pour gouverner son autodétermiantion

rôle 2) Sa défense ultime, une organisation d’acteurs physiques, des personnes de cœur et d’esprit en charge de se relayer pour assurer la continuité de sa défense contre tout, tout le temps, jusqu’au bout, pour l’assister dans la gouvernance de sa vie.

rôle 3) Ceux qui s’occupent de sa situation, qui recherchent et négocient, mais aussi pilotent pour la personne handicapée les meilleures compensations possibles.

Viennent ensuite, ce que tout le monde connaît bien :

rôle 4) Tous les acteurs, personnes physiques qui interviennent en compensation pour la personne handicapée dans les actes et soins courants, qu’ils soient bénévoles ou professionnels

rôle 5) Toutes les entités morales qui doivent permettre le jeu de ce processus meta, principiel, et soutenir tous les acteurs, personnes physiques, dans les rôles 1, 2, 3 et 4.

On remarquera au passage

  • que les « aidants » sont des acteurs qui jouent à la fois les rôles 2, 3 et 4
  • que le rôle 2 est souvent joué par les proches ou les personnes de proximité bienveillantes, y compris les professionnels devant la carence de ce rôle. Ce rôle de Défense Ultime est à ce jour extrêmement mal défini et oraganisé. Dans ce rôle parents, familles, amis, tuteurs légaux (mandaté par la justice d’office ou non), personnes de confiance, proches plus ou moins bienveillants, associations tutélaires, mouvements parentaux et familiaux se confondent, s’entre-choquent, parfois entre-mélés avec les rôles 4 d’intervenants et 5 d’institutions en soutien, ou en prégnance.
  • que le rôle 3, renforce et accentue les initiatives aujourd’hui dites de coordination, un enjeu considérable pour tenir l’un des 3 rôles de la triade, parfois confondues avec les notions de “triple compétence”
  • que le rôle 4 concerne la refonte de l’offre, mêlant intervenants professionnels et bénévoles des mondes libéraux ou de biens publics, privés ou dits sans buts lucratifs, avec des enjeux complexes d’efficiences, d’intérêts et d’Humanité.
  • Que le rôle 5 rassemble toutes les entités morales, de tous horizons, d’Etat ou non, qui devraient promouvoir, rendre possible et soutenir à la fois cette organisation et tous les acteurs , personnes physiques, en charge de jouer tous les rôles 1, 2, 3 et 4.

Ainsi les choses pourraient être bien mieux organisées.

Et DEDICI semble avoir ici ébauché le maillon manquant qui relierait toutes les bonnes volontés, en mettant, cette fois et pour de bon, la personne handicapée au centre des préoccupations de la Solidarité.

Pour en savoir plus, nous contacter.

 

La découverte d’un trésor

Le saviez-vous, si dans votre champ vous découvrez un trésor c’est qu’il y était déjà, à vous attendre, et qu’il vous appartient donc peut-être déjà. Vous l’avez juste révélé. Vous êtes l’inventeur de ce qui existe déjà.

En matière de solidarité pour le handicap, la loi de 2005 cache un trésor non révélé, un permis de construire jusqu’à présent sans plan. 

Depuis 26 ans on fait ce qu’on pense bien de faire, sans bien entendre, écouter et comprendre les Sans-Voix. Les Sans-Voix, vous savez ceux qui ne savent pas parler ou ne peuvent parler. On fabrique ici ou là, à grands moyens, une infinité de pièces de mécano pour affirmer aujourd’hui à juste titre : « mais ça on l’a fait ou on le fait déjà ». Et grand nombre de ces pièces non harmonieusement liées en un plan  se sont peu à peu enterrées d’elles-mêmes, se sont rouillées, se sont perdues d’elles-mêmes dans leurs complexités, se sont rendues elles-mêmes inutilisables parce que trop difficile à utiliser. Certes ça a fait quelques heureux et ça a réduit la misère, mais le système de solidarité laisse encore trop de monde sans solution.

Pourtant le champ de la Solidarité regorge de trésors pour l’essentiel enfouis, qui ne se révèlent pas parce qu’ils ne se rassemblent pas dans une construction dont on ignore toujours la commande.

Alors cette commande, ce plan où sont-ils si on entend pas, on n’écoute pas, on ne comprend tous ces Sans-Voix, ceux qu’on voudrait être autodéterminés et dûment compensés à égalité de chance avec les autres sans comprendre ce qu’ils demandent.

L’information la plus importante ne serait-elle pas celle qu’on a pas encore.

Ce trésor, notre société solidaire l’a déjà, il est là, mais nous ne savons pas où il est et quelle forme lui donner pour le révéler et lui donner toute sa valeur.

Nous n’avons pas le plan de cette construction parce que nous n’avons pas la commande de ceux qui en ont besoin.

Alors posons-nous des questions, posons-nous la question de la commande des Sans-Voix en peut-être cinq points seulement :

  1. Comment la parole des Sans-Voix est-elle entendue, écoutée et comprise. A quelles conditions ces-Sans-Voix pourraient-ils s’autodéterminer et dire ce qui serait bon pour eux.
  2. Pour chacun d’entre eux, quelle organisation de personnes physiques les protège et les défends vraiment contre tout, tous le temps, à vie jusqu’au bout
  3. Pour chacun d’entre eux, quelle organisation s’occupe donc vraiment de leurs situations pour qu’ils puissent obtenir les meilleures compensations possibles
  4. Pour chacun d’entre eux, est-ce que tous les intervenants qui interviennent pour eux comprennent-ils qu’ils ne doivent pas avoir d’ascendance ou d’emprise sur ces Sans-Voix et qu’ils devraient être évalués par eux pour les utilités qu’ils produisent.
  5. Est-ce que toutes les institutions, toutes les entités morales, toutes les structures en mandat de solidarité soutiennent-elles tous ces gens pour leur permettre de faire cela.

Et une fois que tout cela est dit, où est le plan du comment s’organiser pour répondre à cela, pour que ça se passe comme cela.

Travaillons à dire comment nous entendons y répondre collectivement. Oui, pour le Handicap, la solidarité a un trésor caché qui se révélera quand on aura collectivement le plan pour assembler toutes les briques qui existent déjà.

DEDICI imagine, interprète la parole des Sans-Voix et vous révèle un plan et ses grands principes, son ébauche avancée même qui vous invite à une mise à l’épreuve pour le terminer peut-être ensemble.

Contactez-nous. 

Handicap, la théorie d’un autrement.

Pour améliorer la vie des personnes handicapées, nous énonçons une théorie que nous vous invitons à mettre à l’épreuve. Cette théorie avance le fait qu’un avenir plus désirable est possible pour toute personne vulnérable et ses proches à condition d’organiser la solidarité radicalement autrement, selon un processus simplifié en 5 rôles seulement.

______________

DEDICI vous révèle une réalité que vous pouvez tous vérifier. Cette réalité, c’est que toute situation révoltante, insatisfaisante a pour origine un défaut dans au moins un des cinq points suivants :

1. La parole et les choix de la personne vulnérable ne sont pas compris et/ou respectés
2. La personne vulnérable n’est pas protégée ou défendue, jusqu’au bout, au mieux de ses intérêts
3. On ne s’occupe pas de sa situation pour lui offrir le mieux possible des compensations de la solidarité
4. Les intervenants, qui interviennent pour elle du mieux qu’ils peuvent, développent souvent une emprise ou une ascendance sur elle. Ils ne sont pas évalués par elle pour l’utilité qu’ils produisent pour elle.
5. Les lois ne sont pas appliquées et les structures qui œuvrent pour la solidarité n’aident pas suffisamment pour éviter tout cela, voire ne créent pas encore les conditions pour réduire tout cela.

Une fois cette réalité révélée, s’il le fallait, DEDICI énonce une théorie inédite d’amélioration à vérifier.

Les sciences de la recherche disent que pour prouver qu’une théorie est bonne il ne suffit pas de montrer qu’elle marche dans certains cas. Pour prouver sa solidité il faut au contraire, et paradoxalement, essayer sans cesse de démontrer qu’elle est en défaut pour au moins une fois.

C’est ce que nous essayons de faire depuis plus de 30 ans avec la théorie DEDICI, sans jamais avoir pu la mettre en défaut. Nous en déduisons donc que c’est peut être une bonne théorie et nous avons envie de vous l’expliquer ainsi.

A supposer qu’on puisse s’organiser pour réduire les survenances des cinq points précédents, alors la vie de la personne vulnérable et de ses proches est considérablement améliorée.

À condition bien sûr de dire le « grand comment » pour le faire. Et c’est là que se trouve le cœur de l’énoncé de la théorie DEDICI : comment s’organiser bien plus simplement et bien plus efficacement, comment réattribuer les pouvoirs pour rééquilibrer le tout au profit de la personne vulnérable.

Pour cela DEDICI propose une organisation en cinq grands rôles seulement, spécifiquement dédiée à la réduction des cinq points selon cinq grands principes; Une méta-organisation, pour tout dire, qui va s’adapter à toutes les situations, quelles que soient les niveaux de vulnérabilités, de handicaps ou d’âges.

Et comme toute organisation peut se décrire par les rôles de son processus de fonctionnement, la totalité de la proposition de DEDICI se résume en cinq rôles que voici :

1. Le rôle de la Personne, même sans voix, ainsi aidée par ce processus, pour pouvoir être entendue à sa manière, être bien écoutée et comprise afin de s’autodéterminer et être en mesure, aidée, de gouverner et de piloter sa vie.
2. Sa défense ultime, c’est-à-dire une organisation d’acteurs bénévoles, de cœurs, sans conflits d’intérêt, de subordination ou de loyauté, qui se relaieront tout au long de la vie de la personne pour la protéger et la défendre contre tout, tout le temps, jusqu’au bout.
3. Celui qui s’occupe de la situation, c’est-à-dire une organisation d’acteurs professionnels, pareillement, sans conflits d’intérêt, de subordination ou de loyauté, qui se relaieront pour rechercher et négocier la mise en place de compensations qu’ils piloteront de concert avec la personne vulnérable et les acteurs de sa défense ultime.
4. Les intervenants, c’est-à-dire tous les professionnels et bénévoles qui interviennent du mieux qu’ils peuvent dans les compensations et qui doivent éviter l’emprise et l’ascendance sur la personne vulnérable en comprenant bien que c’est elle, aidée, qui jugera les utilités de leurs interventions.
5. Enfin toutes les institutions et entités de la solidarité, qui doivent soutenir, favoriser et rendre possible l’action des acteurs dans les rôles qu’ils tiennent et les pouvoirs qui vont avec.

Cela suppose un rééquilibrage général des pouvoirs au profil de la personne vulnérable, qui devient ainsi l’égale des autres, si une telle organisation est mise en place.

Pour conclure, nous vous invitons à essayer de démontrer le contraire, et mettre ainsi à l’épreuve la solidité de notre théorie. Oui, pour toute situation, mettons à l’épreuve ce qui est dit là pour voir dans quelle mesure la vie des plus faibles et de leurs entourages ne sera-t-elle pas ainsi grandement améliorée.

Vous l’avez compris un tel sujet ne se développe pas en quelques lignes. Et vous pouvez l’approfondir avec nous.

Nous y travaillons depuis tant d’années. Nous essayons de présenter notre théorie ici ou là, mais rien ne vaudra la réponse du terrain quand une recherche-action orchestrée sera en mesure de remonter objectivement ses retours.

Ce moment est commencé puisque DEDICI, soutenu par la Fondation de France et d’autres mécènes humanistes imminents, vient de lancer en ce début d’année 2021 sa première recherche-action sur 2 ans en partenariat avec l’École Supérieure de Praxis Sociale de Mulhouse (PRAXIS) et 3 associations d’Alsace : Au Fil de la Vie, APEI Centre Alsace et Marguerite Sinclair.

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Handicap-de parents à parents

De Parents à Parents d’Associations du Handicap, d’ici et d’ailleurs

Bonjour,
Vous êtes parents ou proches d’une Personne handicapée, et je m’adresse à vous pour échanger quelques mots entre nous.
Je vais vous raconter ceci.
Lors d’une initiative en tous points exemplaire, le Président de notre association parentale militante nous a demandé par questionnaire: « Qu’attendez-vous de notre Association ?».
Il s’agissait en effet de revoir en profondeur notre projet associatif,
J’avoue avoir eu un questionnement sur la forme de ce questionnaire, non pas qu’il fût mal fait, bien au contraire, mais parce que les questions ne correspondaient pas à ce que nous souhaitions dire, mon épouse et moi pour notre fils handicapé.

Aussi pour compléter cette initiative rare et remarquable, et pour vraiment bien répondre du mieux que nous pouvions, je me suis lancé dans l’écriture libre et ouverte d’une lettre « type » comme si je m’adressai à la présidence et au conseil d’administration d’une association quelconque de notre mouvement parental.

La voici, en 7 pages tout de même ! Téléchargez la lettre

A cette occasion, et pour avoir déjà consulté quelques-uns d’entre nous, m’est venue l’idée de dire :
« Et si nous nous servions de cette base pour inviter des parents à dire s’ils se retrouvent ou non dans cette lettre et comment devrait-elle être modifiée »
J’ose, mais je ne sais pas si c’est à propos, j’ose donc vous proposer le principe d’une suite d’échanges par vidéo, en mini-réunions de 4 ou 5 pour aboutir soit à une écriture commune, soit à un relevé de conclusions reprenant vos remarques et vos paroles.
Cette écriture pourrait donner naissance à un  “support publiable” que nous pourrions adresser à toutes les associations du monde parental militant,
Dites-moi en commentaire, ou par mail, si cette proposition vous paraît opportune et si cela vous intéresse d’y participer.

« Parentalement ».

Jean-Luc LEMOINE

La personne augmentée

Toute personne, empêchée, vulnérable, handicapée doit être augmentée. Augmentée vous dites, mais de quoi ? Des pouvoirs qu’elle n’a pas !

Toute personne, empêchée, vulnérable, handicapée doit être augmentée. Augmentée vous dites, mais de quoi ? Des pouvoirs qu’elle n’a pas !

Oui cette Personne-là ne dispose pas de moyens équivalents aux autres pour mener sa vie. Elle a besoin de compensations, celles qu’elle aimerait avoir si elle pouvait le dire, sinon celles que d’autres pourraient décider pour elle.

D’ailleurs, quand elle sait se faire comprendre, peut-elle le faire vraiment librement, totalement ?

Si elle ne peut s’exprimer, qui l’entend, qui l’écoute, qui la comprend, qui interprète ce qu’elle exprime par tous moyens, qui arbitre dans tout ça en cas de difficultés, qui défend cette expression.

Qui décide pour elle de ce qui est indispensable, vital, recommandé, obligatoire, interdit pour elle, dans l’urgence, sur le moment, ou dans un autre temps.

Qui décide la limite de ses possibilités pour qu’elle puisse progresser, non pas dans la compétition, mais dans l’émulation qui permet la sublimation des différences et l’envie de progresser.

Qui a accès à son intimité, dans tous les registres, et comment cette intimité est-elle protégée.

Est-ce que la Personne a connaissance des possibles de ce qui l’entoure pour exprimer ses besoins, ses choix, ses désirs de façon éclairée.

Comment perçoit-on qu’elle va bien, vraiment. Qui décide que ça va bien pour elle. Comment tous ceux qui l’entourent et agissent pour elle partagent-ils la même perception de sa situation pour agir de façon cohérente et pilotée.

Comment réactualise-t-on ces informations, tout le temps, en fonction des événements de chaque instant, des évolutions de tous les temps.

Qui en réalité gouverne et pilote la Vie de cette personne.

Et puis enfin, comment la personne fera-t-elle pour avoir l’idée de rechercher ce qu’on ne lui dit pas, ce qu’elle ne sait pas, de trouver , de négocier, d’avoir ce qui lui faut et de dire elle-même ce qui va bien pour elle, ou non.

Comment fera-t-elle pour naviguer dans un système de solidarité complexe ou même les professionnels aguerris ne s’y retrouvent pas ?

Que dire alors de la Personne épuisée d’essayer en vain, apeurée, qui se recroqueville sur le si peu qu’elle a, de peur que ce soit pire pour elle; prise dans des conflits de loyauté ou d’intérêts, en situation de dépendance non forcement consentante, qui n’a plus ni l’envie, ni la force, ni le courage de se défendre et de se protéger, qui ne peut rien faire et qui fait avec, parce que tout est bien trop compliqué.

Qui va lui accorder du temps et de l’attention, jusqu’à l’amour peut-être, cette ressource qu’on ne lui offre pas assez, qu’on ne valorise jamais dans les référentiels d’activités.

Devant cette énigme d’impuissance qu’ils ne peuvent résoudre, les plus forts continueront à arbitrer selon leurs contraintes et intérêts en prenant une position d’ascendance pour imposer leurs solutions, réductrices d’angoisses pour eux, à défaut d’abandonner et pire encore d’éliminer.

En conclusion : la Personne doit être augmentée de pouvoirs que d’autres lui permettront d’avoir.

Vous savez, la compensation, ce n’est pas la chose ou l’argent obtenus, c’est d’abord la capacité de s’autodéterminer dans l’impossible du moment et sa complexité

La personne empêchée doit être en mesure d’avoir d’abord et avant tout la compensation d’augmentation qui lui permet, aidée, augmentée,
de savoir ce qui est possible, et de pouvoir obtenir ce que la Solidarité lui accorde théoriquement par ses lois jamais appliquées.

L’argent n’est pas la solution.

Ainsi la première compensation d’augmentation à offrir à la personne c’est la possibilité d’être défendue et protégée, sans concession, tout le temps, à vie, jusqu’au bout, contre tout, autrement dit lui offrir une Défense Ultime.

La seconde compensation d’augmentation à offrir à la personne c’est qu’on s’occupe de sa situation, tout le temps, dans une continuité sans cesse réactualisée, pour rechercher, négocier et piloter toutes les réponses possibles de la Solidarité et les tester.

Oui, à sa demande et selon les degrés d’intensités qui lui conviendront, la personne doit avoir deux compensations organisationnelles, essentielles, qui permettront de l’augmenter,

  • Sa Défense Ultime (par des acteurs de cœur et d’attention)
    Et
  • Celui qui s’occupe de sa situation (par des acteurs habiles rendant  accessible les choses de la Normalité)

Elle pourra ainsi obtenir toutes les compensations d’objets et de services que les lois de la solidarité lui réservent, pour devenir l’égal des autres.

Instruction à charge contre l’Etat

Dans les familles et amis du handicap, combien de fois n’avons nous pas entendu ce propos : ” Et si on faisait tout péter ?! “. Non, il y a peut-être plus efficient à faire.

Dans les familles et amis du handicap, combien de fois n’avons nous pas entendu ce propos : ” Et si on faisait tout péter ?! “. Non, il y a peut-être plus efficient à faire.

Face au handicap et à la vulnérabilité, au déséquilibre des faibles face aux forts, la Société Solidaire ne peut malheureusement avoir aucune obligation de résultat.

Et même en ce qui concerne les obligations de moyens, il ne suffit pas d’en accumuler de façon pléthorique à certains endroits pour penser être déchargé de son devoir d’essayer sans cesse.

Oui mais COMMENT ? dira-t-on.

Mais par le moyen d’une organisation simplifiée s’adaptant à toutes les situations. 

Peu de propositions sont faites en ce sens.

Le système de Solidarité actuel laisse bien trop de situations en l’état. Les lois françaises ne sont pas appliquées et ce constat est impossible à officialiser et à juger du fait de la complexité, et de l’isolement dans la dépendance non consentante des impliqués.

Le ressentiment des citoyens dans la difficulté doit être dépassé.

Ce dépassement pourrait se faire :

• par la coercition juridique d’une part, c’est-à-dire placer l’État dans l’obligation de faire appliquer les lois de la Solidarité. (bâton, soulagement moral et indemnisations)
• par la promesse d’un moyen organisationnel, à savoir l’expérimentation d’une organisation radicalement innovante, simplificatrice, qui rééquilibrerait les pouvoirs au bénéfice du plus faible. (carotte, sourire pour tous, ou presque, et efficience générale)

Pour le premier point de coercition juridique il est possible d’imaginer la création d’une association d’instruction recueillant, situation par situation, les plaintes, les preuves et les témoignages de façon juridiquement opposable et d’organiser ainsi une sape* permettant à terme de faire sauter tous les verrous parmi même les plus forts.

* Sape : Lors de la guerre des tranchées de 14-18 les belligérants creusaient des tunnels sous les positions adverses pour y accumuler d’énormes quantités d’explosifs et tout faire sauter, même des collines et « montagnes » entières.

Pour le second point il est possible d’entendre, d’écouter et de comprendre ce que dit par exemple DEDICI, et d’essayer, à moyens constants mais réorientés, une réarticulation des ressources, avec de nouveaux pouvoirs et de nouvelles prérogatives.

Mais voilà, est-il possible de demander aux institutions et aux professionnels de travailler sur ce qu’ils savent bien faire, mais autrement, voire à scier les branches sur lesquelles certains sont assis ?

Est-il possible de dire à chaque personne vulnérable, si elle ne s’y oppose pas bien sûr, et bien naturellement aidée en fonction de ses empêchements :

  • Tu vas pouvoir enfin exprimer tes besoins, tes envies, tes choix et les faire respecter.
  • Tu seras protégée et défendue, tout le temps, à vie, jusqu’au bout, même après la mort de ceux qui t’aiment.
  • On s’occupera de ta situation tout le temps pour que tu puisses obtenir le mieux de ce qui est possible pour l’instant.
  • Les intervenants travailleront pour toi de concert, organisés et évalués sous ta baguette de chef d’orchestre. Et tu pourras toujours dire, si ça ne va pas, ce qu’il faudrait corriger pour que tout le monde ait le sourire.

En conclusion,

Défaillant dans l’application de ses lois, l’État vit sous la menace d’une sape à probabilité non nulle le jour ou les citoyens les plus faibles seront organisés. Pourquoi n’essayerait-il pas d’entendre, d’écouter et de comprendre que l’efficience est possible et qu’il ne reste plus qu’à la tester à condition de bien vouloir s’ouvrir à l’a-normalité de sa pensée.

Que cet État donc demande à ses fonctionnaires et aux professionnels sous tutelle de bien vouloir s’y pencher.

 

Histoire d’un avènement

Pour le Handicap, voici une façon de dire la grande organisation simplifiée, proposée par DEDICI, celle radicalement nouvelle qui relie toutes les bonnes initiatives dans une harmonie orchestrée par le plus faible, cette fois enfin l’égal du plus fort.

Comment les hommes ont décidé, un jour, que le plus faible serait l’égal du plus fort.

Lisez cela comme une histoire au coin du feu.
Alors voilà, un jour …

Le plus faible dit

Je veux être moi-même et être respecté. Mais je ne peux pas parler, je ne sais pas parler, j’ai peur de parler. On ne m’entend pas, on ne m’écoute pas, on ne me comprend pas. On ne m’accorde pas de temps et d’attention. Il y a quelque chose de simple dans ma demande que vous n’identifiez pas.

Puis, comme par magie, un dialogue s’ouvrit.

Ceux qui allaient le défendre dirent

Nous, personnes de cœur, nous allons te défendre et te protéger. Oui, nous allons nous organiser pour te protéger et te défendre tout le temps, jusqu’au bout. Parle par tous moyens, aie confiance, on va te comprendre et faire en sorte que tu sois respecté toute ta vie, même quand l’un ou l’autre d’entre nous ne sera plus là.

Ceux qui allèrent s’occuper de sa situation dirent

Nous, personnes habiles, quand nous aurons partagé avec toi et avec tes défenseurs ce qu’il te faut, nous allons rechercher et négocier tout ce qu’il te faut, comme il te faut. Et on vérifiera tous ensemble si tu as le sourire. On recommencera sans cesse s’il le faut.

Ceux qui allaient intervenir pour le plus faible dirent

Nous, intervenants de tous ordres, bénévoles et professionnels, nous serons à ton service et nous parlerons avec toi, avec ceux qui te défendent, avec ceux qui s’occuperont de ta situation. Nous aussi, comme d’habitude, nous allons être bienveillant et faire attention à toi, mais cette fois en comprenant bien que nous devrons le faire en t’écoutant, en écoutant ceux qui te défendront et ceux qui s’occuperont de ta situation. Nous ne ferons plus rien qui ne soit coordonné, harmonieux, pour que tout le monde puisse, avec toi, sourire.

Ceux qui ont mandat depuis toujours, de mettre en œuvre la solidarité dirent

Nous ne réfléchirons plus jamais sans toi, sans tes défenseurs et sans tous ceux qui s’occupent de toi et qui interviennent pour toi. Nous ne sommes pas des rois élus, et nous allons faire en sorte que, par cette organisation-là, radicalement nouvelle, toutes nos bonnes lois soient enfin appliquées. Oui, c’est vrai, ce que nous avons fait jusqu’à présent est bien trop compliqué et générateur de trop de malheurs. Ce que tu nous proposes là est autrement plus évident. 5 rôles seulement !

Merci à toi de nous avoir éclairé avec cette simplicité.

Ainsi fut fait.

Après tant et tant d’années d’efforts de tous pour améliorer la vie des plus faibles, ceux-ci purent prendre la parole dans la simplicité. Leur voix, sans-voix, venait d’empêcher certains puissants de s‘enfermer dans leurs certitudes, vous savez ceux-là qui se croient élus pour en faire que de leur point de vue.

Tout le monde venait de se mettre d’accord sur une organisation et ses rôles. Et tous purent comprendre enfin quels rôles ils jouaient dans une grande organisation, un grand processus qu’ils ignoraient encore, non pas dans les actes qu’ils faisaient, parce que cela il le faisait déjà d’une certaine manière, mais sans gouvernance et pilotage du plus faible, sans efficience.

Oui, le plus faible put, ainsi aidé, avoir la parole pour gouverner et piloter sa vie, trouver enfin le sourire et le partager avec tous les autres.

Le plus faible eu enfin le même pouvoir que le plus fort.
Le plus faible fut l’égal du plus fort.

Voir, pour le Handicap, la grande organisation simplifiée, proposée par DEDICI, celle radicalement nouvelle qui relie toutes les bonnes initiatives dans une harmonie orchestrée par le plus faible, cette fois enfin l’égal du plus fort.